🐘 Le Père Était Peintre Et Le Fils Cinéaste

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Il y a un mystère Renoir, une certaine difficulté à concevoir comment le grand peintre impressionniste Pierre-Auguste avait pu engendrer l’immense cinéaste Jean. Malgré une parenté artistique parfois évidente Une Partie de campagne… et une dévotion qui a poussé le fils à publier un ouvrage sur le père, il subsistait comme un obstacle à imaginer ces deux-là ensemble, l’homme du XIXe siècle et celui du chose faite dans Renoir, film dont le titre évoque aussi bien l’un que l’autre et qui prend précisément pour sujet cet héritage mystérieux. Inspiré par le roman familial Le Tableau amoureux 2003 de Jacques Renoir, petit-neveu de Jean, une belle surprise de la part de Gilles Bourdos, cinéaste inégal qui n’a cette fois pas volé une sélection cannoise comme film de clôture de la section Un Certain Regard.L’action se situe en 1915 sur la Côte d’Azur. Au crépuscule de sa vie et veuf depuis peu, Auguste Renoir s’accroche à sa peinture, qu’il pratique dans sa grande propriété des Collettes, à Cagnes-sur-Mer. L’arrivée inespérée d’un nouveau modèle, la rousse Andrée, insuffle une nouvelle énergie au vieil homme perclus de rhumatismes et cloué à sa chaise roulante. Mais lorsque son fils Jean revient du front, démobilisé pour blessure, ce dernier tombe lui aussi sous le charme. Malgré la désapprobation du père, cette jeune femme libre transformera le jeune velléitaire en apprenti cinéaste… Cherchez la femme La voilà donc, la solution» du mystère! Quand on aura compris qu’Andrée Heuschling, la dernière muse du peintre, et Catherine Hess­ling, la première actrice et compagne du cinéaste La Fille de l’eau, Nana ne sont qu’une seule et même personne, on tiendra au moins une sérieuse piste romanesque. Là-dessus, Bourdos et ses coscénaristes Michel Spinosa et Jérôme Tonnerre n’avaient plus qu’à broder – heureusement sans oublier qu’ils traitaient là de deux artistes visuels de premier d’atmosphères plus que d’action, de transmission plus que de conflits, Renoir s’ouvre sur l’arrivée d’Andrée à vélo aux Collettes, par une merveilleuse journée d’été. Sur la route, d’inquiétants mannequins pendus rappellent toutefois une guerre lointaine; et au portail, un garçon un peu sauvage Thomas Doret, Le Gamin au vélo des frères Dardenne! annonce les zones d’ombre de la maisonnée, pleine de servantes aux petits soins du maître, lequel passe ses journées à peindre dans une cabane sur la colline. Découverte par Matisse et encore agréée par la défunte Madame Renoir, Andrée est à la fois un cadeau du ciel et une forte personnalité qui va remuer des habitudes trop immuables. Un trio de comédiens Dès l’apparition de Michel Bouquet, parfait dans le rôle du peintre septuagénaire, patron» aussi irascible que fragile, on sent que le cinéaste tient son film. En face, même physiquement moins rond que son modèle, le jeune Vincent Rottiers Je suis heureux que ma mère soit vivante, Avant l’aube n’est pas en reste en jeune homme encore naïf et indécis, tiraillé entre devoir, admiration et amour. Quant à Christa Theret LOL, L’Homme qui rit, elle n’est pas qu’un joli corps qui, dénudé, capte à merveille la lumière du chef opérateur chinois Mark Ping Bing Lee Les Fleurs de Shanghai, In the Mood for Love. Elle paraît vraiment s’être identifiée à cette fille indépendante qui n’avait pas froid aux yeux et refusa de se laisser emprisonner par l’art, aussi admirable peu que le nom de Renoir vous évoque quelque chose, le moindre détail de ce film devient captivant. Comment représenter le travail d’un peintre et l’éclosion d’un cinéaste? Comment inscrire les protagonistes dans la nature et dans leur époque? Comment suggérer des rapports qui changent entre les hommes et les femmes? A tout ceci, Gilles Bourdos Disparus, Inquiétudes, Et après a trouvé des solutions valables – dans les limites d’un classicisme en l’occurrence parfaitement adapté. Alors oui, ce film sensuel qui érige la chair et l’art, mais surtout l’amour, en remparts contre la mort, est profondément renoirien». Aussi riche d’enjeux humains que de plaisirs, bien plus qu’un beau libre d’images. VVV Renoir, de Gilles Bourdos France 2012, avec Michel Bouquet, Christa Theret, Vincent Rottiers, Thomas Doret, Anne-Lise Heimburger, Solène Rigot, Carlo Brandt, Romane Bohringer. 1h51.
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File - Il était une fois le Maroc Figures du Passé et du Présent Les Négociants du Roi étaient des commerçants qui avaient été invités à développer le commerce à Mogador lors de la fondation de la ville en 1760. De nombreuses missions diplomatiques en Europe leur furent confiées. Aussi, ils établirent de nombreux contacts avec plusieurs établissements commerciaux à l'étranger. En outre, ils développèrent certaines affinités à caractère culturel qu'ils entretinrent toute leur vie. Certains d'entre eux s'établirent à l'étranger les uns temporairement, les autres définitivement. En raison de leur personnalité, de leur culture et de leur influence, ils laissèrent leur empreinte partout où ils passèrent. Au début du XIXe siècle, Jacob Richardël Cohen, fils d'Abraham Haïm Cohen de Mogador, fut l'inventeur de l'eau gazeuse aux États-Unis. Moses Élias Lévy de Mogador s’établit à StThomas en 1800, puis en Floride en 1822. Il devint le propriétaire d’une des plus grandes plantations de Floride, The New Pilgrimage. Il fut abolitionniste et fondateur de la première école publique. Son fils David Yulee-Lévy participa à la rédaction de la constitution de Floride en 1841. Il fut le premier sénateur de Floride en 1845 et le premier membre juif du Congrès américain. Il organisa le rail en Floride. Les villes de Yulee et le comté de Levy sont nommés à sa mémoire. À la même période, d'autres se distinguèrent dans la diplomatie, tel Méïr Cohen Macnin qui fut nommé ambassadeur du Maroc à Londres en 1828, ou même dans les sciences tel Éliyahou Outmezguine, qui fut le médecin du roi Moulay Slimane et qui était connu pour sa réputation de grand érudit en plantes médicinales. Au plan religieux, de nombreux rabbins et juges ont marqué la communauté juive de leur époque. Rabi Yahya Aflalo, Rabi Moshé Elkeslassy et Rabbi Jacob Bibas furent les premiers juges rabbiniques de Mogador. Natif de Mogador installé à Londres, le commerçant Chélomo Ben Masud Ben Abraham Sebag publia plusieurs œuvres d'auteurs marocains en hébreu et en anglais dont Téhilla léDavid Hymne à David et An Historical Account of the Ten Tribes Un rapport historique sur les dix tribus de Moché Edreh'i. Mimoun Abohbot s’installa à Terceira aux Açores en 1826, y fonda un commerce et devint le rabbin de la communauté. Rabi Yossef Elmaleh naquit à Rabat. Parvenu à l'âge adulte, il s'installa à Gibraltar. Il publia à Livourne Toqfo shel Yossef, recueil de responsas en deux tomes. Son fils Amram qui avait vécu tour à tour à Rabat, Gibraltar et Lisbonne, vint s'installer à Mogador vers 1820 où il représenta le royaume napolitain des deux Siciles. Son petit-fils Joseph connu sous le nom de Baba Sidi fut de son vivant d'une générosité proverbiale, contribuant financièrement à la publication de nombreux ouvrages hébraïques. Il fut en outre le conseiller du sultan Moulay Abdoul Rahmane. Des rabbins, des poètes et des juristes sont issus de la même famille. Aaron frère d'Amram fut le père et le grand-père de deux grands rabbins de la ville de Mogador qui présidèrent tous deux à des fondations philanthropiques étrangères. R. Yossef Haïm Cohen 1851-1921 quitta Mogador pour Jérusalem en 1866. Il y fit des études rabbiniqes et fut envoyé en mission à Boukhara et à Constantine. Il publia de son vivant l’ouvrage Minhat Cohen. Un autre ouvrage Vayekalkel Yossef fut imprimé en 1966 puis en 2008 mais il n’y a plus de trace de nombreux autres manuscrits qui ne furent jamais publiés. Page de garde de l'ouvrage Tokfo shel Yossef du rabbin Yossef Elmaleh La famille Afriat dont l'ancêtre fut l'un des cinquante martyrs d'Oufrane qui choisirent le bûcher à la conversion dans le Sud marocain vers 1790, s'installa à Mogador, fonda une entreprise commerciale qui se ramifia en France et en Angleterre et fut partenaire dans des grands projets d'investissement dans les capitales européennes. Originaire de Tanger, A. Cohen Lévi vécut à Mogador, en Angleterre et en France. Fondateur du premier journal de langue française au Maroc Le Réveil du Maroc, il fut correspondant des journaux juifs de Londres, The Jewish World et The Jewish Chronicle. De nombreux ouvrages dont ceux de Makhlouf Mazaltarim Shévah Hayim et d’Abraham Ben Attar Shenoth Hayim, furent écrits sur les hauts faits et la vie pieuse du rabbin Haïm Pinto de Mogador. Rabbi Abraham Raphaël Bar Yehouda Koriat fut l'auteur de Zekhouth Avoth et son frère Itshaq fut l'auteur en 1894 de Nahalath Avoth, traité sur les prières propres au cycle de la vie. Son fils Yehouda publia Maor Vashamesh, livre de Cabale, avant d'aller s'établir à Livourne afin d'y siéger comme juge rabbinique. Son petit-fils Abraham Koriat fut l'auteur de Brith Avoth, livre de commentaires bibliques. Rabi Éliyahiou Ben Amozag naquit à Mogador en 1823. Il fut orphelin en bas âge. Sa mère quitta la ville pour se rendre avec son frère le rabbin Koriat des suites d'une persécution perpétrée par un Caïd pour aller s'établir à Livourne en Italie. Les intérêts et la science de Rabi Éliyahiou Ben Amozag étonnaient tous ses contemporains morale, philosophie, cabale et science. Il était propriétaire d'une imprimerie et à ce titre publia un certain nombre d'ouvrages d'auteurs mogadoriens. Son ouverture d'esprit était grande. Il connaissait les Écritures juives et chrétiennes tout comme l'atteste son ouvrage Morale juive et morale chrétienne. Il se prononça sur de nombreux sujets contemporains dont la théorie de l'évolution de Darwin dont il acceptait les faits scientifiques mais dont il réfutait les conclusions. Parmi ses nombreux ouvrages, mentionnons Panim Lathora, Ta'am Leshed et Avoth Ougevouroth. Joseph Corcos naquit à Mogador en 1872. Il y fit ses études rabbiniques, et fut le Grand rabbin de la communauté Spanish Portuguese de Londres. Son grand-père Abraham avait été juge au sein de cette même communauté. Il devint rabbin de la Spanish & Portuguese à Kingston en Jamaïque, où il prit femme, puis à Curaçao au Vénézuela. Il fut associé à la congrégation sépharade Shéérith Israël de New York puis s'établit à Montréal où il fut président de la Congrégation Spanish & Portuguese. Il fut auteur, historien et poète. Parmi ses travaux, citons The Spanish Inquisition , The Jews of Curaçao, Auto-da-Fé in Mexico et le recueil de poèmes Kol Yossef. Il est l'auteur de la chanson Bendigamos qui fut introduite dans la majorité des congrégations judéo-espagnoles de par le monde. Joseph Corcos fut également l'auteur du script du film The Birth of America qui mit en évidence la contribution des Juifs à l'endroit du développement de la nation américaine. Abraham Pinto, le neveu du célèbre Rabbin Haïm Pinto, s'établit à Londres en 1801 et son fils Henry Pinto fut le fondateur de la première entreprise de vente de tabac de La Havane en Angleterre. Le tabac fut la marque de commerce de la famille durant trois générations. Une partie de la famille Pinto s'est établie à la Jamaïque, une autre à Montréal. Les sœurs Rosetta Elkin et Annette Wolfe, toutes deux historiennes, ont reconstitué une partie importante de l’histoire des premières familles sépharades de Montréal. Au début du XXe siècle, les rabbins Messod Kidouchim, Judah Ben Moyal, Joseph Ben Attar et M. Cohen étaient de leur vivant entrés dans la légende. D'autres continuèrent dans leur trace durant la première partie du même siècle. Les responsas de Rabbi Judah ben Mouyal ont été éditées à Jérusalem par ses petits-fils sous le titre Shévéth Yéhouda. Yossef Haïm Hacohen émigra en Terre Sainte et devint président du Tribunal de la communauté marocaine de Jérusalem. Il est l'auteur de Minhat Cohen L'oblation du pontife, ouvrage en deux tomes dans lequel les lois sont classées alphabétiquement. Page de garde de l'ouvrage Yéfé énaïm du rabbin Yossef Knafo Originaire de Marrakech, Rabi Dawid 'Attar était un éducateur né. Il formait chez lui bénévolement des futurs rabbins et juges et son enseignement était des plus prisé. Le grand rabbin sépharade d'Israël Ovadia Yossef fut étonné de ce qu'il lui fut demandé de préfacer des dizaines d'ouvrages de personnes qui avaient fait école avec Rabi Dawid 'Attar et s'étonnait de ce qu'il n'avait jamais vu de livre de ce dernier. En effet, Rabi Dawid 'Attar était tout dévoué à son enseignement. Il faisait régulièrement la tournée de ses anciens élèves de la yéshiva 'Éts Hayim et recueillait des fonds qui permettaient de subvenir aux besoins de ses étudiants et de leur famille. Rabi Ms'eud Tamsot, Rabi Abraham Attar père de Rabi Yossef 'Attar qui fut rabbin du Maroc et Rabi Yitshaq Afriat étaient également non moins célèbres pour leurs enseignements, leurs sermons et leurs panégyriques. Rabi Yossef Knafo a rédigé 19 livres dont plusieurs furent édités à Livourne en Italie Oth Brith Qodesh, Yéfé 'Énayim, Zevah Pessah, Tov Roi, Shomer Shabbat, Minhat 'Érév, et Hasdé Avoth. Sa femme était passée experte pour la préparation de remèdes à base de plantes médicinales. Leur fils Rabi David Knafo fut le chef du tribunal rabbinique de Mogador et fondateur de la société hébraïsante Yessod Hama'aravim la fondation du Juif maghrébin. Dona, épouse de Rabi David Knafo avait le secret des préparations de remèdes anciens à base d'herbes. Asher Knafo, arrière-petit-fils de Rabi Yossef Knafo vivant en Israël, publie ses autres ouvrages dont Zakh Venaqi. Rabi David Knafo eut deux enfants célèbres Shlomo Knafo et IDK. Né en 1905, Shlomo Knafo était l'animateur du groupe des hébraïsants de Mogador Hovévé hasafa les amants de la langue. Il animait également des 'Oneg chabbat Délice du chabbat rencontre joyeuse dans une atmosphère religieuse les samedis après-midi - avec une centaine de jeunes des mouvements de jeunesse Brith Haloutsim Datiyim et Bné 'Aqiva, mouvements sionistes religieux. Il a fondé en Israël Oth Brith Kodesh Signe de l'Alliance sacrée pour la promotion de la recherche portant sur l'héritage spirituel des Juifs de Mogador. Né en 1864, David Bohbot fut un érudit et un commerçant qui eut une correspondance fournie avec Théodore Hertzl fondateur du sionisme politique. Il fonda la Zionist Federation en 1900 et fut président de la communauté israélite d'Agadir. Le rabbin Méïr Corcos fit traduire en judéo-arabe son livre Dinim Deshabbat Les lois du Chabbat par le rabbin Abraham Ben Attar son gendre. Il publia également en 1921 une Haggada en judéo-arabe à l'imprimerie hébraïque mogadorienne de Salomon Hadida. Rabi David Ben Baroukh Yiflah, détenait le titre de Cheikh Dawid, fonction et rôle qu'il assumait au Mellah de Mogador - soit le représentant du Mellah auprès des autorités musulmanes. Maître incontesté de la musique andalouse – tout comme Didi Ben Soussi et Yossef Zdidi avant lui - il attira les musiciens de partout au Maroc. En 1897, il publia le recueil de piyoutim chants liturgiques Roni vessimhi en collaboration avec Rabi Yitshaq Ben Ya'ish Halévi. Il s'était associé par la suite à Rabi Haïm Afriat et Rabi David Elkaïm. Rabi David Elkaïm fut l'un des grands maîtres de la langue hébraïque. C'est lui qui composa le célèbre recueil de piyoutim de Shiré yedidout qui est devenu le parangon auquel se référèrent les Juifs du Maroc amateurs de piyoutim. Sa poésie a chanté aussi la renaissance nationale du peuple juif. David Elkaïm était hazane ou chantre, peintre et a laissé derrière lui des Ketoubot d'une grande beauté. Il était à ses heures menuisier et ébéniste et, il sculptait des fleurs d'une grande finesse dans le bois de ses meubles. À ces talents venaient s'ajouter ceux de graveur sur marbre et de tanneur. Ses chagrins émerveillaient tous les connaisseurs de l'industrie du cuir. Parmi les juges rabbiniques dayane de la ville durant la première moitié du XXe siècle, il y eut Haïm Bensoussan fils d’Abraham Bensoussan originaire de Debdou dans le Nord-est marocain. On dit qu'un mausolée fut érigé sur sa tombe à Mogador. Son fils Hayim David fut rabbin à Casablanca et son petit-fils émigré à Lyon en France publia Marpé Lanéfésh et Maleakh Haberith. Le juge rabbinique Aharone ben Hassine publia l'ouvrage Maté Aharone ; Simon Abécassis, également juge rabbinique, publia les ouvrages Sas Anokhi, Rakh Vetov et Pilgué Mayim Joseph Samuel Aboulafia fut chef du tribunal rabbinique et l'auteur de Shema' Shemouel. Rabi Shalom Messas, Rabi Moshé Weizgane, Rabi Haïm Serrero et plus tard, Rabi Rephaël Berdugo furent parmi les derniers juges rabbiniques de Mogador. Les rabbins de Mogador au début du XXe siècle. De gauche à droite R. Benisty, R. Abraham Bensoussan, R. David Knafo, R. Benabou et R. Moshé Bensimon Kétouba acte de mariage mogadorienne signée David Elkaïm Rabi Yossef Melca officiait dans la synagogue Attia fondée par Messod Attia, président de la communauté juive de Mogador qui se promenait en toute saison avec un œillet en boutonnière. Ce chantre à la voix de stentor avait une personnalité tout aussi forte. Il était recherché tant pour son érudition que pour les conseils qu'il prodiguait. David Corcos 1917-1975 fut un historien émérite qui publia de nombreux articles traitant de sources non hébraïques pour une histoire des Juifs du Maroc, du costume traditionnel des Juifs marocains, de la communauté d'Agadir, du statut des Juifs du temps des dynasties Almohade ou Mérinide, de la saga de la famille Pallache et de l'onomastique. Il collabora également à l'Encyclopedia Judaica. Ses travaux ont été regroupés dans un ouvrage Studies in the History of the Jews in Morocco publié aux éditions Rubin Mass à Jérusalem en 1976. La riche correspondance de la famille Corcos que l’on surnommait Quaraqza ou plutôt ce qu'il en reste - car une grande partie a été détruite durant le blitz à Londres - a été revue par l'historien Michel Abitbol dans une petite brochure publiée par l'Institut Ben Zvi de Jérusalem sous le titre Témoins et acteurs Les Corcos et l'histoire du Maroc contemporain. Lucille Corcos fut une célèbre illustratrice de magazines new-yorkais et son fils Joël Lévy Corcos, fut artiste-peintre. Les Sebag de Mogador s'affilièrent aux Montefiore et William Sebag Montefiore de la branche canadienne des Sebag Montefiore combattit dans l'armée britannique en Palestine durant la première guerre mondiale et aurait capturé trois officiers allemands de haut rang. Il fut décoré de la Croix de guerre. Tous nés Aboulafia dans la ville de Mogador, les oncles maternels de David Corcos auraient assumé des carrières remarquables Enseignant à Cambridge, Baba aurait fini par devenir le doyen du parlement d'Irlande. Albert fils de Léon et petit-fils de Moses Corcos fut un commerçant prospère en Tunisie, en Libye et au Maroc. Fort de son expérience au sein de l’Organisation internationale pour les réfugiés en Allemagne au lendemain de la Secionde Guerre mondiale, il occupa une fonction essentielle dans la réhabilitation des réfugiés d’Indochine les boat people en 1975 en collaboration avec Lionel Rosenblatt de l’organisation Refugees International. Mayer s'enrôla dans l'armée française. Après la débâcle de 1941, il fonda un noyau de résistants dans le Sud de la France. Sa tête fut mise à prix par les Allemands. Il fut capturé par la Gestapo qui lui infligea une torture peu commune et termina horriblement écrasé sous un blindé. Officier dans la marine anglaise, Jacques se rendit en mission au Maroc où il forma un noyau de résistants anti-vichystes dont des nationalistes marocains. Léon, le plus jeune des fils de Haïm Aboulafia, fut historien à la BBC à Londres. Yehoshoua Loeb Belisha avait été un des premiers Négociants du Roi. Il en fut de même de ses deux fils Messod et Moshé et de ses deux enfants. Messod s'installa à Gibraltar puis à Manchester. Son fils Isaac présida la Communauté juive sépharade de Manchester. Lesli Belisha, petit-fils d'Isaac, devint secrétaire du Trésor en Angleterre en 1932, ministre des Transports, secrétaire d'État à la guerre en 1937 et membre du Cabinet de guerre en 1939. Lord Lesli Hore Belisha fut anobli en 1954 et fut membre du Comité de la communauté juive sépharade pendant de nombreuses années. David Kadoch était né à Mogador. Alors qu'il avait 10 ans, sa famille avait quitté la ville pour s'installer à Saint-Fons près de Lyon en France. Adulte, il devint champion de Boxe de France, catégorie poids plume, se joignit aux républicains lors de la guerre d'Espagne, retourna en France et remporta par la suite le Grand prix d'Oran de la course cycliste. Il joignit le maquis durant la Seconde Guerre Mondiale, où il était connu par son surnom Le Lion et fut envoyé en mission à Agadir au Maroc afin d'y organiser la résistance. Il introduisit des résistants comme serveurs dans l'hôtel Marava où la commission allemande logeait et y entreprit des actions de sabotage. Après la guerre, il organisa l'immigration clandestine vers Israël et entreprit des exercices militaires avec des jeunes aspirants, tout en cordonnant ses activités avec les frères Salomon et Isaac Knafo. IDK Isaac D Knafo avait fondé le mouvement des UP l'Union Populaire. Avec Itshaq Amir qui devint le maire de Dimona en Israël et d'autres, il sortait dans la campagne une centaine de jeunes du Mellah qui recevaient un grand bol d'air et un lunch gratuit. David Kadoch devint champion de course cycliste en Israël et fut actif dans la promotion des sports dans la ville de Ramleh. D'autres Mogadoriens s'illustrèrent durant la guerre d'indépendance en Israël. les frères Charly et Max Kadoch furent parmi les libérateurs de Béershéva. Maurice Suissa fut correspondant de l’hebdomadaire sioniste révisionniste La Voix Juive de Tunis. L'art de la qséda ou ballade a fait de nombreux adeptes et auteurs compositeurs desquels se détache de l'auteur et compositeur Halevi. Ce dernier, qui s'engagea dans la légion étrangère et servit tant au Maroc qu'en Syrie, revint par après au bercail. Au nombre de ses œuvres figurent la qséda du soldat et la qséda du porteur d'eau. Toutefois, la qséda hilare du musicienchanteur Rabi Dawid Yflah, connue sous le nom de qsedat skhina, soit la ballade du fameux plat traditionnel du samedi, fut très populaire. Salomon Abénaïm connu sous le nom de Chlomo Souiri fut un chanteur populaire de musique folklorique et andalouse marocaines. Mogador eut également son Hercule intrépide en la personne du gigantesque Sémana et son Samson, le joyeux Haïm la Force aux prouesses légendaires, le champion lutteur Ben Khalifa ainsi que les enfants du rabbin Messod Kidouchim surnommés Morénou er Rbinou, connus pour leur force herculéenne et réputés pour leurs quatre cent coups. Le rabbin David Sabag publia des livres de propos et de réflexions parmi lesquels figurent Léqét 'ani et Shear yeraqoth, ouvrages commentant et explicitant des textes se rapportant à la Pâque juive, notamment la Haggada. Makhlouf Knafo a compilé plus de 2700 proverbes mogadoriens en judéo-arabe, retraçant ainsi la sagesse d'une culture orale du passé. Né en 1910, IDK Isaac D Knafo avait une âme d'artiste. Il était aussi non-conformiste et bon vivant. Il fit des études en France et revint au Maroc. Il s'essaya dans l'enseignement et dans le journalisme avant de retourner à Mogador en 1940. Il anima des troupes de théâtre et publia un certain nombre de recueils Jeux et rimes, Fugitives, Maroquineries, Hitlériques, Exodes et ballades, une série de brochures 'Oneg etc. Certains de ses travaux ont été perdus. Peintre à ses heures, il a laissé des Ketoubot contrats de mariage magnifiquement illustrées. Son volume Mémorial de Mogador publié par son neveu Asher Knafo est un régal de recettes, d'humour et d'anecdotes délicieuses typiquement mogadoriennes. Haïm Zafrani a fait des études extrêmement poussées du judaïsme marocain et de sa production littéraire. Ses ouvrages Mille ans de vie juive au Maroc , Poésie juive au Maroc , Traditions poétiques et musicales juives en occident musulman ou Kabbale, vie mystique et magie ainsi que des études de documents en judéo-arabe, en judéo-berbère ou en hébreu parviennent à préserver un tant soi peu le trésor d'une communauté à la production intellectuelle profondément enracinée dans ses valeurs au moment même où elle fut satellisée aux quatre coins de notre bonne vieille planète Terre. Installé aux Etats-Unis, Henry Tolédano, spécialiste de la civilisation arabe et professeur d'études juives à la Hofstra University, est l'auteur de plusieurs travaux sur le judaïsme sépharade et marocain. David Bensoussan le neveu de Mardoché et Stella Rosilio s'installa en Australie et y publia des ouvrages d'enseignement de français magistraux dont La composition française. L’instituteur de l’école de l’Alliance israélite universelle à Mogador S. Franco a publié le recueil de poèmes Les parfums de la terre. Un des nombreux ouvrages d'érudition de Haïm Zafrani Dans la tradition de son beau-père Itshaq Lévi, le bijoutier Nessim Loeub travailla le style de bijouterie délicat si propre à Mogador, style dans lequel excellèrent aussi les orfèvres Elouk, Castiel et Cohen. L'art de Nessim Loeub fut légendaire. Il avait été approché par différentes villes du Maroc pour offrir au roi des joyaux à l'image même de ces villes. L'art des ketoubot contrats de mariage enluminées est également une traditon mogadorienne. Asher Knafo et David Bensoussan en on fait un livre d'art trilingue intitulé Mariage juif à Mogador , ouvrage qui présente notamment l'art de David Elkaïm, IDK, Yossef Serraf, Nessim Bensabat, Waïsh Wazana et Yossef D. Attar. La tradition des enluminures se perpétue avec Bernard Bensoussan, Hasdaï Elmoznino, Madeleine Bensoussan, Daniel Benlolo, Aaron Amozeg ainsi qu'avec Hanna et Asher Knafo. Hanania Wizgane, fils du juge Moshé Wizgane, fut formé par Rabi David ’Attar. Il a publié en Israël une série d'ouvrages de commentaires du Pentateuque Imré Héne 'Al Hatorah, ainsi que le recueil de responsas de son père Vayagued Moshé et une biographie de son père Vehaish Moshé. Simon Baroukh Ohayon fut l'auteur de responsas Hilkhoth SBO et de Zahav SBO ainsi que de commentaires Maté Shim'one publiés à Tel Aviv. Jacob Zafrani publia un commentaire de la Bible Séfér Yeshou'oth Ya'aqov et Yossef Hayim Hacohen a rédigé le traité d'exégèse talmudique Minehath Cohen. Éliyaou Atsour, chef du tribunal rabbinique de Jérusalem a fondé l'institut Toldoth Éliyahou qui se donne pour mission de publier les anciens écrits manuscrits. Bijouterie mogadorienne type en filigrane d’argent La Skara, sac pour le Talit châle de prière La nouvelle génération a également commencé à laisser sa trace Moshé Elkayam, neveu de Rabi Moshé Elkaïm, est aussi peintre et poète. Il a publié des ouvrages de poésie pour enfants dans la langue hébraïque. Il a rédigé une thèse de doctorat sur la lecture linguistique et théologique de la Bible dont les retombées n'ont pas fini de faire l'objet d'études. Il a publié des ouvrages de poésie hébraïque de même qu'un ouvrage poignant et très fouillé intitulé Nahal Qedoumim sur l'âme de Mogador dans les yeux d'un enfant immigré en Israël. Jacob Ohayon, homme d’érudition et latiniste émérite, fut journaliste à la Vigie marocaine. Il avait perdu son poste à l’époque des lois raciales de Vichy. Albert Elmoznino a eu depuis toujours le coup de crayon magique. Ses esquisses de silhouettes humaines ne sont jamais retouchées. Ce peintre qui s'est aussi essayé dans la sculpture, les vitraux et le théâtre de marionnettes a acquis une grande renommée en Israël où il a immigré. Son cousin montréalais, le journaliste Roger Elmoznino eut le bonheur d'être dans sa jeunesse aux côtés de l'archéologue français Koeberlé alors qu'ils firent la découverte d'objets ouvrés phéniciens sur l'île de Mogador. Shouli Nahshone a été reconnue pour son art baroque Souvenirs en bocal et Yehoudith Sasportas s'est affirmée dans les esquisses tridimensionnelles et une sculpture qui, par ses aspects cocasses, inspire l'ironie. Installé en France, Benjamin Derry recrée dans ses peintures les personnages du mellah, scribes, rabbins et artisans d'antan. Nessim Crispil, auteur de l'encyclopédie des plantes d'Israël et d'un ouvrage sur les plantes médicales dans l'œuvre de Maïmonide, est retourné au Maroc et en a ramené un magnifique album intitulé Le Maroc - Regard personnel. Katia Azoulay l'épouse du ministre marocain et conseiller du roi André Azoulay Elsa Rosilio et Régine Sibony ont également édité un magnifique album de photos commentées avec beaucoup de charme et de poésie. Il s'intitule Essaouira- Mogador, parfums d'enfance. Leur second ouvrage EssaouiraMogador, passion partagée est un recueil de textes émanant d’écrivains et d’artistes qui ont succombé au charme de la ville. Elsa Rosilio a publié un livre d’art Résonnances andalouses qui est une collection de photos superposées d’architecture médiévale et maure. Jacques Sibony a publié le livre d’art Essaouira et sa marqueterie de thuya. Journaliste et critique musicale, Éliane Azoulay a présenté un panorama des musiques des cinq continents dans son ouvrage Musiques du monde. Raphaël Bensoussan a fait sa marque au sein du mouvement Oded, mouvement étudiant d'idéalsistes juifs nord-africains en Israël. L’historienne Nicole S. Serfaty a publié un ouvrage sur les diplomates juifs au Maroc, Les courtisans juifs des sultans marocains, hommes politiques et hauts dignitaires, XIIIe-XVIIIe siècles et, en collaboration avec Clémence Boulouque, une étude sur les femmes juives nord-africaines au travers des cartes postales Juives d’afrique du Nord, cartes postales, 1885-1930. De nombreux autres ressortissants de Mogador de seconde et de troisième génération ont fait leur marque en Israël et ailleurs, notamment le célèbre écrivain israélien A. B. Yehoshoua, dont la mère était de Mogador, et le comique Gad Elmaleh. Il en va de même d’Israël Maïmaran auteur de nombreux traités de philosophie traitant du libre arbitre. Son fils précoce Gabriel a publié un commentaire de la Haggada Sefath Hayam. Sydney Afriat est l’auteur de nombreux ouvrages de mathématiques et d’économie ainsi que d’un recueil de poésie On the River Noon. Pierre Lasry est cinéaste de films d’essai et l’auteur d’Une Juive dans la Nouvelle-France ; son frère Jean-Claude a publié de nombreux ouvrages de psychologie et de sociologie. Journaliste et écrivain, André Levy-Soussan est l’auteur de best-sellers de politique fiction. Il est également éditeur en chef de la revue Politique internationale et viceprésident du Global Policy Council, organisme qui conseille le Congrès américain en matière de sécurité nationale. Armand Lévy a publié l’ouvrage Il était une fois les Juifs marocains – Témoignage et histoire de la vie quotidienne. Le voyageur et poète Michel Bohbot est l’auteur de Rayonnante Essaouira et La transparence et ses fumées. Éliette Abécassis a publié de nombreux romans dont le best-seller Qumran et Sépharade où elle explore l’identité juive marocaine. Ami Bouganim écrivit Les récits du Mellah qui donne une description du Mellah de Mogador dans les années 50, Le cri de l'arbre traitant avec humour la condition des Juifs nord-africains en Israël, Entre vents et marées, ouvrage dans lequel son enfance se désillusionne par la dérision de lui-même, ainsi que de nombreux autres livres à thème judaïque et philosophique. Asher le devin et autres contes de Fès retrace des portarits édifiants de monde juif marocain d’antan. Poète, chansonnier et romancier, Pol-Serge Kakon a écrit la saga des Juifs maghrébins en brassant ensemble des souvenirs d'enfance, des faits historiques et de la fiction dans les ouvrages La Porte du Lion et Kahéna la magnifique. Il est également l'auteur du roman Rica la Vida dont le nœud de l'action de déroule à Mogador sans que la ville ne soit mentionnée nommément. Il publie également de délicieuses nouvelles dans la revue israélienne Brith. À ses multiples talents s’ajoutent ceux d’artiste en céramique. Par ailleurs, il a fondé à Paris le cabaret Le bateau ivre qui a attiré les grands noms de la poésie et de la chanson et il est coauteur d’un conte musical pour enfants L’opéra Plouf. Faraché Rémon a également tracé un portrait idyllique de la ville dans un roman récent. Marcel Crespil relate également ses souvenirs d'enfance en faisant intervenir sa mère comme narratrice d'un temps jadis dans son ouvrage Mogador, mon amour. Edmond Amram El Maleh a également commenté l'ouvrage de photos et de peinture intitulé Essaouira ville heureuse. Maureen Rosilio retrace l’itinéraire de son père Isaac A. Rosilio en Terre Sainte dans les années trente dans l’ouvrage Mon père Itinéraire photographique et historique en Palestine années 30. Joël Lévy Corcos - alias Joël Baron - a publié l’ouvrage Le parapluie et le mendiant, chroniques israéliennes dans laquelle il décrit la complexité et les contradictions de la société israélienne. David Elmoznino livre ses souvenirs de la ville qu’il a quitté à l’âge de dix ans dans le recueil de récits Palais et jardins. L’actrice israélienne Ronit Elkabats a retracé sa biographie dans l’inoubliable film Prendre femme. Maguy Kakon a mis à l’honneur l’art culinaire juif du Maroc dans son ouvrage La cuisine juive du Maroc de mère en fille. Il est remarquable de constater jusqu'à quel point des personnes différentes ont pu avoir une vision aussi distincte du même paysage social qu'ils ont tenté de rendre. L’homme de théâtre Tayeb Saddiki présente des esquisses des gens de la ville dans son roman Mogador fabor Il n’y a pas que les anciens souiris qui s’éprennent de Mogador. L’écrivain mexicain Alberto Ruy Sánchez choisit Mogador pour exprimer la sensualité même dans son ouvrage Los jardinos secretos de Mogador. Il met en relief les paradoxes de la vie dans son roman Comment la mélancolie est arrivée à Mogador et dans et laisse son imagination narrative s’inspirer de la ville dans La main du feu. Morgan Sportes a choisi la ville pour écrire l’histoire d’amour Une fenêtre sur la mer et Jean Sulivan a fait de même en publiant D'amour et de mort à Mogador. Pierre Le Coz décrit la femme voilée évoluant entre tradition et modernité dans son ouvrage Les feux d’Essaouira. Dans son livre Mogador, la république du paradis, Thomas Kepler a choisi la ville comme archétype de la cité capable de fomenter un monde nouveau. Michel Delaborde et Abdelkader Mana ont publié un album de photos de la ville intitulé Le temps d’une ville – Essaouira. La saga des premiers Négociants du Roi qui furent invités par le sultan Mohamed III à développer le commerce portuaire de cette ville a été retracée par le professeur Daniel Schroeter dans son ouvrage Merchants of Essaouira. The Sultan’s Jew retrace la biographie du marchand Meir Macnin, homme de confiance du Sultan Moulay Slimane qui développa un réseau de connexions important avec la diaspora sépharade et notamment à Londres. Nous devons au même auteur un très grand nombre de travaux de recherche sur le judaïsme marocain, notamment sur la société juive anglophone de Mogador, sur les communautés du Sud marocain et sur le commerce caravanier avec l'Afrique noire. Le fils du célèbre pâtissier Driss, Hamza ben Driss Ottmani a également publié un ouvrage d’érudition sur l’histoire de la ville, Une cité sous les alizés, Mogador dans lequel il retrace en particulier l’histoire des musulmans de Mogador. Il est également l’auteur d’un délicieux recueil de contes sur le passé de la ville Si Mogador était conté. Michel-Pierre Roux a retracé l’histoire de la santé dans la ville dans Mogador-Essaouira acteur et témoin pour l’histoire de la santé. Omar Lakhdar a tenté de retracer les origines de la ville dans l’ouvrage Sur les traces de Castello Real à Amougdoul. Entre ses ouvrages d'électronique, l'auteur de ce volume a publié le roman historique La rosace du roi Salomon et l'ouvrage La Bible prise au berceau , étude historique, linguistique et propédeutique au Pentateuque. La ville de Mogador est la ville des nostalgiques. Trois revues illustrent cet attachement L'une casablancaise, du nom de Souffle d'Essaouira, fait de l'éloge de la tolérance des Mogadoriens son thème principal. La seconde, la revue ADAM Association Des Anciens Mogadoriens paraît en France et semble regrouper les nostalgiques du colonialisme français dont les préjugés ne semblent pas toujours avoir évolué. La troisième est une revue bilingue français-hébreu, Brit, publiée par Asher Knafo, le neveu d' dans la ville d'Ashdod en Israël. De son vivant au kibbouts de Ramat Hakovech en Israël, IDK distribuait une lettre à sa famille et ses amis Mogadoriens. C'est cette lettre reprographiée qui a évolué pour devenir la revue trilingue français-hébreu-judéo-arabe Brit. Des articles de grande beauté se trouvent dans ces revues. Il semble bien que l'amour de la ville ait été contagieux… ZacharieNoah est mort: décès du père de Yannick Noah et footballeur à Sedan. Vainqueur de la Coupe de France en 1961 avec Sedan, il était

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Lepeintre et le cinéaste - 11'"Comment faire un film sur un film sur un peintre ?"Ecrit et réalisé par Juliette Pronchery C’est sans doute le cinéaste italien le plus intéressant d’aujourd’hui Marco Tullio Giordana signe, avec "Léa", qui sort cette semaine, un film passionnant, d’une rare densité humaine. L’histoire de cette femme qui fuit, avec sa fille, la violence de la N’Drangheta, la mafia calabraise, est poignante. Le réalisateur revisite 20 ans de l’histoire de son pays, en filigrane, avec tendresse et fureur les institutions sont impuissantes, la police peu fiable, la puissance des voyous évidente, la place des femmes réduite à quia. La suite après la publicité Léa Garofalo a bel et bien existé de ville en ville, de vie en vie, elle a esquivé la menace des salauds, avec sa gamine, Denise au fil des ans, elle a effiloché son existence, tenté de garder la tête haute. Denise, devenue grande, a été déchirée entre l’amour de cette mère prête à tout, et la tendresse de ce père haineux. C’est le cœur même du film l’écartèlement intime d’une jeune femme. Marco Tullio Giordana, metteur en scène de théâtre, écrivain, a signé par le passé, deux films merveilleux "Nos Meilleures années" 2003 et "Une histoire italienne" 2008. Héritier de Francesco Rosi pour l’aspect politique et de Pasolini pour le regard poétique, cet homme doux de 65 ans, devenu cinéaste par le plus grand des hasards – un hasard inspiré, incroyable, comme il le raconte ci-dessous - pratique "un cinéma politique sans politique". Un cinéma de convictions, donc. Entretien. L’histoire de Léa Garofalo est-elle authentique ? Oui. Je n’ai presque rien changé. Ce qui m’a frappé, c’est l’amour que la fille porte à son père, bien que celui-ci soit un criminel, et qu’elle surmonte pour que justice soit suite après la publicité La force du film, c’est de ne jamais s’appesantir sur les détails. Au spectateur de faire le lien entre les scènes… J’aime beaucoup l’ellipse. Pas besoin de montrer le type en train de monter l’escalier, d’ouvrir la porte, de fermer la porte, d’entrer dans la chambre… Je filme Léa refusant les avances d’un garçon, puis, à la scène suivante, elle est enceinte. Entre les deux, on comprend ce qui s’est passé nul besoin de filmer le premier baiser, la première nuit etc. Le cinéma des années 1920 et des années 1930 utilisait beaucoup l’ellipse, qui était aussi une façon de contourner la censure. Je n’aime pas tout expliquer, et je n’aime pas qu’on m’explique tout. L’une des plus belles ellipses du cinéma, c’est la scène de "2001, Odyssée de l’espace" un singe jette un os en l’air, et quand cet os retombe, il se mue en station spatiale. Magnifique ! Deux autres ellipses me viennent en tête dans "Lawrence d’Arabie", le héros allume une allumette, l’élève, et la flamme se transforme en lever de soleil dans le désert ; et, dans "les 39 Marches", le personnage principal, Richard Hannay, est arrêté, puis, sans transition, on le voit sauter à travers la fenêtre d’un commissariat et s’échapper. Que s’est-il passé ? Hitchcock ne s’attarde pas. Pourquoi cette figure de style vous intéresse-t-elle ? Parce que, dans un film comme "Léa", si on se met à tout expliquer, on tombe dans un cinéma sociologique, dont je ne veux pas. On a besoin de ressentir les choses, pas de les comprendre. Quand je fais un film, je pense toujours qu’il doit être compris par un enfant ou par un étranger qui ne connaît pas grand-chose de l’histoire de l’Italie. Je pense que le public est intelligent, mais pas forcément informé. Il faut respecter cette intelligence, et ne jamais baisser le suite après la publicité Comment êtes-vous devenu cinéaste ? A vrai dire, je ne voulais pas devenir cinéaste. Je voulais être peintre. Ma décision de m’intéresser au cinéma est due au hasard. En 1972, j’avais 23 ans, j’étais à Paris, il y avait une exposition au Grand Palais Bacon. Je connaissais ces toiles, mais je ne les avais jamais vues ensemble. Là, j’ai eu un tel choc que j’ai décidé d’abandonner complètement la peinture. Je me suis dit que si j’avais du talent, j’aurais dû peindre comme lui. Je me suis mis à marcher le long de la Seine, avec l’idée de me suicider et, parvenu au Pont de Bir-Hakeim, j’ai remarqué qu’il y avait des gens qui faisaient du cinéma. Je me suis approché, curieux ; c’était Bernardo Bertolucci et son équipe, qui tournaient le premier plan de "Dernier tango à Paris", à Passy. Je suis resté, à regarder, toute la journée. J’avais vu les films de ce jeune réalisateur énergique, notamment "Prima della rivoluzione" et "le Conformiste". Marlon Brando était là… Il était tout petit… Mais il était grand. Le soir même, on donnait "la Stratégie de l’Araignée", que je suis allé voir dans une salle du quartier Latin. J’ai eu l’impression que ce film racontait l’histoire de ma famille, de mon terroir, de mon père, c’était très près d’un monde que je connaissais très bien. Bertolucci est de Parme en Emilie, je suis de Crema en Lombardie, c’est proche. J’avais eu le temps de voir cette vieille culture provinciale qu’évoquait Bertolucci… En regardant ces images magnifiques, j’ai eu la sensation qu’on pouvait faire de la peinture sur l’écran. Avant, je pensais que le cinéma penchait du côté de la littérature. Mais ce jour-là, tout a changé pour suite après la publicité Pourquoi Paris ? Parce que le mythe de la peinture exigeait qu’on passe à Paris. Paris, c’était la culture. J’étais un peintre venant de sa petite province, et je cherchais mon chemin. Mon père, qui s’occupait de l’édition italienne du "Reader’s Digest", est mort quand j’avais 8 ans, dans un accident d’avion. Il avait fait partie de la Résistance, comme mon grand-père. Celui-ci a été un grand intellectuel, il dirigeait des journaux de tendance démocratique, et quand les fascistes ont pris le pouvoir, il a démissionné. Il s’est alors retiré à la campagne. Pendant la guerre, il est entré dans la Résistance, à l’âge de 70 ans. Il est mort l’année de ma naissance, et je porte son nom, Tullio. Notre famille a toujours eu une tradition libérale, avec une certaine sympathie pour le communisme. Vous êtes donc devenu cinéaste par hasard ? Exactement. Je faisais des études à Milan, et, avec Mai-68, il fallait faire des choix. J’ai quitté Milan pour aller à Rome, et je suis devenu l’assistant de Roberto Faenza, le réalisateur de "Pereira prétend". Puis j’ai écrit mon premier film, "Maudits, je vous aimerai !", produit par une petite coopérative, et qui a été sélectionné pour aller à Cannes, en 1980. Je me suis retrouvé au Festival avec Ettore Scola, Marco Bellocchio et Federico Fellini ! Incroyable ! Fellini, qui était ami avec mon père, m’intimidait. Il était génial. Génial. Intelligent, rapide, suite après la publicité Vos films sont tous portés par l’histoire, et vous avez un autre centre d’intérêt, les sociétés mafieuses. Oui. J’ai beaucoup aimé la politique, après 1968, comme tout le monde. Mais je ne suis plus engagé politiquement, je trouve que c’est un monde inintéressant, même avant Berlusconi. Francesco Rosi, qui me considérait un peu comme son fils, pensait qu’il fallait faire des films citoyens. Il n’aimait pas le terme "cinéma politique". On pense à lui comme quelqu’un qui ne s’occupait que de la société. En réalité, il avait le goût de la beauté. Ainsi, il aimait beaucoup les femmes, ce qui ne se voit pas dans ses films, sauf dans "le Défi" 1958, avec Rosanna Schiaffino, et dans "la Belle et le cavalier" 1967, avec Sophia Loren. Il me disait toujours qu’il faut se préoccuper de l’image et des acteurs, avant tout. Pas du message. Moi, ce qui m’intéresse, c’est de montrer, en filigrane, que les sociétés mafieuses sont une sorte d’administration parallèle en Italie. Comment se fait-il que l’Etat n’ait jamais réussi à les dominer ? La volonté politique a fait défaut… Exactement ! Pendant longtemps, en Italie, on a dit que la mafia n’existait pas. Il faut dire les choses. On sait que le jour et la nuit existent. La mafia suite après la publicité Le cinéma italien, ces dernières années, donne une image sociale très pessimiste. Ce qui n’est pas le cas de "Léa", ni de vos autres films… J’ai toujours aimé les films qui racontent le malheur sans vous déprimer. Le grand cinéma, américain ou italien, vous donne l’envie de résister. Ainsi, le cinéma de Mauro Bolognini, notamment "La Viaccia"… Ou les films de Valerio Zurlini, qui a signé "Été violent" et "le Désert des Tartares"… Ce sont des cinéastes un peu oubliés, mais qui seront réévalués un jour. Que pensez-vous du cinéma italien aujourd’hui ? Il y a plein de cinéastes intéressants Matteo Garrone, Stefano Sollima, Paolo Sorrentino, Vincenzo Marra, Fabio Mollo, Antonio Morabito… Ils ont un peu abandonné la filière de la comédie, qui était le monopole de l’Italie. Mais, dans cette veine, il y a "Perfetti sconosciuti" de Paolo Genovese, qui vient de sortir à Rome, et qui est très réussi. J’aime bien, aussi, le cinéma de Paolo Virzi "Les Opportunistes" et "Folles de joie"… Le cinéma italien, hélas, reste confiné à l’ suite après la publicité Etes-vous satisfait de vos films ? Non, pas du tout. J’aurais dû en faire plus, je n’en ai fait que treize car je voulais parler des choses que je connaissais bien, que j’avais étudiées. J’ai été très sérieux, peut-être trop. J’ai eu la tentation d’abandonner le cinéma, parfois. Par chance, j’ai changé d’avis. Vous avez écrit un roman, vous avez fait de la peinture, de la mise en scène de théâtre, et vous n’êtes pas satisfait de vos films. Quel bilan ? J’ai même voulu être musicien, guitare classique. J’ai étudié avec Andrès Segovia… La vérité, c’est qu’il est plus facile de cacher la médiocrité avec le cinéma. Billy Wilder disait de lui-même qu’il était "un cinéaste parfait à 60%" ! Moi, je suis un cinéaste à 40 % ! Mais je ne désespère pas de me perfectionner. Propos recueillis par François Forestier Renoirde père en fils. Auguste Renoir né le 25 février 1841. Il y a le peintre, Auguste Renoir et puis son fils, le cinéaste Jean Renoir. Tous deux ont révolutionné leur art respectif. Retrouvons Jean Renoir évoquer ce père original et talentueux, à travers quelques anecdotes sur sa vie personnelles et son oeuvre. Par la rédaction de "400 tableaux ont été volés à mon grand-père, raconte Anne Sinclair. [...] Une soixantaine d'oeuvres n'ont jamais été retrouvées." H. BOUTET POUR L'EXPRESS Il fait trop chaud pour la séance photo. Anne Sinclair préfère attendre un peu - "Ça ne vous ennuie pas?" Sa maquilleuse va arriver, "juste pour une ou deux retouches..." Elle est belle pourtant, malgré la chaleur, malgré une longue journée, cette femme de plus de 60 ans, choyée puis rudoyée par la vie, et qui vous accueille dans les salons du Pavillon de la Reine, un hôtel parisien avec jardin où elle donne souvent rendez-vous. Dans quelques jours, Anne Sinclair sera à Liège, en Belgique, pour inaugurer au musée de La Boverie une exposition consacrée à Paul Rosenberg. Il fut l'un des plus grands marchands d'art français de l'entre-deux- guerres, ami intime d'Henri Matisse et de Pablo Picasso - qu'il appelait "Pic" -, spolié par les nazis, réfugié aux Etats-Unis pour fuir les persécutions antijuives. Paul Rosenberg était le grand-père d'Anne Sinclair. Elle lui a consacré un livre, 21, rue La Boétie Grasset, qui a donné son nom à l'exposition. Le projet, porté par la société belge spécialisée dans la conception d'événements artistiques Tempora, a demandé presque trois ans de travail. Un jour, Elie Barnavi, historien, "un vieux copain", ancien ambassadeur d'Israël en France, évoque cette idée d'une exposition avec Anne Sinclair. "Je lui ai répondu 'Vous êtes malades! C'est infaisable.' Et puis c'est arrivé, un hommage magnifique." Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Pour la première fois, dit-elle, une exposition évoque à la fois l'art et l'Histoire "Mon grand-père a été au carrefour des deux, d'une part comme marchand, au contact des peintres les plus modernes entre 1910 et 1940, d'autre part comme témoin de ce que le XXe siècle a connu de plus tragique, la Shoah. Très vite après leur arrivée à Paris, en 1940, les nazis débarquent rue La Boétie pour arrêter toute ma famille..." Depuis 1937, Paul Rosenberg a son nom sur leur liste noire il lutte contre le gouvernement allemand, qui vend aux enchères les oeuvres des artistes jugés "dégénérés". "Pas un sou au Reich!" défend-il; son propos devient le mot d'ordre d'un petit groupe qui préfère renoncer à des chefs-d'oeuvre que les acquérir dans ces conditions. Sur la piste des oeuvres voléesSoixante-seize ans plus tard, Anne Sinclair, jouant avec les perles d'un long sautoir couleur turquoise, évoque l'exil à Floirac, près de Bordeaux, l'urgence du départ, les tableaux abandonnés rue La Boétie, ceux que Paul emporte avec lui et ceux qu'il dépose dans un coffre-fort de la Banque nationale pour le commerce et l'industrie de Libourne. "Le coffre a été fracturé, la galerie vidée... Tout ce qui était resté en France a été pillé, à la fois par les nazis et par les Français, qui ont prêté la main. L'ironie macabre de l'Histoire, souligne-t-elle, c'est que le 21, rue La Boétie devient le siège de l'Institut d'étude des questions juives, un organe de propagande antisémite qui dépend directement de la Gestapo..." LIRE AUSSI >> Les tableaux orphelins spoliés par les nazis L'exposition de Liège raconte tout cela la vindicte du Reich contre "l'art dégénéré", le pillage de la culture européenne, la rationalisation du système. "Pour la première fois, insiste Anne Sinclair, on peut suivre le parcours d'une oeuvre volée, puis cachée, puis revendue sous le manteau, parfois acquise en toute bonne foi par des gens qui n'avaient pas conscience d'acheter un bien exproprié; c'est comme ça qu'un musée norvégien s'est retrouvé en possession d'une toile de Matisse [Robe bleue dans un fauteuil ocre] acquise de manière parfaitement légale, mais qui se trouve avoir été volée à mon grand-père, et qu'il a fallu restituer." A la fin de la guerre, Alexandre Rosenberg, le fils de Paul, qui conduit un char dans la 2e DB du général Leclerc, intercepte l'un des derniers trains en partance pour l'Allemagne. A bord, au milieu de 148 caisses de chefs-d'oeuvre, des toiles qui appartiennent à son père... Le cinéaste américain John Frankenheimer en a fait un film, Le Train, avec Burt Lancaster - "un navet intégral!" s'amuse Anne Sinclair. Un extrait est projeté au cours de l'exposition, entre les peintures, les photos, les lettres, aussi, notamment les courriers d'un homme acharné à retrouver ce qui lui a été dérobé et qui s'adresse aux artistes pour leur demander de confirmer l'achat de telle ou telle toile.   "400 tableaux ont été volés à mon grand-père, résume Anne Sinclair. Lui-même en a récupéré beaucoup, mais il en reste une soixantaine qui n'ont jamais été retrouvés." Certains réapparaissent au hasard de l'actualité en 2011, la police allemande découvre des centaines de toiles acquises pendant la guerre au domicile de Cornelius Gurlitt, fils d'un marchand d'art de l'Allemagne nazie. Parmi elles, un Matisse, Femme assise, propriété de Paul Rosenberg, finalement restitué à sa famille. Aujourd'hui, la toile est exposée à La Boverie, à Liège. Aux Etats-Unis, Paul Rosenberg ne savait pas ce qui se passait en FranceExposé, aussi, le Portrait de madame Rosenberg et sa fille Micheline la grand-mère et la mère d'Anne Sinclair, peint par Picasso, donné au musée qui porte son nom après le décès de Micheline Rosenberg-Sinclair et que Hermann Goering, l'une des figures emblématiques du IIIe Reich, accrocha chez lui après l'avoir récupéré au musée du Jeu de Paume, à Paris. "Sur l'un des murs de l'exposition, raconte Anne Sinclair, il y a d'ailleurs une immense photo de la salle où étaient entreposées toutes les toiles volées. On y voit des peintures qui viennent directement de la galerie de mon grand-père, alors que lui, aux Etats-Unis, n'a aucune idée de ce qui se passe en France. C'est violent, non?" Paul Rosenberg, déchu de sa nationalité par le gouvernement de Vichy, apatride le temps de la guerre, redevient français à la Libération, mais décide de rester aux Etats-Unis, même s'il ne demandera jamais la nationalité américaine. Il ouvre une galerie à New York, Paul Rosenberg & Co., "pi-ar-enco", prononce Anne Sinclair, souvenir des initiales énoncées en anglais. "De nouveau, dit-elle, mon grand-père est à la fois acteur et témoin du déplacement du marché de l'art européen, du franchissement de l'Atlantique. Il l'a même anticipé, puisqu'il fait ses premiers voyages pour 'évangéliser' les Etats-Unis dès les années 1920. La suite, c'est le départ forcé, la traque..." S'il n'a jamais plus ouvert de galerie en France, Paul Rosenberg a beaucoup donné aux musées français. Qui prêtent aujourd'hui un certain nombre des tableaux exposés à La Boverie Beaubourg, Orsay, Picasso... Les autres viennent de prestigieux musées internationaux - de Berlin, de Philadelphie, de Washington, de Vienne, du MoMA, à New York - et de grandes collections privées, comme celle de David Nahmad; il possède l'une des plus belles collections de Picasso au monde. "J'aurais pu faire ce travail plus tôt, mais ce n'était pas mon truc"Anne Sinclair se définit comme l'"accompagnatrice" de cette exposition. "Tempora a fait tout le travail de recherche identifier et retrouver un peu partout les oeuvres qui avaient appartenu à mon grand-père." Pourquoi Liège? "Ce n'est pas anodin, confirme-t-elle. Le musée de Liège, dans un souci de protection du patrimoine, a acheté des tableaux aux nazis lors de de la fameuse vente de Lucerne, organisée en 1939, pour brader ce qui était considéré à l'époque en Allemagne comme de 'l'art dégénéré'; je vous rappelle que ça allait de Van Gogh aux impressionnistes! C'est la seule partie de l'exposition qui ne concerne pas directement des toiles ayant appartenu à mon grand-père, mais qui a une vocation pédagogique - revenir sur la conception que les nazis avaient de la peinture, et sur ce que ça a provoqué en Europe. Quand l'histoire de l'art cogne avec l'Histoire réelle..." "L'art et la culture permettent de résister à la sauvagerie, à la destruction, aux emballements de tous ordres", soutient Anne PlatiauLongtemps, Anne Sinclair s'est désintéressée de la saga familiale, au grand désespoir de sa mère "J'aurais pu faire ce travail de recherche [pour son livre] plus tôt, mais ce n'était pas mon truc. Je voulais être journaliste, la vie publique me passionnait bien plus que les archives!" D'autant qu'elle n'a pas bien connu son grand-père, mort quand elle avait 11 ans. "Pourtant, moi qui ai peu de mémoire, je me souviens très bien de cet homme très maigre... Je le revois, dans la voiture, alors qu'il m'emmenait visiter les galeries lorsqu'il était à Paris, après avoir beaucoup réfléchi, dire d'un coup 'C'est un faux!' Il avait un oeil très sûr." Pas son truc, donc, le passé, jusqu'au jour où un fonctionnaire zélé demande à cette journaliste reconnue, ex-star du petit écran, à l'époque femme de Dominique Strauss-Kahn, alors directeur général du Fonds monétaire international, de justifier de la nationalité de ses quatre grands-parents pour refaire sa carte d'identité. "Là, se souvient-elle... Le choc! Cette question d'identité m'est devenue très chère." Elle fait le lien entre l'exposition de Liège, qui sera à Paris au printemps, et l'actualité "Ça montre comment l'art et la culture permettent de résister à la sauvagerie, à la destruction, aux emballements de tous ordres et aux dérives de toute nature. L'instrumentalisation actuelle du thème de l'identité me terrifie." Aujourd'hui, Anne Sinclair aspire à une vie "calme et sereine", après avoir connu, ajoute-t-elle comme une évidence, "un certain nombre de tourments". Il y a quelques mois, Manuel Valls lui a proposé d'entrer au gouvernement; elle a refusé "Je ne suis pas une femme politique." Elle hésite, cherche la meilleure façon de formuler ce qu'elle a en tête "J'ai été... sincèrement émue qu'on me le propose." Conclut "Mais ce n'est pas moi. Pas moi du tout." Et elle fait un noeud à son sautoir bleu. Élise Karlin Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline Unpère et un fils, un peintre et un cinéaste.» Renoir × 2: cinéma et peinture . 6 et 7 décembre 2012. Auditorium Maxwell-Cummings du MBAM. 1379-A, rue Sherbrooke Ouest. Entrée libre . Il était une fois l’impressionnisme . Jusqu’au 20 janvier 2013. Pavillon Jean-Noël Desmarais du MBAM. 1380, rue Sherbrooke Ouest. mbam.qc.ca C'est vrai que ses films n'ont jamais parlé que de ça. Dans Seuls, un homme croit reconnaître sa mère sur une photo oubliée dans un photomaton. Dans Derborence, le personnage veut retrouver son père sous les rochers. La guerre dans le Haut Pays, le dernier, vous arrache des larmes par l'intensité des scènes entre le fils et le père, un homme au cœur pétrifié par la mort sa femme. Au centre de l'œuvre de Reusser l'orphelin, il y a la quête des parents. Le mystère est évidemment ailleurs tous les enfants abandonnés ne deviennent pas des cinéastes de 40 ans, Francis Reusser est allé vivre dans les montagnes, à Evolène. Aujourd'hui seulement, il comprend pourquoi. Il se dit mûr pour faire un travail» sur sa mémoire familiale, un livre peut-être. Ce n'est pas une obsession. Quand même, c'est tellement intéressant».Je n'ai plus personne derrière moi. Pendant le tournage de La Guerre dans le Haut Pays, le dernier membre ascendant de ma famille est mort. C'était ma tante Rose, la sœur de ma mère, une femme formidable. Elle aurait eu 100 ans ces jours-ci. Grâce à elle, par bribes, je commençais à avoir une mémoire, moi, l'orphelin qui ne savais rien. Et ça s'est brusquement interrompu.»En même temps, après son décès, j'ai reçu un vieux carton, où j'ai découvert des photos jamais vues. Dans ces images, je trouve ce que je suis. Par exemple, je n'aurais pas su expliquer mon rapport fasciné aux paysages de montagne. J'ai découvert que l'une des seules photos de ma mère et de mon père ensemble les montre encordés sur le Cervin.»Jusqu'à l'âge de 30 ans, je n'avais jamais vu une photo de ma mère. Elle est morte quand j'avais 2 ans, mon père ne m'en a jamais parlé, et il est mort quand j'en avais 13. Il s'était remarié très rapidement et je suis resté avec ma belle-mère. Le jour de mes 16 ans, dans un bistrot de Vevey, elle m'annonce je ne suis pas ta mère. Je suis littéralement tombé de ma chaise. Une horreur absolue, un gouffre sans fin.»Je ne sais pas pourquoi mon père s'est tu. Il s'appelait André, c'était le fils d'un horticulteur bernois venu s'installer à La Tour-de-Peilz. Il était plâtrier-peintre, il s'est qualifié socialement en devenant patron de bistrot à Bex, ensuite à Vevey, puis il a absolument voulu que j'aille au collège. Je crois qu'il a toujours rêvé d'une autre vie. J'ai le souvenir d'un homme autoritaire, et malheureux. Je crois que perdre sa première femme a été le drame de sa vie. A la fin, il s'est mis à boire, j'ai des images de déchéance, de violence. Le désespoir a été son secret.»Ça me revient, c'est une scène entre mon père et moi. Il m'emmène dans un mazot, comme dans mon film, un endroit imprégné de souvenirs, et il me dit On venait là avec ta mère». Qu'est-ce que j'ai compris, sur le moment? J'ai dû penser qu'il parlait de ma belle-mère, forcément.»J'ai connu la mère de mon père. On l'appelait la mère Reusser, elle tenait un magasin de primeurs. C'était un énorme personnage foisonnant, avec un chapeau à plumes, et qui fumait des Laurens orange à bout doré. Elle entre dans le seul souvenir joyeux avec mon père c'est en hiver, on a fait la descente Sonloup-Les Avants en bob à quatre. On a basculé dans un virage et je vois ma grand-mère couverte de neige avec son chapeau à plumes. Elle aussi, avec ses cigarettes à la turque, elle devait rêver d'autres horizons.»Tardivement, j'ai su que mon père avait deux frères. Le premier, Albert, un peu dingue, mort jeune, et l'autre, un homme magnifique, qui transportait toutes les vertus du monde. Mort très jeune, lui aussi. On m'a dit son prénom Francis.»Le jour où mon père est mort, j'étais au collège à Vevey, une voisine est entrée en classe et elle a dit, fort Il faudrait que Francis Reusser vienne avec moi, son père est mort.» Comme ça. On ne me l'a pas montré, je n'ai vu que son cercueil, ça aussi, c'est terrible. Sur le moment, à l'église, je n'ai pas pleuré. Des gens ont dit Cet enfant a le cœur sec.»»Ma mère s'appelait Elisa. Elle venait d'une famille d'immigrés huguenots haut-savoyards, probablement de souche aristocratique puisque leur nom, Langin, est celui d'un village. D'après ma tante, c'était une femme très douce, intelligente, d'une grande beauté. Elle est morte de sclérose en plaques. Sur les deux ans qu'elle a vécus après ma naissance, elle en a passé un à l'hôpital. On ne s'est vraiment pas connus.»Ma belle-mère, elle, venait d'une famille de paysans fribourgeois. Elle m'a élevé le mieux possible. Son père, Fridolin, m'a servi de grand-père. Il était accordéoniste et on jouait ensemble, le samedi soir, au bistrot, où il y avait un pont de danse. A la mort de mon père, ma belle-mère a repris le bistrot. Quand j'ai eu 16 ans, elle est partie. J'étais en échec scolaire, elle avait rencontré un homme qui ne voulait pas de moi. Je crois qu'elle est partie plus par fatigue que par lâcheté, je ne lui en veux pas. Sauf que pour moi, c'était un nouvel abandon, et ça a été le début de la catastrophe. Je me suis retrouvé en maison d'éducation à Genève, arrêté pour de petits vols. Ma belle-mère est encore vivante, je ne voudrais surtout rien dire qui la blesse.»J'ai aussi le souvenir de ma grand-mère maternelle, mémé, une très vieille dame qui habitait Zermatt avec ma tante. Rose s'y était installée en 1932, elle avait mené une vie mouvementée, elle était allée en Allemagne avant-guerre, comme nounou, puis elle avait épousé un ancien ouvrier des carrières de Roche. Elle tenait un bazar dans ce Zermatt de l'après-guerre et des grands hôtels. C'est là que j'ai passé toutes mes vacances. Je me souviens des soldats américains qui distribuaient des chewing-gums. C'est le seul endroit au monde où je retrouve une odeur d'enfance.»C'était tante Rose». Est-ce que je la prenais pour la sœur de ma belle-mère? Je crois plutôt que je ne me suis jamais posé la question. Les liens familiaux, je ne savais pas ce que c'était. Avec mon père, j'ai vécu au bistrot. C'est une tribu, dans un espace public. Plus tard, ça a continué, j'ai vécu dans les bistrots.»Quand ma belle-mère est partie, tante Rose, qui avait déménagé à Roche, a proposé de me prendre chez elle. J'y suis allé quelques mois. Je venais d'apprendre l'existence de ma mère, mais ce n'est que bien plus tard que j'ai posé des questions. La famille, c'était quelque chose hors de ma vie. Et en même temps, l'inconscient travaillait, puisque dans mes films, je n'ai jamais parlé d'autre chose que du lien avec le père, avec la mère.»C'est à 38 ans, au moment où je suis devenu père à mon tour, que j'ai eu besoin de savoir qui j'étais. Je tournais Seuls, et dans le film, Niels Arestrup fouille dans l'appartement de ma tante, il tire d'un vieux carton des photos, une mèche de cheveux, un collier. Ce carton est authentique, on l'avait sorti à l'occasion du tournage. Les photos, je les avais vues, mais la mèche de cheveux de ma mère, je l'ai découverte à ce moment-là.»Quand j'ai commencé à friser la délinquance, ma tante, la pauvre, a baissé les bras. Elle ne comprenait plus qui j'étais. Je m'en suis sorti grâce au directeur du centre de Chevrens, Louis Emery. Un homme magnifique, qui nous a éduqués comme il éduquait ses propres enfants en leur fournissant un modèle. Il a 70 ans, il vient à toutes mes premières, il est encore beau comme un Dieu. Même si ça fait ringard, j'ai envie de dire qu'il a le regard franc et net que ça fait du bien dans un monde où on ne croise plus le regard de personne. C'est grâce à lui que je suis entré à la TV. Dans les pires moments, il a été là, il ne m'a pas abandonné, lui.»A mon fils, j'ai surtout parlé de ma crise d'adolescence. Il a les cheveux rouges et verts, il a arrêté l'école, et suit le Conservatoire d'Art dramatique à Lausanne. Le dernier des Reusser a pris son envol.»Attendez, maintenant que j'y pense, il y a encore quelqu'un. J'ai une cousine, qui doit être la fille de Francis, le frère de mon père. Elle faisait de la danse, à La Tour-de-Peilz, elle était jolie comme tout, je me souviens parfaitement de son visage, je pourrais le peindre. Je crois qu'elle vit aux Ormonts, j'ai reçu une carte postale il y a dix ans. Je pourrais aller la voir. On a montré le film à Aigle, pourquoi n'est-elle pas venue? Qui sont vos parents, et les parents de vos parents? Tous les samedis, les invités de cette page Filiations» acceptent de répondre cette petite, et très grande, question.
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Pour qui ? Les amoureux d’images d’ quoi ? La Belle Époque à la campagne. Le Musée d’Orsay dresse le portrait d’art d’une dynastie française les Renoir. Le père, Pierre-Auguste, était un célèbre peintre impressionniste, plus porté visage que paysage. Le fils, Jean, l’un des plus grands cinéastes de tous les temps La Grande Illusion et La Règle du jeu entre autres chefs-dœuvre. Une vraie famille en or comme dirait Dechavanne. Créer des ponts motivés entre peinture et cinéma n'est pas si simple, et cette exposition a le mérite de s’y frotter brillamment. On parcourt les chambres du musée comme les couloirs d’une maison où seraient accrochés les tableaux et les photos des uns et des autres. Les extraits de film existent là, à côté des toiles, et nous montrent les héritages. "J’ai passé ma vie à tenter de déterminer l’influence de mon père" disait le réalisateur. Par ce dispositif, on découvre ce qu’il reste de peinture dans le cinéma de Jean. Notamment dans ses Parties de campagnes ou son Déjeuner sur l’herbe, vrai film en couleur qui lui permet de poursuivre son travail de mémoire. On comprend alors les hommages et les résistances. Tout le jeu savoureux des influences. Les thèmes partagés se dessinent ainsi sans forcer. D’un côté, cet amour démesuré pour le corps féminin la première femme du fils était d’ailleurs l’un des modèles du père. De l’autre, le besoin des environnements extérieurs et des gens. Ainsi, la maison familiale dans l’Aube et sa campagne seront les lieux de toutes les expérimentations et formes. Des intimités de chaumière, qui montrent parfaitement comment l’un et l’autre se racontaient, se comprenaient et s’aimaient. Renoir » s’avère de fait une magnifique métaphore du rapport entre peinture et cinéma, du passage de l’une à l’autre, comme se transmettraient les gènes d’un père à son fils Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme Le père était peintre, le fils cinéaste — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies.
Jean Renoir, deuxième fils du grand peintre Pierre-Auguste Renoir, fut l'un des cinéastes les plus influents du XXe siècle et même, selon
Un extrait du livre sur le peintre Pierre-Auguste Renoir, mon père » écrit par son fils, Jean Renoir, le cinéaste. Jean Renoir parle de son enfance au collègue et de la relation avec ses camarades de classe. Un extrait qui me réconforte dans ma façon de voir les choses ! Une autre différence qui me séparait de mes condisciples était leur attitude devant les questions sexuelles. La vue de photographies représentant des femmes nues les plongeait dans un état d’excitation incompréhensible pour moi. Ils se les passaient en cachette, s’enfermaient dans les cabinets pour les contempler longuement. Certains se masturbaient furieusement devant ces représentations d’un paradis bien terrestre mais encore lointain. Les bons pères ajoutaient à l’intérêt de ces images en les pourchassant, les confisquant et en punissant leurs détenteurs. Je ne savais que penser. Depuis ma naissance je voyais mon père peindre des femmes nues, et pour moi cette nudité était un état tout naturel. Mon indifférence me valut une réputation de blasé absolument imméritée du fait que le mystère n’existait pas pour moi. J’avais su très jeune que les enfants ne naissent pas dans les choux. J’étais d’une innocence stupéfiante. »
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Lepère était peintre, le fils cinéaste [ Codycross Solution ] Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la réponse à cette étape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Le père était peintre, le fils cinéaste. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. Au musée d’Orsay, l’exposition Renoir père et fils – Peinture et cinéma », du 6 novembre 2018 au 27 janvier 2019, nous présente, en huit sections, l’influence qu’a eu le peintre Auguste Renoir sur son fils le cinéaste. Lui-même ne déclarait-il pas J’ai passé ma vie à tenter de déterminer l’influence de mon père sur moi. » Nous pouvons voir de nombreux extraits de films de Jean Renoir où sont mis en rapport des toiles de son père et de ses amis artistes. Sont présentés également des dessins, des céramiques, des photographies, des costumes scéniques, des affiches, des manuscrits, des entretiens télévisés. Se livrer à la comparaison de deux artistes pour montrer les similitudes de leurs œuvres est un exercice délicat. Parfois on en vient à forcer le trait pour atteindre son objectif en notant des liens imaginaires. En ce qui concerne l’exposition Renoir père et fils », cette mise en relation est plus que justifiée tant de nombreux films de Jean Renoir 1894-1979 s’inspirent ouvertement de l’univers de son père, Auguste Renoir 1841-1919, et plus largement de l’impressionnisme et de l’esprit Belle Époque. Cette comparaison est à sens unique, c’est bien le cinéaste qui est comparé au peintre et non l’inverse. En matière artistique, lorsque l’on a un père célèbre, il convient d’éviter d’embrasser la même spécialité. Ainsi Jean s’est fait un nom en devenant un des plus grands cinéastes, alors qu’Auguste est un des plus célèbres peintres dans leur genre, ils sont des maîtres. Pourtant, Jean Renoir, initié par son père, a pratiqué professionnellement dans sa jeunesse la céramique dont l’exposition nous présente quelques exemplaires, des pots, coupes et vases aux couleurs fauves. Cependant, le fils ne se sentait pas légitime à devenir lui-même un artiste, car il devinait que la céramique ne serait qu’une étape avant de s’orienter vers la peinture, discipline déjà occupée par son génie de père, et, c’est pourquoi, il se tourna vers le cinéma, considéré alors comme un artisanat. En effet, le cinéma, dans les années 1920, était méprisé par l’intelligentsia, dans la mesure où les films étaient projetés dans des baraques foraines. C’est en 1915, lors d’une convalescence, à la suite d’une blessure de guerre, qu’il découvrit le cinéma et, par la même occasion, Charles Chaplin, figure décisive dans son désir de pratiquer cette activité. En se mariant, en 1920, avec Andrée Heuschling, le dernier modèle de son père, Jean Renoir note dans ses mémoires Ma vie, mes films 1974 Je n’ai mis les pieds dans le cinéma que dans l’espoir de faire de ma femme une vedette ». En effet, Catherine Hessling, son nom de scène à consonance anglo-saxonne, avait une fascination pour le cinéma américain et ses stars sophistiquées comme Gloria Swanson ou Mary Pickford. C’est pourquoi, Jean la mit en scène dans cinq films muets, à forte tendance expressionniste, dont le plus notable est Nana d’après Émile Zola. Tous ces films ne connurent aucun succès et lui coûtèrent de nombreux tableaux, une façon de financer ses danseuses que représentaient sa femme et le cinéma. Il dut attendre le début des années 1930, et le cinéma parlant, pour tourner des œuvres significatives qui allaient rencontrer un public élargi et une critique favorable, comme La Chienne 1931 et Boudu sauvé des eaux 1932, films tournés sans Catherine Hessling qui sortit ainsi par la petite porte de la vie de Renoir. Le père admiré Parmi les photos représentant Jean Renoir dans ses différents lieux de vie, nous remarquons fréquemment en arrière-fond des tableaux de son père. Malgré le fait qu’il ait mis sur le marché une grande partie des toiles de son père, dans les années 1920, il en conserva un certain nombre, mais aussi, après 1945, racheta des petits formats, les plus accessibles, dont il s’était dessaisi à regret. En revanche, le grand portrait Jean en chasseur 1910 – venu tout droit du musée d’art du comté de Los Angeles – qui représente Jean Renoir à 14 ans, fusil à la main, avec son chien à ses pieds, il ne s’en sépara jamais. En parcourant les salles, nous prenons conscience que Jean Renoir fut plongé dès son enfance dans l’environnement de la peinture, posant pour son père et côtoyant les amis peintres de ce dernier. Il éprouvait une telle admiration pour son père que celui-ci eut une influence durable sur le travail de son fils. Dans un entretien aux Cahiers du cinéma en 1979, le cinéaste ne déclarait-il pas Si certains passages et certains costumes peuvent rappeler les tableaux de mon père, c’est pour deux raisons d’abord parce que cela se passe à une époque et dans des lieux où mon père a beaucoup travaillé, à l’époque de sa jeunesse ; ensuite c’est parce que je suis le fils de mon père et qu’on est forcément influencé par ses parents. » Inspiré par la peinture La première salle est consacrée à Partie de campagne, probablement le film le plus emblématique du rapport du cinéaste avec l’univers de son père. Adapté d’une nouvelle de Guy de Maupassant et tourné à l’été 1936, le film inachevé, en raison, entre autres, de problèmes financiers et météorologiques, ne sortira sur les écrans qu’en 1946. Le tournage se déroule sur les rives du Loing, à l’endroit même où Auguste, vers 1860, peignait sur motif avec ses amis Claude Monet, Alfred Sisley et Frédéric Bazille. Dans Partie de campagne, Jean rend hommage à la nature et aux toiles de son père. Les roseaux pliés sous le vent semblent sortir de la toile d’Auguste La Seine à Champrosay 1876 ; la fameuse scène de balançoire dans le film, jouée par Sylvie Bataille, est une citation explicite du tableau La Balançoire 1876. Bien qu’il manque un élément de taille – qui est la couleur – pour restituer l’esthétique impressionniste, le film en noir et blanc y réussit tout de même à travers les costumes, les décors naturels, l’intensité des sensations captées par la caméra, les jeux de lumière, les effets d’ombre. Les promenades dans les herbes du couple Henriette et Henri, joué par Sylvia Bataille et Georges d’Arnoux, renvoient à la toile Chemin montant dans les hautes herbes 1875. D’autres films font écho aux lieux chargés de souvenirs du père et du fils. D’abord c’est le Montmartre de la fin du xixe siècle où Jean vécut ses premières années. Dans un entretien que l’on peut écouter dans l’exposition, le cinéaste se remémore le Montmartre de son enfance comme un pays de castes où une caste ne se mélange pas avec une autre caste. Dans French Cancan 1955, Jean Renoir évoque les débuts du célèbre cabaret le Moulin-Rouge, afin de rendre hommage au monde du spectacle et, par conséquent, au cinéma. A cette occasion, il s’inspira des tableaux de son père comme le Bal du moulin de la galette » 1876, mais aussi des autres artistes de cette époque, notamment Toulouse-Lautrec et l’affichiste Jules Chéret. Paysages méditerranéens L’autre lieu partagé par les Renoir était Cagnes-sur-Mer où la famille possédait le domaine des Collettes qui servira de décor au Déjeuner sur l’herbe 1959. Dans ce film, Jean Renoir rend hommage une nouvelle fois à son père en essayant d’exprimer la vivacité des couleurs et des personnages. La jupe rouge et le corsage blanc de Nénette Catherine Rouvel évoquent la toile d’Auguste Renoir peint en 1910-1912 Le Grand Arbre. Femme au corsage rouge dans le jardin de Cagnes. Alors que Partie de campagne était en noir et blanc, mais réussissait malgré tout à suggérer la couleur, le Déjeuner sur l’herbe est tourné en Technicolor, procédé qui créé des couleurs chatoyantes et saturées. La plupart du film est tournée en extérieur – comme les impressionnistes qui peignaient sur le motif – et s’attarde sur les oliviers centenaires, que peignait son père à la fin de sa vie, la beauté des paysages méditerranéens, les herbes aquatiques qui s’agitent dans le courant de la rivière et la sensualité de Nénette, une baigneuse qui aurait pu sortir d’une des toiles d’Auguste. Jean Renoir a suivi lors de sa carrière un des conseils de son père Il faut se laisser aller dans la vie comme un bouchon dans le courant d’un ruisseau », c’est pourquoi ses films, conçus en fonction de rencontres et de circonstances, appartiennent à des registres et à des genres différents qui mettent en avant ses incertitudes quant à la conduite à tenir en art comme dans la vie. Ceci est à raccorder à la fameuse phrase de La Règle du jeu 1939 prononcée par Octave, un artiste raté pique-assiette personnage joué par le cinéaste lui-même Le plus terrible dans ce monde c’est que chacun a ses raisons ». Didier Saillier Janvier 2019 Photo Photogramme du Déjeuner sur l’herbe 1959 de Jean Renoir, avec Catherine Rouvel. Afinde le stabiliser, le père laisse son fils à sa propre mère. Problème : le fils va y découvrir que son grand-père était un peintre de talent et va Lire plus. I'm A Rocket Man Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme peintre pour le père, cinéaste pour le fils — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies.
Josephpatron des travailleurs, ou comment le père a remplacé le fils. Saint Joseph fait partie des quelques rares saints à avoir deux fêtes au calendrier: le 19 mars, qui est sa fête principale, et le 1er mai où les catholiques sont invités à contempler le travailleur Joseph. L’histoire de l’institution de cette fête en 1955 est
Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la réponse à cette étape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Le père était peintre, le fils cinéaste. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nécessitent une bonne connaissance générale des thèmes politique, littérature, mathématiques, sciences, histoire et diverses autres catégories de culture générale. Nous avons trouvé les réponses à ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficulté. Si vous cherchez des réponses, alors vous êtes dans le bon sujet. Le jeu est divisé en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposée dans l’ordre d’apparition des puzzles. Vous pouvez également consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Codycross RENOIR Nous pouvons maintenant procéder avec les solutions du sujet suivant Solution Codycross Saisons Groupe 71 Grille 3. Si vous avez une remarque alors n’hésitez pas à laisser un commentaire. Si vous souhaiter retrouver le groupe de grilles que vous êtes entrain de résoudre alors vous pouvez cliquer sur le sujet mentionné plus haut pour retrouver la liste complète des définitions à trouver. Merci Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'énigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayés. This div height required for enabling the sticky sidebar
LeBateau-phare s’organise autour de deux duels psychologiques, l’un entre un père et son fils, l’autre entre le père, capitaine d’un bateau-phare, et un gangster en cavale. Selon la règle des tournages confinés, l’histoire du film a contaminé son tournage, avec des affrontements d’ego entre Klaus Maria Brandauer (dont la ressemblance physique avec Skolimowski n’est
Dutch National Archives Dutch National Archives DÉCÈS - Alexandre Astruc est mort. Le cinéaste et écrivain est décédé à l'âge de 92 ans, a-t-on appris ce jeudi 19 mai de ses proches. Père spirituel de la Nouvelle vague, figure du Saint-Germain-des-Prés d'après-guerre et théoricien de la "caméra-stylo", Alexandre Astruc considérait le cinéma comme l'équivalent de la littérature. Il hésitait à se définir comme "un metteur en scène qui aurait écrit des livres ou un écrivain qui aurait réalisé des films". Récompensé par le Prix René-Clair en 1994 pour l'ensemble de son oeuvre cinématographique, Alexandre Astruc est principalement connu comme réalisateur du "Rideau cramoisi", de "La Proie pour l'ombre" ou encore de "La Longue Marche". Il a aussi réalisé des adaptations "Une vie", d'après le roman de Maupassant et "L'Éducation sentimentale", d'après Flaubert et est à l'origine du scénario des "Âmes fortes". 28 septembre - Shimon Peres - Le prix Nobel de la paix et ancien président israélien Shimon Peres est décédé mercredi 28 septembre, deux semaines après un accident vasculaire cérébral, a annoncé son médecin. Avec Shimon Peres disparaît une figure historique, dernier survivant de la génération des pères fondateurs de l'Etat d'Israël et l'un des principaux artisans des accords d'Oslo qui ont jeté les bases d'une autonomie palestinienne dans les années 1990 et lui ont valu le Nobel de la paix. 25 septembre - Arnold Palmer - La légende du golf Arnold Palmer, surnommé "The King" pour avoir fait entrer, avec son imposant palmarès et sa personnalité magnétique, sa discipline dans une autre dimension dans les années 1960, est mort à l'âge de 87 ans. Il est le cinquième joueur le plus titré de l'histoire du circuit PGA avec ses 62 titres. » Lire notre article complet en cliquant ici 25 septembre - Jean Boissonnat - Le journaliste et essayiste, spécialiste de l'économie, est décédé à l'âge de 87 ans. Cofondateur du magazine économique L'Expansion, puis de L'Entreprise, il est mort des suites d'un AVC accident vasculaire cérébral. » Lire notre article complet en cliquant ici 25 septembre - Joseph Sitruk - Aussi charismatique qu'intraitable sur l'orthodoxie religieuse, l'ancien grand rabbin de France Joseph Sitruk, guide spirituel de la première communauté juive d'Europe pendant plus de 20 ans, est mort à Paris à l'âge de 71 ans. Victime d'une attaque cérébrale en 2001 et malade depuis plusieurs années, il est décédé à l'hôpital. » Lire notre article complet en cliquant ici 20 septembre - Curtis Hanson - Le réalisateur américain Curtis Hanson, qui avait notamment porté à l'écran " Confidential" de James Ellroy, est mort mardi 20 septembre à 71 ans à son domicile sur les hauteurs de Hollywood, a indiqué la police. Des agents avaient été appelés chez lui et n'ont pu que constater son décès de "causes naturelles". 16 septembre - Edward Albee - Le dramaturge Edward Albee est mort le 16 septembre à l'âge de 88 ans. Il est notamment connu pour être l'auteur de la célèbre pièce de théâtre "Qui a peur de Virginia Woolf?, scène de ménage devenue légendaire. 11 septembre - Alexis Arquette - Symbole de la lutte pour la cause transgenre, l'actrice Alexis Arquette est décédée à 47 ans. Selon TMZ, elle serait morte entourée de sa famille et de ses amis. » Lire notre article complet en cliquant ici 4 septembre - Élisabeth Collot - La doyenne des Français, l'Iséroise Élisabeth Collot, est décédée à Échirolles, près de Grenoble, à l'âge de 113 ans. Née le 21 juin 1903 à Angelot-Blancheville en Haute-Marne, elle s'est "éteinte tranquillement dans son sommeil", a déclaré à l'AFP sa fille Marie-Thérèse Collot. » Lire notre article complet en cliquant ici 3 septembre - Jean-Christophe Yoccoz - Le mathématicien français Jean-Christophe Yoccoz, connu pour ses travaux sur la théorie des systèmes dynamiques et lauréat de la médaille Fields en 1994, est décédé à l'âge de 59 ans. 2 septembre - Islam Karimov - Le président de l'Ouzbékistan, âgé de 78 ans, est décédé des suites d'une hémorragie cérébrale. » Lire notre article complet en cliquant ici 2 septembre - Jerry Heller - L'ancien producteur est décédé à Thousand Oaks Californie des suites d'une attaque cardiaque. Agé de 75 ans, il est connu pour avoir été le manager de le groupe à l'affiche du film à succès Straight Outta Compton, ainsi que de l'un des leaders de la formation californienne, Eazy-E. » Lire notre article complet en cliquant ici 30 août - Marc Riboud - Marc Riboud est mort à l'âge de 93 ans. Avec La Fille à la fleur, celui qui est considéré comme l'un des plus grands photographe de presse, laisse derrière lui l'un des plus célèbre hymne à la paix. Prise le 21 octobre 1967 à Washington, sa photographie immortalise une jeune militante contre la guerre au Vietnam devant le Pentagone. Alors que la nuit tombe et que les manifestants pacifistes rentrent chez eux, Jane Rose Kasmir s'approche des soldats américains, et oppose à leurs baïonnettes une simple fleur. » Lire notre article complet en cliquant ici 29 août - Gene Wilder - L'acteur américain Gene Wilder, inoubliable interprète de "Willy Wonka" et pilier des comédies débridées de Mel Brooks, est décédé lundi 29 août à l'âge de 83 ans. Gene Wilder, dont le nez proéminent et la chevelure bouclée abondante rendaient son visage reconnaissable entre tous, est décédé des suites de la maladie d'Alzheimer à Stamford dans le Connecticut. 25 août - Sonia Rykiel - Sonia Rykiel, un très grand nom de la mode, est morte à l'âge de 86 ans. "Ma mère est décédée cette nuit à Paris, chez elle, à 5 heures du matin, des suites de la maladie de Parkinson", avait déclaré ce 25 août sa fille Nathalie Rykiel, elle aussi femme de mode. » Lire notre article complet en cliquant ici 24 août - Michel Butor - Le romancier Michel Butor est mort à l'âge de 89 ans. Il était connu pour son roman La Modification 1957, ouvrage majeur du Nouveau roman, ainsi que pour la part de son œuvre consacrée aux livres d'art. » Lire notre article complet en cliquant ici 22 août - Toots Thielemans - Considéré comme le roi mondial de l'harmonica, le musicien belge Toots Thielemans est décédé à 94 ans, après une longue carrière internationale au cours de laquelle il a joué aux côtés des plus grands noms du jazz. Il est mort "dans son sommeil", un mois après avoir été hospitalisé à cause d'une chute. » Lire notre article complet en cliquant ici 22 août - Jacqueline Pagnol, première "Manon des sources" - L'actrice Jacqueline Pagnol, épouse et muse de l'écrivain, et première Manon des Sources en 1952, est décédée à l'âge de 95 ans à Paris. » Lire notre article complet en cliquant ici 19 août - Jack Riley, le père des "Razmoket" - L'acteur américain, qui prêtait sa voix au père de famille du dessin animé Les Razmoket, est mort à Los Angeles à l'âge de 80 ans. Le comédien, qui faisait régulièrement des apparitions dans des talks shows américains à succès, avait aussi joué dans certains films de Robert Altman, comme Le privé en 1973 ou Les Flambeurs en 1974. » Lire notre article complet en cliquant ici 18 aout - Jérôme Monod - Jérôme Monod, ancien patron de Suez-Lyonnaise des Eaux et très proche collaborateur et ami de Jacques Chirac, est décédé à l'âge de 85 ans dans sa propriété de Lourmarin dans le Vaucluse. » Lire notre article complet en cliquant ici 17 août - Maurice Opinel - Le président de la société familiale Opinel, artisan de la modernisation de l'entreprise, est décédé à l'âge de 88 ans. Petit-fils du fondateur, Maurice Opinel présidait le conseil d'administration de l'entreprise depuis septembre 1974. Il a été très actif pour protéger sa marque par des dépôts de brevets et pour lutter contre la contre-façon. 16 août - Joao Havelange - Le Brésilien Joao Havelange, ex-président de la Fifa, est décédé à l'âge de 100 ans. Né le 8 mai 1916 à Rio dans un milieu aisé, de parents belges qui avaient fui les horreurs de la première guerre mondiale, Jean-Marie Joao Faustin Godefroid Havelange était devenu en 1974 le premier non-Européen à être élu à la présidence de la Fifa. » Lire notre article complet en cliquant ici 15 août - Solange Fasquelle - La romancière française, auteure de "L'Air de Venise", prix des Deux-Magots 1967, et membre du jury du Prix Femina, est décédée à Paris à l'âge de 83 ans des suites d'une maladie. Son roman "Le Trio infernal", paru en 1972, avait été adapté au cinéma par Francis Girod et interprété par Michel Piccoli et Romy Schneider. 14 août - Georges Séguy - Georges Séguy, qui a dirigé la CGT de 1967 à 1982, est décédé à l'âge de 89 ans à l'hôpital de Montargis dans le Loiret, des suites d'une "maladie". » Lire notre article complet en cliquant ici 13 août - Kenny Baker, le R2-D2 de "Star Wars" - L'acteur britannique célèbre pour avoir incarné le petit robot R2-D2 dans le film La Guerre des étoiles, est mort à l'âge de 81 ans. Kenny Baker, qui mesurait à peine plus d'un mètre, souffrait depuis un certain temps de problèmes pulmonaires, selon sa famille. » Lire notre article complet en cliquant ici 13 août - Michel Richard - Le chef français Michel Richard est mort samedi à Washington, la capitale des Etats-Unis où il fait figure de pionnier de la scène culinaire en mélangeant saveurs et goûts américains et français dans plusieurs restaurants à succès. Né en 1948 en Bretagne, Richard est décédé samedi matin à l'âge de 68 ans dans un hôpital de Washington des suites d'une attaque cérébrale, selon son porte-parole Mel Davis cité par le Washington Post. » Lire notre article complet en cliquant ici 13 août - Françoise Mallet-Joris - Françoise Mallet-Joris, l'auteur du Rempart des Béguines, est morte à l'âge de 86 ans. La romancière franco-belge, qui avait reçu le Prix Fémina pour L'empire céleste en 1958, était membre de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique depuis 1993. » Lire notre article complet en cliquant ici 4 août - David Huddleston - L'acteur américain, qui a notamment incarné le "Big Lebowski" dans le film éponyme des frères Coen, est décédé à l'âge de 85 ans dans la ville de Santa Fe, a indiqué jeudi 4 août son épouse au Los Angeles Times. Il avait joué dans de nombreuses séries télévisées. Sur grand écran, il était apparu dans "Le shérif est en prison"1974 de Mel Brooks ou encore "Santa Claus The movie". » Lire notre article complet en cliquant ici 2 août - Ahmed Zoweil - Le chercheur égyptien Ahmed Zoweil, lauréat du prix Nobel de chimie en 1999, est décédé à 70 ans aux Etats-Unis où il enseignait. Ahmed Zoweil, qui possédait également la nationalité américaine, était professeur à l’Institut de technologie de Californie. » Lire notre article complet en cliquant ici 25 juillet - Denis Dubourdieu - L'œnologue, chercheur, vigneron et propriétaire de châteaux bordelais Denis Dubourdieu, fondateur-directeur de l'Institut des sciences de la vigne et du vin, dont les travaux de recherche dans les années 80 inspirent la viticulture contemporaine, est décédé le 25 juillet à l'âge de 67 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 21 juillet - Luc Hoffmann - L'ornithologue suisse Luc Hoffmann, grand défenseur de l'environnement et co-fondateur du Fonds mondial pour la nature WWF, est décédé jeudi 21 juillet à l'âge de 93 ans en Camargue, région dont il a été un grand mécène. La Tour du Valat, centre de recherches qu'il a fondé, l'a annoncé vendredi 22 juillet. » Lire notre article complet en cliquant ici. 19 juillet - Garry Marshall - Il était l'auteur de films et sitcoms dont vous vous souvenez très certainement. Garry Marshall est mort mardi 19 juillet des complications d'une pneumonie, à la suite d'une attaque à l'hôpital dans la banlieue de Burbank près de Los Angeles, a confirmé son attaché de presse. Il avait 81 ans et une belle carrière derrière lui. 'Pretty Woman", "Happy Days", "Laverne and Shirley" ou encore "The Odd Couple", Garry Marshall laisse derrière lui un grand vide sur le grand comme le petit écran. Il a su faire rire bien des téléspectateurs avec ses sitcoms à succès dans les années 70. » Lire notre article complet en cliquant ici. 18 juillet - Matilda Rapaport - La championne suédoise de ski freeride est morte à 30 ans après avoir été emportée par une avalanche lors d'un tournage publicitaire au Chili. » Lire notre article complet en cliquant ici. 17 juillet - Raymonde Tillon-Nédelec - La résistante communiste Raymonde Tillon-Nédelecest décédée à l'âge de 100 ans, a annoncé dimanche 17 juillet l'Elysée, François Hollande saluant cette "femme engagée" qui était "la dernière survivante" des 33 premières femmes élues députées en 1945. Selon un communiqué de l'Elysée, le président de la République a salué "le parcours exemplaire de cette femme", députée communiste des Bouches-du-Rhône de 1945 à 1951 qui s’était "engagée très jeune dans l’action syndicale et politique", et était "la dernière survivante des 33 femmes élues à la première Assemblée Constituante de la IVe République". » Lire notre article complet en cliquant ici. 4 juillet - Abbas Kiarostami - Le réalisateur iranien Abbas Kiarostami est mort à 76 ans des suites d'un cancer, a-t-on appris lundi 4 juillet. Celui qui avait remporté la Palme d'Or à Cannes en 1997 avec "Le Goût de la cerise" est décédé en France alors qu'il y était venu pour recevoir des soins, a rapporté le Guardian. » Lire notre article complet en cliquant ici. 14 juillet - Les victimes de l'attentat de Nice - Niçois, familles étrangères en vacances, dix enfants et adolescents 84 vies ont été fauchées le 14 juillet lors de l'attentat de Nice, qui a aussi fait 331 blessés. Trente-huit victimes viennent de 19 pays Algérie, Allemagne, Arménie, Belgique, Brésil, Estonie, Etats-Unis, Géorgie, Italie, Kazakhstan, Madagascar, Maroc, Pologne, Roumanie, Russie, Suisse, Tunisie, Turquie et Ukraine, a par ailleurs précisé le ministère des Affaires étrangères français. Dans notre article, vous pourrez retrouver la liste de ces personnes décédées, établie sur la base d'informations parues sur les réseaux sociaux et de confirmations de membres de leurs familles, de proches, d'élus locaux ou de sources diplomatiques des pays d'origine des victimes. 2 juillet - Roger Dumas - Roger Dumas, acteur connu pour ses seconds rôles au cinéma dans des films comme "L'homme de Rio", "Pouic-Pouic" ou "Les Visiteurs 2", mais aussi habitué des planches et parolier pour Sylvie Vartan ou Chantal Goya, est décédé à Paris à l'âge de 84 ans, a annoncé son agent à l'AFP. "Il avait débuté sa carrière avec Jean Gabin dans 'Rue des prairies' et l'a terminée avec le grand succès de 'L'étudiante et Monsieur Henri' au théâtre. Il a tourné avec beaucoup de gens, et il a écrit des tubes pour Chantal Goya ou Sylvie Vartan. C'était un personnage étonnamment gentil, sympathique", a ajouté l'agent. » Lire notre article complet en cliquant ici. 2 juillet - Michael Cimino - Le réalisateur de "Voyage au bout de l'enfer", "La Porte du paradis", "L'Année du dragon" ou encore "Le Sicilien", est mort à l'âge de 77 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici. 2 juillet - Elie Wiesel - Le prix Nobel de la paix et survivant de la Shoah, Elie Wiesel, est mort à l'âge de 87 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 2 juillet - Michel Rocard - Le Premier ministre de François Mitterrand entre 1988 et 1991 s'est éteint à l'âge de 85 ans, dans un hôpital parisien. Michel Rocard avait été le symbole de la gauche réformiste. » Lire notre article complet en cliquant ici 1er juillet - Yves Bonnefoy - Yves Bonnefoy, le plus célèbre poète français contemporain, également critique d'art et traducteur, est mort vendredi 1er juillet à l'âge de 93 ans. Auteur de plus de 100 livres, traduit en une trentaine de langues, cité plusieurs fois pour le Nobel, il a été lauréat en France du Grand prix de poésie 1981 de l'Académie, du Goncourt 1987 de la poésie et a remporté le prix mondial Cino del Duca 1995. » Lire notre article complet en cliquant ici. 1er juillet - Eudoxie Baboul - La doyenne des Français, la Guyanaise Eudoxie Baboul, est décédée à Cayenne à l'âge de 114 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 27 juin - Maurice G. Dantec - Le compte des éditions "Le Feu Sacré" a annoncé la mort de Maurice G. Dantec sur Facebook. L'écrivain français naturalisé canadien de science-fiction est décédé à l'âge de 57 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 27 juin - Bud Spencer - L'acteur italien de western spaghetti Bud Spencer, connu pour ses duos au cinéma avec Terence Hill, est décédé le lundi 27 juin à Rome à l'âge de 86 ans. 25 juin - Bill Cunningham - Le célèbre photographe de mode du New York Times Bill Cunningham est décédé samedi, a annoncé le journal où il travaillait depuis près de 40 ans. Il avait 87 ans. Bill Cunningham, véritable légende vivante de la photographie de mode dans la rue, qu'il a inventée, avait été récemment hospitalisé après avoir subi une attaque, a précisé le quotidien qui a salué en lui un "anthropologue culturel atypique". L'oeil aux aguets, un peu voûté, toujours une veste bleue de balayeur parisien sur le dos, un appareil photo –jusqu'à peu argentique– autour du cou, il avait une passion photographier l'allure. 25 juin - Nicole Courcel - La comédienne Nicole Courcel, mère de l'animatrice Julie Andrieu et vedette de plusieurs séries populaires à la télévision, est décédée samedi soir à l'âge de 84 ans, a-t-on appris auprès de sa fille. "Ma maman est décédée samedi vers 22H00 chez elle", a déclaré Julie Andrieu à l'AFP. "Depuis plusieurs années, elle souffrait d'une maladie cérébrale", a-t-elle ajouté. Nicole Courcel accède à la célébrité en 1949 avec Rendez-vous de juillet, de Jacques Becker. Elle tourne ensuite avec Sacha Guitry dans Si Versailles m'était conté 1953, puis dans une comédie à succès Papa, maman, la bonne et moi 1955. On la retrouvera plus tard dans Les Dimanches de Ville d'Avray 1961, L'Aventure, c'est l'aventure 1972 ou La Gifle de Claude Pinoteau 1974. 20 juin - Edgard Pisani - L'Elysée a annoncé mardi 21 juin la mort d'Edgard Pisani à l'âge de 97 ans. Ministre du général de Gaulle et de François Mitterrand, l'ancien commissaire européen a été salué par François Hollande comme "un esprit visionnaire, un réformateur ardent et un républicain détaché des querelles partisanes". Lire notre article complet ici. 20 juin - Benoîte Groult - La romancière et grande figure du féminisme est morte à 96 ans. Auteure de La Part des choses 1972, La Touche étoile 2006 ou Ainsi soit-elle 1975, journaliste pour Elle ou Marie-Claire, elle a marqué des générations de femmes par son combat pour l'émancipation féminine. Lire notre article complet en cliquant ici. 19 juin - Anton Yelchin - Le jeune acteur américain Anton Yelchin, une des vedettes des nouveaux films de la saga "Star Trek", est mort écrasé par sa propre voiture devant son domicile de Los Angeles. Il avait 27 ans. 15 juin - Ann Morgan Guilbert - L'actrice américaine Ann Morgan Guilbert est décédée mercredi 15 juin à Los Angeles des suites d'un cancer, a confirmé sa fille Nora Eckstein à l'agence Associated Press. Âgée de 87 ans, la comédienne avait débuté sa carrière dans les années 50 et s'était fait remarquer par le public américain dans le Dick Van Dyke Show en jouant le personnage de Millie Helper. Bien des années plus tard, sa renommée a traversé les frontières grâce à la série Une Nounou d'enfer. 10 juin - Christina Grimmie - La chanteuse américaine Christina Grimmie, ancienne participante à l'émission The Voice USA, a été tuée par un homme qui lui a tiré dessus vendredi soir, le 10 juin, alors qu'elle signait des autographes à l'issue d'un concert. Lire notre article complet en cliquant ici. 4 juin - Hervé Baudry - Dessinateur de presse et chroniqueur de l'émission "On va plus loin" sur Public Sénat, Hervé Baudry collaborait avec Rue89 ou Le HuffPost. » Lire notre article complet en cliquant ici 3 juin - Pierre Grimblat - Le producteur de "Navarro" et "L'Instit" est décédé à Paris à l'âge de 93 ans. Si son nom n'était pas très connu du grand public, Pierre Grimblat a produit quelques-unes des séries les plus célèbres de TF1 et France 2. » Lire notre article complet en cliquant ici 3 juin - Mohamed Ali - La légende de la boxe est morte à l'âge de 74 ans à Phoenix Arizona, "après un combat de 32 ans contre la maladie de Parkinson", selon les mots de son porte-parole Bob Gunnell. Le triple champion du monde des lourds est resté le plus célèbre boxeur de l'histoire, qu'il a écrite un demi-siècle durant avec ses poings, un verbe acéré et un charisme fou. » Lire notre article complet en cliquant ici 3 juin - Luis Salom - L'Espagnol Luis Salom, 24 ans, s'est tué vendredi après une chute lors de la deuxième séance d'essais libres de Moto 2 du Grand Prix de Catalogne, qui doit se disputer dimanche sur le circuit de Montmelo. Alors qu'il restait moins d'une demi-heure de session, le pilote de SAG Team a chuté dans le virage 12. Transféré dans un hôpital voisin, il n'a pu être ranimé. 31 mai - Emmanuel Maubert - Le journaliste et animateur âgé de 51 est décédé une quinzaine de jours après son un cardiaque à Cannes, qui avait conduit à son hospitalisation. Il a notamment été chroniqueur dans l'émission "C à vous" sur France 5. » Lire notre article complet en cliquant ici 29 mai - André Rousselet - Figure de l'administration, mais aussi de la politique, du monde des médias et de l'économie en France, André Rousselet est décédé dimanche 29 mai après-midi à son domicile parisien à l'âge de 93 ans, a-t-on appris auprès de sa famille. Ancien sous-préfet et député, André Rousselet est surtout connu en tant qu'ancien propriétaire de la compagnie de taxis G7, aujourd'hui dirigée par son fils Nicolas Rousselet, et pour avoir fondé la chaîne Canal+ en 1984. Lire notre article complet en cliquant ici. 27 mai - Jean-Claude Decaux - L'inventeur de l'Abribus financé par la publicité et fondateur du groupe d'affichage publicitaire JCDecaux est mort à 78 ans. Autodidacte, il avait fait en cinquante ans du groupe qui porte son nom le numéro un mondial du mobilier urbain et de la publicité dans les transports. » Lire notre article complet en cliquant ici 19 mai - Alexandre Astruc - Alexandre Astruc est mort. Le cinéaste et écrivain est décédé à l'âge de 92 ans, a-t-on appris ce jeudi 19 mai de ses proches. Père spirituel de la Nouvelle vague, figure du Saint-Germain-des-Prés d'après-guerre et théoricien de la "caméra-stylo", Alexandre Astruc considérait le cinéma comme l'équivalent de la littérature. Il hésitait à se définir comme "un metteur en scène qui aurait écrit des livres ou un écrivain qui aurait réalisé des films". 15 mai - André Brahic - L'astrophysicien André Brahic, découvreur des anneaux de Neptune et infatigable passeur de sciences à l'enthousiasme jamais démenti, est mort dimanche matin à Paris à l'âge de 73 ans. "C'était un personnage éblouissant et hors du commun, extraordinairement chaleureux, profond et authentique, un grand savant et en même temps un conteur, un écrivain", a dit son éditeur Odile Jacob qui était très proche de lui. 6 mai - Patrick Ekeng - Le milieu de terrain camerounais Patrick Ekeng est mort vendredi soir dans la capitale roumaine après un malaise lors d'un match du Championnat de Roumanie, a annoncé son club du Dinamo Bucarest. "Des tentatives de réanimation ont été faites durant une heure et demie sans réussite", a déclaré le médecin de Dinamo Bucarest Liviu Batineanu aux journalistes. Agé de 26 ans, l'international camerounais était entré sur le terrain contre Viitorul Constanta depuis sept minutes au moment où il a chuté soudainement sur le gazon, sans aucun contact préalable avec un autre joueur. 5 mai - Maurice Sinet dit Siné - Le dessinateur et caricaturiste est mort à l'âge de 87 ans des suites d’une opération. Avant de fonder son journal, Siné Mensuel, il avait été une figure historique de Charlie Hebdo. » Lire notre article complet en cliquant ici 2 mai - Hubert Mounier - Le groupe L'Affaire Louis Trio dont il était le leader avait été créé en 1982 à Lyon. Hubert Mounier, connu alors sous le nom de Cleet Boris, l'avait fondé avec son frère Vincent surnommé Karl Niagara, François Lebleu Bronco Junior les avait ensuite rejoins. Bananes et costumes années 50, le groupe égrenait une pop mélangée à des rythmes latins qui faisait mouche. En 1987, il avait remporté la Victoire de la musique de la "révélation variétés masculine" avec son premier album, "Chic Planète". » Lire notre article complet en cliquant ici 1 mai - Didier Bonaventure Deigna dit "Pepito" - Le batteur des Magic System est mort par noyade en Côte d'Ivoire. Âgé de 46 ans, il était aussi le choriste et chef d'orchestre du groupe. » Lire notre article complet en cliquant ici 25 avril - Momo de Skyrock - L'animateur de Skyrock est mort à l'âge de 31 ans. Grand fan du PSG, il intervenait dans l'émission du soir "Radio libre" de Difool pour parler foot. » Lire notre article complet en cliquant ici 24 avril - Billy Paul - Le chanteur américain, star de la scène soul de Philadelphie, avait connu la gloire en 1972 avec le hit "Me and Mrs. Jones". Il est mort à l'âge de 81 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 24 avril - Papa Wemba - La légende de la musique congolaise est morte à l'âge de 66 ans, après un malaise survenu sur scène à Abidjan où Papa Wemba participait à un festival de musique. » Lire notre article complet en cliquant ici 22 avril - Isabelle Dinoire - En 2005, elle avait été la première patiente au monde à bénéficier d'une greffe du visage. Onze ans plus tard, la Française Isabelle Dinoire est décédée à l'âge de 49 ans des suites d'une longue maladie. » Lire notre article complet en cliquant ici 21 avril - Prince - Le légendaire chanteur américain Prince, l'un des plus grands musiciens pop de sa génération, est mort à l'âge de 57 ans. 21 avril - Guy Hamilton - Le réalisateur de quatre "James Bond", dont Goldfinger ou encore Vivre et laisser mourir est mort à l'âge de 93 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 19 avril - Ronit Elkabetz - L'actrice israélienne, ambassadrice du cinéma israélien à l'étranger et notamment en France, est décédée à l'âge de 51 ans des suites d'un cancer. » Lire notre article complet en cliquant ici 17 avril - Doris Roberts - La star de la série télévisée américaine Tout le monde aime Raymond est décédée à 90 ans à Los Angeles. » Lire notre article complet en cliquant ici 15 avril - Anne Grommerch - Après la mort de la députée Sophie Dessus en mars, Anne Grommerch, élue Les Républicains de Moselle depuis 2008 est décédée à l'âge de 45 ans. La maire de Thionville a succombé à une longue maladie. » Lire notre article complet en cliquant ici 14 avril - Laurence Chirac - Laurence Chirac, la fille aînée de Jacques et Bernadette est décédée à l'âge de 58 ans. Contrairement à sa sœur Claude qui s'est beaucoup investie dans la carrière politique de leur père, Laurence Chirac est toujours restée dans l'ombre. Récemment, elle n'était apparue publiquement qu'en 2012 pour un reportage dans Paris-Match à l'occasion des 80 ans de l'ancien président. » Lire notre article complet en cliquant ici 11 avril - Howard Marks - Tour à tour trafiquant de drogue, écrivain, musicien et militant... Howard Marks, plus connu sous le nom de "Mr Nice" est mort à l'âge de 70 ans. L'année dernière, il annonçait souffrir d'un cancer de l'intestin. » Lire notre article complet en cliquant ici 6 avril - Merle Haggard - Le célèbre chanteur de country Merle Haggard, lancé dans la musique après un concert du légendaire Johnny Cash dans une prison californienne, est décédé le jour de son 79e anniversaire au terme d'une carrière de six décennies. 4 avril - Erik Bauersfeld, la voix de l'Amiral Ackbar dans "Star Wars" - L'acteur britannique Erik Bauersfeld est décédé à l'âge de 93 ans. Il avait été la voix de l'Amiral Ackbar dans "Star Wars", derrière la phrase devenue culte –"It's a trap!"– dans Le Retour du Jedi. » Lire notre article complet en cliquant ici 31 mars - Zaha Hadid - L'architecte britannique d'origine irakienne, lauréate du prix Pritzker 2004, le Nobel des architectes, est décédée d'une crise cardiaque dans un hôpital de Miami aux États-Unis. Des États-Unis à la Chine, nombre de ses créations ont marqué l'architecture du monde entier. 31 mars - Imre Kertesz - L'écrivain hongrois Imre Kertesz, auteur d'Être sans destin et lauréat du prix Nobel de littérature en 2002, est décédé à l'âge de 86 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 29 mars - Jean-Pierre Coffe - Le chroniqueur gastronomique Jean-Pierre Coffe, célèbre pour son franc-parler et ses coups de gueule contre la malbouffe, est mort à l'âge de 78 ans, après avoir imposé pendant 30 ans son personnage truculent sur les ondes et sur les écrans. » Lire notre article complet en cliquant ici 27 mars - Jim Harrison - L'écrivain américain Jim Harrison, auteur de nouvelles et poèmes dont les mélodramatiques Légendes d'automne est décédé à l'âge de 78 ans. Ce grand auteur était connu pour être un bon vivant, passionné de nature. » Lire notre article complet en cliquant ici 27 mars - Alain Decaux - Écrivain, homme de radio et de télévision, Alain Decaux est décédé à Paris à l'âge de 90 ans. Élu à l'Académie française en 1979, ministre de la Francophonie du gouvernement Rocard 1988-1991, ce grand conteur et vulgarisateur a créé et animé plusieurs émissions devenues cultes. » Lire notre article complet en cliquant ici 22 mars - Rob Ford - L'ancien maire de Toronto 2010-2014 affrontait depuis 18 mois une forme virulente de cancer des tissus mous et était sous chimiothérapie pour des tumeurs à la vessie. Le souvenir que laissera Rob Ford est celui de son tumultueux mandat à la tête de la plus grande ville du Canada. » Lire notre article complet en cliquant ici 16 mars - Frank Sinatra Junior - Frank Sinatra Junior est mort d'une crise cardiaque à l'âge de 72 ans, durant une tournée dans l'État américain de Floride. Comme son célèbre père mort en 1998, Sinatra Junior a fait carrière dans la musique. » Lire notre article complet en cliquant ici 15 mars - Serge Kampf - L'homme d'affaires est mort à l'âge de 81 ans. Le fondateur de Capgemini était aussi un important mécène du rugby français, lui l'amoureux du ballon ovale. » Lire notre article complet en cliquant ici 9 mars - George Martin - Le producteur de légende des Beatles, surnommé "le cinquième Beatle", est décédé à l'âge de 90 ans, avait annoncé Ringo Starr, l'ancien batteur du groupe musical britannique dont il avait permis le succès planétaire. » Lire notre article complet en cliquant ici 6 mars - Nancy Reagan - L'ancienne Première dame des Etats-Unis, décédée à 94 ans d'une insuffisance cardiaque congestive, avait été admirée ces dernières années pour les qualités qui avaient été vivement critiquées lorsqu'elle a quitté la Maison Blanche surprotégeant Ronald Reagan et exerçant une trop grande influence sur lui. » Lire notre article complet en cliquant ici 5 mars - Ray Tomlinson - Le père du "" et de l'e-mail est décédé le 5 mars d'une crise cardiaque. » Lire notre article complet en cliquant ici 5 mars - Nikolaus Harnoncourt - Le prestigieux chef d'orchestre autrichien Nikolaus Harnoncourt, considéré comme le "pape" du renouveau baroque, est décédé samedi à l'âge de 86 ans, a annoncé dimanche 6 mars sa famille citée par l'agence de presse APA. 3 mars - Sophie Dessus - Députée de Corrèze depuis 2012 elle avait succédé à François Hollande, Sophie Dessus est décédé des suites d'un cancer à l'hôpital de Limoges. Maire d'Uzerche depuis 2001, elle restait associée à Jacques Chirac après qu'une de leur discussion a été immortalisée par les caméras du "Petit Journal" en plein discours de Bernadette Chirac. » Lire notre article complet en cliquant ici 3 mars- Yves Guéna - Yves Guéna, nommé en 2000 par Jacques Chirac à la présidence du Conseil constitutionnel, est mort jeudi 3 mars matin à l'âge de 93 ans à Paris. Né en 1922, celui qui fut aussi ministre du Travail sous Pompidou a mené toute sa carrière politique sous la bannière du gaullisme. Elu de Dordogne, maire de Périgueux 1971-1997, il a été secrétaire général de l'UDR 1976 et ministre à plusieurs reprises de 1967 à 1974. Etant déjà membre du Conseil lors de sa nomination, son mandat s'est achevé en 2004. 25 février - François Dupeyron - Le cinéaste français, réalisateur de La Chambre des officiers, est décédé à l'âge de 65 ans des suites d'une longue maladie. » Lire notre article complet en cliquant ici 23 février - Valérie Guignabodet - La réalisatrice et scénariste est morte des suites d'une crise cardiaque à l'âge de 48 ans. Valérie Guignabodet était la compagne du journaliste et animateur télé Emmanuel Chain, qu'elle avait épousé en 2013 après dix ans de vie commune. » Lire notre article complet en cliquant ici 19 février - Umberto Eco - L'écrivain italien, auteur du célèbre roman Le nom de la rose, est décédé à l'âge de 84 ans. Il souffrait depuis plusieurs années d'un cancer. » Lire notre article complet en cliquant ici 19 février - Harper Lee - La romancière américaine Harper Lee, auteur de "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur" prix Pulitzer 1961 qui est resté sa seule oeuvre pendant plus de cinq décennies, est décédée à l'âge 89 ans. Elle avait publié mi-juillet 2015 "Va et poste une sentinelle", la suite de son célèbre best-seller sorti en 1960. 17 février - Andrzej Zulawski - Le cinéaste polonais Andrzej Zulawski, 75 ans, ex-mari de Sophie Marceau, est mort mercredi 17 février, a rapporté Le Figaro. Le réalisateur de "L'important c’est d’aimer", "L’Amour braque" ou "Possession" est décédé des suites d'un cancer. Dans la nuit de mardi à mercredi, la page Facebook dédiée à Andrzej Zulawski citait "le cœur brisé", Xawery Zulawski, fils du cinéaste. Lui-même réalisateur, ce dernier expliquait que son père était "en soins intensifs à l'hôpital", et que la progression de sa maladie ne laissait "aucune illusion" sur son sort. Le décès a été confirmé par l'Association des cinéastes polonais. 16 février - Thérèse Clerc - Militante féministe de la première heure, éprise de liberté, Thérèse Clerc, fondatrice de la Maison des Babayagas, résidence autogérée pour femmes âgées à Montreuil Seine-Saint-Denis, est décédée mardi 16 février à l'âge de 88 ans. Thérèse Clerc était atteinte d'un cancer. Née le 9 décembre 1927, elle avait milité notamment au Mouvement pour la libération de l'avortement et de la contraception MLAC, au Mouvement de la paix ou encore au Parti socialiste unifié PSU. 16 février - Boutros Boutros-Ghali - L'ancien secrétaire général des Nations unies Boutros Boutros-Ghali est mort à l'âge de 93 ans. Le diplomate égyptien avait été le premier Africain à accéder au poste de secrétaire général, une fonction qu'il avait occupée entre 1992 et 1996. 15 février - George Gaynes - George Jongejans alias George Gaynes est mort à l'âge de 98 ans à North Bend Etat de Washington, ont annoncé plusieurs médias mardi 17 février, citant la fille de l'acteur américain. Ce dernier est décédé lundi dans la maison de sa fille. Né à Helsinki Finlande en 1917, George Gaynes ne s'est imposé que tardivement sur le petit et le grand écran. Élevé en France, en Angleterre et en Suisse, selon le New York Times, George Gaynes a étudié l'opéra à Milan et s'est produit en Italie et en France, mais sa carrière a été interrompue par la première guerre mondiale. Il a ensuite rejoint le New York City Opera. 7 février - Juliette Benzoni - Discrète, elle était pourtant l'une des romancières françaises dont les livres se vendaient le mieux. Juliette Benzoni, reine du roman historique, est morte ce week-end à l'âge de 95 ans. "Nous sommes au regret de vous annoncer que malheureusement notre très très chère Juliette, notre auteur tant aimé, nous a quittés ce week-end. Elle s’est éteinte tout doucement dans son sommeil, sa fille Anne à ses côtés", a annoncé lundi 8 février le site officiel de la romancière. 4 février - Maurice White - Le fondateur de Earth, Wind & Fire, le groupe qui a inventé l'afro-jazzfunk cliquez ici pour en savoir plus 4 février - Edgar Mitchell - L'astronaute américain Edgar Mitchell, l'un des rares hommes à avoir jamais marché sur la Lune, est décédé à 85 ans en Floride, a annoncé la Nasa. "L'astronaute Edgar Mitchell, pilote du module lunaire pour Apollo 14, est décédé jeudi dans un hôpital de West Palm Beach, en Floride, à la veille du 45e anniversaire de son atterrissage sur la Lune", écrit l'Agence spatiale américaine dans un communiqué. "Edgar était l'un des douze hommes seulement à avoir marché sur la Lune et il a contribué à changer la perception que nous avons de notre place dans l'univers", a réagi le patron de la Nasa, Charles Bolden, cité dans le communiqué. 4 février - Dave Mirra - La légende du BMX a été retrouvée morte à l'âge de 41 ans. Dave Mirra avait remporté 14 médailles d'or aux X Games. Il était aussi le premier homme a avoir réussi un double backflip sur son vélo lors d'une compétition et détenait le record du monde du plus haut saut sur une rampe en BMX. 31 janvier - Benoît Violier - L'un des plus grands chefs cuisiniers, le Franco-Suisse Benoît Violier, qui à 44 ans dirigeait le Restaurant étoilé de l'Hôtel de Ville de Crissier en Suisse, s'est suicidé, a annoncé dimanche 31 janvier a police, plongeant le monde de la gastronomie dans le deuil. "En fin d'après-midi, la police de l'ouest lausannois est intervenue à Crissier, où elle a découvert, à son domicile, le corps sans vie de M. Benoît Violier, âgé de 44 ans. L'intéressé aurait mis fin à ses jours à l'aide d'une arme à feu", a indiqué la police cantonale vaudoise dans un communiqué. 29 janvier - Jacques Rivette - Jacques Rivette est mort. Le réalisateur français, connu notamment pour les films "La Belle Noiseuse", "Paris nous appartient" et "L'Amour fou", est décédé vendredi 29 janvier à l'âge de 87 ans, ont annoncé Le Monde et Le Figaro. Né à Rouen en 1928, Jacques Rivette fait partie des cinéastes les plus emblématiques de la Nouvelle vague, aux côtés de Jean-Luc Godard ou Éric Rohmer, avec lequel il a fondé la Gazette du cinéma. Il fut aussi rédacteur en chef des Cahiers du cinéma. 28 janvier - Paul Kantner - Paul Kantner, cofondateur et guitariste de Jefferson Airplane, groupe phare de l'ère du rock psychédélique des années 1960, est décédé jeudi 28 janvier à l'âge de 74 ans. Kantner, qui avait notamment joué sur la scène du mythique festival de Woodstock en 1969, est mort des suites d'une crise cardiaque, précise le journal californien, citant son agent de longue date et amie Cynthia Bowman. Avec des titres à succès comme "Somebody to Love" ou "White Rabbit", Jefferson Airplane a écrit plusieurs hymnes du mouvement hippie. Lire notre article complet ici. 26 janvier - Colin Vearncombe - Le chanteur britannique Colin Vearncombe, plus connu sous le nom de Black, est décédé à l'âge de 53 ans. L'artiste, qui est notamment célèbre pour son titre Wonderful Life, était plongé dans le coma depuis un grave accident de voiture survenu le 10 janvier en Irlande. » Lire notre article complet en cliquant ici 20 janvier - Edmonde Charles-Roux - La romancière française, également journaliste et résistante, s'est éteinte à 95 ans dans une maison de convalescence. Veuve de Gaston Defferre, elle avait été présidente de l'Académie Goncourt. Elle reçoit le prix Goncourt en 1966 pour son premier roman, "Oublier Palerme". » Lire notre article complet en cliquant ici. 19 janvier - Ettore Scola - Le réalisateur italien est mort à l'âge de 84 ans cliquez ici pour en savoir plus 18 janvier - Glenn Frey - Glenn Frey, l'un des fondateurs et guitariste du groupe de rock américain Eagles, connu mondialement pour son titre "Hotel California", est décédé lundi 18 janvier, a annoncé le groupe. "C'est avec le cœur lourd que nous annonçons le décès de notre camarade, fondateur des Eagles, Glenn Frey, à New York lundi", a écrit le groupe sur son site web. 18 janvier - Leila Alaoui - La photographe franco-marocaine Leila Alaoui, grièvement blessée dans l'attentat de Ouagadougou, est décédée le 18 janvier. La jeune femme était reconnue dans son milieu professionnel, au Maroc, en France, ainsi qu'au Liban, où elle vivait une partie de l'année. 18 janvier - Michel Tournier - L'écrivain Michel Tournier, l'un des grands auteurs français de la seconde moitié du XXe siècle, Prix Goncourt pour "Le roi des Aulnes" en 1970, est décédé le 18 janvier à l'âge de 91 ans, chez lui à Choisel. 17 janvier - Clarence Reid alias Blowfly - Clarence Reid, le rappeur américain mieux connu sous son nom de scène Blowfly, derrière lequel il scandait des paroles crues, est décédé, a annoncé son agent dimanche. Reid a officié comme auteur pour le label de Miami TK Records, où il écrivait des titres soul et funk dans les années 1960 et 1970 pour des artistes de renom, avant de créer son propre personnage, Blowfly, relate Rolling Stone. Passé au hip-hop en se faisant une spécialité des paroles vulgaires, Blowfly est considéré comme "l'un des premiers rappeurs", selon le magazine. 17 janvier - Gottfried Honegger - Le célèbre peintre et sculpteur suisse Gottfried Honegger est mort 17 janvier à son domicile de Zurich, à l'âge de 98 ans. Né en 1917, Gottfried Honegger a passé son enfance chez ses grands-parents en Engadine canton des Grisons. Après des études à l'Ecole des arts appliqués de Zurich, il a fondé un atelier de graphisme, de décoration et de photographie en 1938. Il s'est fait un nom dans l'organisation d'expositions, dont l'Expo nationale de Zurich en 1939, et a mis également sur pied la première exposition itinérante d'art graphique en Suisse. 14 janvier - Alan Rickman - Alan Rickman est mort. L'acteur britannique de 69 ans, qui a joué dans des films aussi connus que "Harry Potter" où il incarnait le professeur Rogue, "Piège de cristal", "Robin des Bois" ou encore "Love Actually", est décédé des suites d'un cancer. 14 janvier - René Angélil - René Angélil, le mari de la chanteuse canadienne Céline Dion, est mort à l'age de 73 ans, a annoncé son agent jeudi 14 janvier. "René Angélil est décédé ce matin dans sa maison de Las Vegas après un long et courageux combat contre un cancer. La famille demande à ce que son intimité soit respectée" en attendant que davantage de détails soient fournis, a précisé le porte-parole de l’imprésario. 10 janvier - David Bowie - La légende du rock s'est éteinte deux jours après avoir fêté ses 69 ans, deux jours aussi après la sortie de son 25ème et dernier album baptisé "Blackstar". Le chanteur et compositeur, qui a bâti sa carrière sur des réincarnations successives, à travers les personnages de Ziggy Stardust, Aladdin Sane, ou du Thin White Duke, était un touche-à-tout visionnaire qui aura influencé des générations d'artistes. 8 janvier - Maria de Filippis - L'Italienne Maria Teresa de Filippis, qui fut la première femme à piloter une monoplace de Formule 1, est décédée la nuit dernière à l'âge de 89 ans, près de Bergame, a annoncé samedi le Grand Prix Drivers Club GPDC. Née le 11 nov 1926, Mme de Filippis était encore présidente honoraire du GPDC, un club d'anciens pilotes de F1 fondé en 1962 par le Français Louis Chiron et l'Argentin Juan Manuel Fangio, quintuple champion du monde. 7 janvier - André Courrèges - André Courrèges est mort jeudi 7 janvier 2015 à 92 ans. Symbole de la révolution vestimentaire des années 1960, le couturier est décédé à son domicile de Neuilly-sur-Seine. André Courrèges, qui avait cessé ses activités professionnelles dans les années 1990, "s'est éteint après un long combat de plus de trente ans contre la maladie de Parkinson", indique la maison dans un communiqué. La mini-jupe, le vinyle ou encore la petite robe blanche. Les créations de ce grand couturier ont durablement inspiré les podiums et la rue. 6 janvier - Yves Vincent - Le comédien à droite sur la photo connu pour ses seconds rôles au cinéma dans les années 60, de Hibernatus au Gendarme se marie, est décédé à l'âge de 94 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 5 janvier - Pierre Boulez - Le compositeur et chef d'orchestre français Pierre Boulez, 90 ans, figure majeure de la musique contemporaine, est décédé à Baden-Baden, en Allemagne, où il habitait. 4 janvier - Michel Galabru - Acteur comique aux 250 longs-métrages, figure inoubliable des "Gendarmes" où il tenait la vedette au côté de Louis de Funès, Michel Galabru est mort dans son sommeil à l'âge de 93 ans. 2 janvier - Michel Delpech - "Pour un flirt avec toi", "Le Loir-et-Cher"... Le chanteur Michel Delpech s'est éteint le samedi 2 janvier à l'Hôpital de Puteaux Hauts-de-Seine des suites d'un cancer de la gorge samedi à 69 ans. 1er janvier - Natalie Cole - La chanteuse soul américaine Natalie Cole, fille de la légende du jazz Nat "King" Cole et qui dut surmonter la drogue pour trouver sa propre voie, est décédée à l'âge de 65 ans. » Lire notre article complet en cliquant ici 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 123 28 septembre - Shimon Peres - Le prix Nobel de la paix et ancien président israélien Shimon Peres est décédé mercredi 28 septembre, deux semaines après un accident vasculaire cérébral, a annoncé son médecin. Avec Shimon Peres disparaît une figure historique, dernier survivant de la génération des pères fondateurs de l'Etat d'Israël et l'un des principaux artisans des accords d'Oslo qui ont jeté les bases d'une autonomie palestinienne dans les années 1990 et lui ont valu le Nobel de la paix.
MauricePialat, peintre et cinéaste. Depuis le 20 février et jusqu’au 4 mars la Cinémathèque française montre tous les films de Maurice Pialat. Cette rétrospective est accompagnée d’une exposition qui permet de découvrir les toiles et dessins de Pialat, qui fut peintre avant d’être cinéaste durant la première période
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