🐳 Chanson Sorcière Sorcière Prends Garde À Ton Derrière

Voilà Rentrée aujourd'hui. Les boules. Donc voilà je vais parler de tous ces gens si géniaux que j'ai rencontrés cette semaine. On ne s'est pas vus longtemps, mais avec certaines personnes une grande amitié était déjà lancée ---> Dès que quelqu'un lancait une chanson, tout le monde suivait avec le coeur dans la voix.
1- Comment s’appelle le monsieur qui achète la maison ? Il s’appelle monsieur Pierre. 2- Quelles sont les pièces de la maison ? Il y a une chambre, une cuisine, une salle de bain, un living-room un salon, un pipi-room des toilettes, et un placard aux balais. 3- Qu’est-ce que la maison a de particulier ? La maison est hantée par la sorcière du placard aux balais. 4- Quelle chanson ne faut-il surtout pas chanter ? Sorcière, sorcière, prend garde à ton derrière! » 5- Pendant combien de temps monsieur Pierre s’est-il moqué de la sorcière en ne chantant qu’une partie de la chanson ? Monsieur Pierre s’est moqué de la sorcière pendant deux ans. 6- Que doit faire monsieur Pierre pour que la sorcière ne l’emporte pas ? Monsieur Pierre doit demander à la sorcière quelque chose d’impossible. 7- Quelles sont les trois choses que monsieur Pierre va demander à la sorcière ? Monsieur Pierre demande Des bijoux en caoutchouc qui brillent comme des vrais. Une branche de l’arbre à macaroni. La grenouille à cheveux. 8- Qu’est-ce que Bachir donne à manger à la petite souris ? Bachir donne du saucisson à la petite souris. 9- Pourquoi, au début, la sorcière ne veut-elle pas lui donner la grenouille à cheveux ? La sorcière ne veut pas lui donner la grenouille à cheveux car la grenouille à cheveux c’est elle-même. 10- Qu’est-ce que doit faire Monsieur Pierre pour que la grenouille à cheveux devienne une grenouille ordinaire ? Il doit la ligoter et lui raser les cheveux. 11- A la fin de l’histoire qu’est-ce que la grenouille et les poissons se disent ? Ils se disent des gros mots.
Javais fait cette sorcière pour un challenge halloween, elle est sortie toute seule de la fimo en une soirée. C'est la même cane sur J'avais fait cette sorcière pour un challenge halloween, elle est sortie toute seule de la fimo en une soirée. C'est la même cane sur Contacter l'auteur; Envoyer à un ami; S'abonner; Titelfe bidouille. Titelfe bidouille.
Home Culture Avec La sorcière du Placard aux balais », l'Orchestre Régional Avignon-Provence rend hommage à Marcel Landowski disparu en 1999. 19/06/2015 05h26 L’Orchestre Régional Avignon-Provence OLRAP a décidé de célébrer l’arrivée imminente de l’été en offrant au public petits et grands une oeuvre de Marcel Landowski La sorcière du Placard aux balais ». Rappelons que 2015 fête le centenaire de la naissance de Marcel Landowski qui fut non seulement un grand compositeur du XXe siècle mais aussi un acteur important des politiques culturelles portées notamment par André Malraux. Datant de 1983 La Sorcière du placard aux balais » est un mini-opéra pour enfants en un acte. Le livret a été écrit par le compositeur lui-même d’après le conte de Pierre Gripari extraits des célèbres Contes de la rue Broca ». L’argument est délectable Monsieur Pierre s’achète une petite maison, mais très vite il découvre que la maison est hantée par une sorcière cachée dans le placard aux balais... Heureusement elle ne fait pas de bruit et reste bien tranquille, sauf si l’on a le malheur de chanter une certaine chanson Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière ! ». Alors combien de temps monsieur Pierre saura-t-il rester dans la maison sans chanter jusqu’au bout cette maudite chanson ? A noter que pour compléter ce programme dirigé par le jeune chef Sébastien Boin, l’orchestre donnera à entendre également Les danses folkloriques » de Bela Bartok ainsi que L’ouverture en forme d’étoile » de Régis Campo. Ces oeuvres sont proposées à travers deux concerts le premier se déroulera à l’Auditorium du Pontet samedi 20 juin à 18h ; le second salle Mistral à St-Martin de Crau dimanche 21 juin à 17h. t d t LES PLUS LUS
14oct. 2015 - Vous vous souvenez peut-être de cette phrase issue des contes de la rue Broca. La sorcière du placard à balais ? J’ai réalisé ce mobile pour le swap des « teigneuses ». Comme je l’ai dé

Genre Spectacle pour enfant à partir de 3 ans Auteur Pierre Gripari Dates Le dimanche 30 octobre 2022 à 11h Tarif adulte 11 € Tarif enfant 8 € Résumé Suspense et rebondissements sont au rendez-vous de l'un des plus célèbres contes de la rue Broca ! Monsieur Pierre découvre que la petite maison qu'il vient d'acheter est hantée par une sorcière cachée dans le placard à balais...Elle ne fait pas de bruit et reste bien tranquille, sauf si on a le malheur de chanter "Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière !" Que se passera-t-il si Monsieur Pierre vient à chanter la maudite chanson ? Et trouvera-t-il des alliés pour l'aider à chasser cette sorcière ? Dimanche 30 Octobre 2022 à 11h 8,00€ – 11,00€ Réserver

28janv. 2017 - Vous vous souvenez peut-être de cette phrase issue des contes de la rue Broca. La sorcière du placard à balais ? J’ai réalisé ce mobile pour le swap des « teigneuses ». Comme je l’ai dé
Mais qui vois-je aujourd'hui perchée sur son balai? Serait-ce "la sorcière de la rue Mouffetard" toute droit sortie des contes de la rue Broca, lus et relus par nos petits mouflets? Une enquête s'impose avant que celle-ci ne s'enfuit sur son balai aérodynamique. Trève de plaisanterie, grâce à notre jolie sorcière, nous continuons les préparatifs d'Halloween mais, cette fois-ci, point de gourmandise à croquer. Non, nous changeons de registre et avons pensé à la décoration. Juste un peu de pâte polymère et le tour est joué. ALors enfourchez votre plus beau balai et partez à la découverte de ce tutoriel simplissime! Ce qu'il vous faut - 1 pâte polymère Prémo noire - 1 emporte-pièce "sorcière" - 1 morceau de bois - Ficelle Baker's Twine 18 couleurs disponibles en 10m ou 220m - 1 oeil mobile - paille - 1 ruban double face Le pas à pas en image 1. Etaler la pâte Prémo noire sur environ 3 mm et découper la forme de la sorcière à l'aide de l'emporte-pièce. 2. Découper à l'aide d'un cutter l'arrière du balai. 3. Toujours avec le cutter, découper le manche du balai dépassant de la manche de la sorcière. 4. Votre sorcière est prête, il ne restera plus qu'à lui coller un oeil sur le visage. 5. Poser un morceau de double face à 1 cm du bord du morceau de bois. 6. Coller sur le double face, des morceaux de baker's twine noire. 7. Enrouler de 3 tours le bout de bois avec un morceau de baker's twine pour maintenir tous les brins en place. Votre balai est prêt. Il ne vous reste plus qu'à coller le balai au dos de la sorcière puis le tout sur une paille. Votre décoration est prête pour Halloween. C'est chouette, non? Redécouvrez une déco et des biscuits très Grrrrr...
prendsgarde à ton derrière ! prends garde à ta gouttière ! prends garde à la lumière ! prends garde au frigidaire! Tags: Question 7 . SURVEY . 30 seconds . Report an issue . Q. Pendant combien de temps le narrateur résiste-t-il à ne pas chanter la chanson ? answer choices . un jour. deux ans . trois mois . une semaine. Tags: Question 8 . SURVEY . 30

Return to the blog of voyageurs0708 Règle d'or Ne jamais baisser sa garde!! Posted on Sunday, 07 October 2007 at 1056 AMEdited on Sunday, 07 October 2007 at 1142 AM Comments Hearts Remix Comment Don't forget that insults, racism, etc. are forbidden by Skyrock's 'General Terms of Use' and that you can be identified by your IP address if someone makes a in Laure, Posted on Friday, 12 October 2007 at 751 PM Ouah vous avez l'air malin tous les deux ! J'adore cette photo Audrey, Posted on Sunday, 07 October 2007 at 230 PM woa ça a l'air trop bien et trop beau!!! Je rêve de vacances mais ici c'est pas pour tout de suite!!! Profitez-en bien... Biz XOXO RSS

Trèsvite, il découvre que la maison est hantée par une sorcière cachée dans le placard aux balais Heureusement, elle ne fait pas de bruit et reste bien tranquille, sauf si on a le malheur de chanter une certaine petite chanson : «Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière!». Combien de temps, monsieur Pierre saura-t-il rester dans la maison sans
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Ellene fait pas de bruit et reste bien tranquille, sauf si on a le malheur de chanter : « Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière ! ». Que se passera-t-il si Monsieur Pierre vient à chanter la maudite chanson ? Et trouvera-t-il des alliés pour l'aider à chasser cette sorcière ? + d’infos . Pourraient aussi vous intéresser Avis du public : La sorcière du
Ce conte s’adresse aux enfants dès l’âge de 8/9 ans. C’est l’histoire de Monsieur Pierre, qui souhaite acheter une maison pour cinq francs, et qui se rend chez le notaire. Ce dernier a des maisons à vendre à deux millions, cinq millions, dix millions, mais pas à cinq francs. Pierre insiste. Le notaire se frappe le front il en a une. Il fait signer Pierre, mais ne peut s’empêcher de rire pendant la signature du contrat. Pierre s’y rend, dans sa nouvelle maison ; il dit bonjour à son voisin et à sa voisine, mais ces derniers l’évitent, terrifiés. Pierre, inquiet et en colère, retourne chez le notaire afin d’avoir des explications. Celui-ci finit par avouer Mais oui, je vais parler ! Après tout, maintenant que le contrat est signé, je peux bien vous le dire…la maison est hantée ! Hantée ? Hantée par qui ? Par la sorcière du placard aux balais ! Vous ne pouviez pas me le dire plus tôt ? Eh non ! Si je vous l’avais dit, vous n’auriez plus voulu acheter la maison, et moi je voulais la vendre. Hihihi ! Pierre fait remarquer qu’il n’a pas vu la sorcière lors de sa visite du placard aux balais. Le notaire lui répond qu’elle ne vient que la nuit, mais qu’elle reste sage, dans son placard aux balais. Seulement, attention ! Si vous avez le malheur de chanter Sorcière, sorcière, Prends garde à ton derrière ! A ce moment-là, elle sort…Et c’est tant pis pour vous ! » Pierre se met en colère Espèce d’idiot ! Vous aviez bien besoin de me chanter ça ! Jamais il ne me serait venu l’idée d’une pareille ânerie ! Maintenant, je ne vais plus penser à autre chose ! C’est exprès ! Hihihi ! répond le notaire Pierre se dit qu’il doit oublier cette chanson idiote. Mais il n’y arrive pas. Peu à peu, il prend goût à chanter la chanson dehors, ou dans la maison, mais en s’arrêtant toujours avant la fin. Mais à la période de Noël, il dit la chanson en entier Sorcière, sorcière, Prends garde à ton derrière ! » Zut ! La sorcière sort du placard aux balais, et dit Ah, vraiment ! Et pourquoi est-ce que je dois prendre garde à mon derrière ? Pierre essaie en vain de s’excuser, disant qu’il avait chanté ça sans y penser, mais la sorcière ricane doucement Sans y penser ? Menteur ! Depuis deux ans, tu ne penses qu’à ça ! Tu te moquais bien de moi, lorsque tu t’arrêtais au dernier mot, à la dernière syllabe ! Mais moi, je me disais Patience, mon mignon ! Pierre la supplie, lui disant qu’il a de très bonnes amies sorcières, que sa pauvre mère elle-même était une sorcière…que c’est aujourd’hui Noël, que le petit Jésus est né cette nuit… La sorcière lui donne une épreuve il doit demander trois choses, si la sorcière n’est pas capable de les lui donner, elle s’en ira pour toujours. Pierre demande du temps pour trouver quoi demander. Il se rend rue Broca et demande à Bachir le conseil de ses poissons magiques. Mais il faut une souris pour traduire ce que disent les poissons. Pierre sur leur conseil demande à la sorcière des bijoux en caoutchouc qui brillent comme des vrais. La sorcière lui réplique que cette idée de vient pas de lui, mais les lui donne en riant. Pierre revient demander conseil aux poissons. Ceux-ci répondent demande à la sorcière une branche de l’arbre à macaroni. » Cette dernière le lui donne. Pierre, désespéré, ne sait plus quoi faire. Il vient faire ses adieux à Bachir. Ce dernier interroge une nouvelle fois les poissons, qui disent cette fois qu’en retournant chez lui, Pierre doit demander à la sorcière la grenouille à cheveux. Or, la grenouille à cheveux, c’est la sorcière elle-même. Alors, ou bien elle ne peut pas lui la donner, et dans ce cas elle est obligée de partir pour toujours, ou bien elle voudra la lui montrer quand même, et pour cela elle sera obligée de se transformer. Dès qu’elle sera devenue grenouille à cheveux, pierre doit l’attraper et la ligoter bien fort et bien serré avec une grosse ficelle. Elle ne pourra plus se dilater pour redevenir sorcière. Après cela il faut lui raser les cheveux, et ce ne sera plus qu’une grenouille ordinaire, parfaitement inoffensive. Pierre fait ce que les poisons lui conseillent. La sorcière lui dit de demander autre chose, mais Pierre insiste. La sorcière se transforme en grenouille à cheveux ; Pierre la saucissonne et lui rase les cheveux ; puis il la met dans un bocal avec un peu d’eau, et l’offre à Bachir le lendemain pour qu’elle serve de baromètre, à côté du bocal aux poissons. Mais depuis ce temps-là, les deux poissons et la grenouille n’arrêtent pas de se parler. La grenouille dit coap coap ! » et les poissons po po. » On appelle la souris pour qu’elle traduise, mais elle refuse net. Ce ne sont que de gros mots ! Beaucoup, beaucoup d’humour satire du notaire, etc dans ce conte. Après, que symbolise la sorcière ? Mystère ! Sorcière! Prends garde à ton derrière !-----Poésie. La soupe de la sorcière. de Jacques Charpentreau. Dans son chaudron la sorcière. Avait mis quatre vipères. Quatre crapauds pustuleux. Quatre poils de barbe-bleue. Quatre rats, Contes de la rue Broca Auteur Pierre Gripari Pays France Genre Conte merveilleux Éditeur Éditions de la Table Ronde Date de parution janvier 1967 Illustrateur Claude Lapointe Nombre de pages 214 ISBN 2710300249 Les Contes de la rue Broca sont un recueil de contes de fées pour enfants écrit par Pierre Gripari et illustré par Claude Lapointe, publié pour la première fois aux éditions de la Table Ronde en 1967, puis réédité chez Grasset-Jeunesse. Composé de treize contes, il a connu un certain succès et a également été adapté en dessins animés. Le cadre Le titre de l'ouvrage, Les Contes de la rue Broca, ne signifie pas que les contes se déroulent tous dans la rue du même nom. Il s'agit d'abord du lieu où ils sont racontés. Dans certaines histoires les personnages passent cependant bien par cette rue Le Gentil Petit Diable, La Sorcière du placard aux balais… et fréquentent même la boutique de Papa Saïd. La rue Broca forme donc un cadre auquel les lecteurs peuvent se raccrocher, un repère qui permet d'imaginer de manière plus concrète le déroulement de certaines histoires et de les situer dans la réalité. Personnages récurrents Papa Saïd propriétaire de l'épicerie-buvette au 69 rue Broca. Il est le père de Bachir et de Nadia, et s'occupe du magasin. Il n'est pas le héros d'un conte en particulier, mais reste présent dans La Sorcière de la rue Mouffetard, Scoubidou, la poupée qui sait tout, La Fée du robinet, Le Gentil Petit Diable, Le Petit Cochon futé. Bachir fils de Papa Saïd. Dans le conte de la Sorcière du placard aux balais, il est possesseur de poissons magiques et est capable de parler avec une souris. Dans le conte de la Sorcière de la rue Mouffetard, il sauve sa sœur Nadia de la sorcière en faisant preuve d'intelligence et de ruse. Il est ami avec Monsieur Pierre. Il est présent dans La Sorcière de la rue Mouffetard, Scoubidou, la poupée qui sait tout, La Fée du robinet, Histoire de Lustucru, La Sorcière du placard aux balais, Le Petit Cochon futé. Nadia fille de Papa Saïd. Dans le conte de la Sorcière de la rue Mouffetard, elle est la petite fille que la sorcière veut dévorer accompagnée de sauce tomate. Monsieur Pierre personnage principal du conte de la Sorcière du placard aux balais, il est présenté comme le narrateur des contes de la rue Broca. Dans la préface du livre, Pierre Gripari affirme que Monsieur Pierre a créé les contes de la rue Broca à l'aide des enfants qui y habitent, car chaque jeudi après-midi ils se retrouvaient pour en inventer de nouveaux. Ce personnage est sans nul doute le pendant fictif de l'auteur lui-même. Il est présent dans la majorité des contes en tant que narrateur, mais également en tant que protagoniste dans Histoire de Lustucru et La sorcière du placard aux balais. Les contes Les treize contes de la rue Broca n'ont pas de sujet central, certains s'entrecroisent, mais chaque histoire se distingue des autres et n'en partage que très peu si ce n'est aucun point commun. Chaque conte possède ses propres motifs, son propre rythme et ses propres personnages et malgré le cadre qui parfois les rapproche, ils sont tous uniques en leur genre. La Sorcière de la rue Mouffetard Une sorcière découvre dans le journal des sorcières une méthode pour redevenir jeune manger une petite fille avec de la sauce tomate. Le nom de la petite fille doit cependant commencer par la lettre N. La sorcière jette son dévolu sur la petite Nadia, la fille de Papa Saïd, et essaye de la piéger à plusieurs reprises mais échoue autant de fois. - Bonjour Monsieur Saïd. - Bonjour, Madame. Vous désirez ? - Je voudrais Nadia. - Hein ? - Oh pardon ! Je voulais dire une boîte de sauce tomate. » — Pierre Gripari, Les Contes de la Rue Broca, La sorcière de la rue Mouffetard. Elle y parvient enfin en prenant la place de toutes les marchandes du marché de la rue Mouffetard et enferme Nadia dans son tiroir-caisse. Bachir, le petit frère de Nadia, parvient finalement à la retrouver et avec l'aide d'un marin qui passait par là, il libère sa sœur et tue la sorcière. Ce conte peut être vu comme une parodie du schéma dit classique » des contes de fée la princesse enfermée et le prince qui vient la secourir. Les codes sont cependant complètement bouleversés et font cohabiter l'humour léger et le macabre. Le Géant aux chaussettes rouges Vivant sous terre, un géant haut de trois étages s'ennuie et décide de trouver quelqu'un pour se marier. Il finit par sortir sa tête de terre et débouche sous la maison d'une jeune femme du nom de Mireille. Amoureux d'elle, il la demande en mariage, mais Mireille, effrayée, part en courant, laissant le géant seul avec les membres du villages qui se sont regroupés autour de lui. Le curé, qui fait partie de l'attroupement, dit au géant qu'il ne peut pas épouser Mireille car il ne rentrerait pas dans l'Église. Attristé, le géant demande une solution et le curé lui dit d'aller voir un sorcier chinois qui serait en mesure de l'aider. Le géant part donc en voyage, d'abord en Chine où il rencontre le sorcier. - Yong tchotchotcho kong nong ngo. Ce qui en chinois, signifie C'est bien vous le grand sorcier ? » À quoi le sorcier répondit, sur un ton légèrement différent - Yong tchotchotcho kong nong ngo. Le chinois, c'est comme ça on peut tout dire avec une seule phrase, il suffit de changer l'intonation. » — Pierre Gripari, Les contes de la rue Broca, Le géant aux chaussettes rouges. Il lui dit de se rendre à Rome, voir le Pape, qui lui-même appelle la Vierge Marie. C'est elle qui lui permet enfin de rapetisser. Le géant, grâce aux trois vœux qui lui sont également accordés par celle-ci, parvient à rejoindre Mireille à temps dans son village. Alors Mireille lui apprend qu'elle sait tout ce que le géant a fait pour pouvoir l'épouser et accepte de vivre avec lui. Les noces sont fêtées et le géant et Mireille finissent mariés. Ce conte détonne par les nombreux repères réalistes disséminés tout le long de l'histoire. Si à l'origine un conte se déroule dans un laps de temps indéfini et dans un espace imprécis, celui-ci est doté d'un cadre temporel une année et spatial on voit le trajet emprunté par le géant. La rue Broca n'est cependant pas mentionnée dans ce conte-ci, en revanche la rue Mouffetard l'est. La Paire de chaussures Tina et Nicolas sont deux chaussures très amoureuses. Tout se passait bien pour elles jusqu'à ce qu'une dame vienne à les acheter. Les chaussures, trop tristes de ne plus se voir de la journée, essayent tant bien que mal de se rejoindre à chaque pas de leur propriétaire, la faisant tomber sans cesse. Ainsi fit Nicolas, de sorte que tout au long du jour suivant, la dame qui portait les chaussures ne pouvait plus faire trois pas sans que son pied droit vienne accrocher son talon gauche et plaf ! à chaque fois, elle s'étalait par terre. » — Pierre Gripari, Les Contes de la Rue Broca, La paire de chaussures. Inquiète, elle se rend chez son médecin qui pense d'abord devoir lui couper le pied droit, puis, lors de la deuxième visite, songe à couper les deux pieds. La dame finit cependant par découvrir que ses chaussures s'aiment et décide de les garder sans les enfiler. Malheureusement sa bonne les vole, mais victime du même sort que sa patronne, elle les donne à sa nièce boiteuse qui ne marche pratiquement jamais. Mais Tina s'use plus rapidement que son compagnon et le couple est finalement jeté aux ordures. Là-bas, des enfants décident de leur offrir un voyage de noce et les clouent sur une planche avant de la mettre à l'eau, donnant un beau voyage à ces chaussures qui ont bien vécu. Scoubidou, la poupée qui sait tout Scoubidou, une poupée de caoutchouc appartenant à Bachir, possède des pouvoirs. Lorsqu'on lui couvre les yeux, elle est notamment capable de voir l'avenir et le passé. Bachir, qui souhaite ardemment avoir un vélo, demande à sa poupée quand est-ce que Papa Saïd lui en achètera un. Scoubidou, sachant pertinemment que ce n'est pas une bonne idée, est d'abord réticente, mais finit par accepter. Elle jette ensuite un sort à Papa Saïd qui ne parlera que de vélo toute la journée bien malgré lui. Scoubidou finit par se faire démasquer et Papa Saïd demande à Bachir de se débarrasser de la poupée. Pour son départ, la poupée reçoit néanmoins une paire de lunettes en bois qui lui permettront de se masquer la vue toute seule sans avoir besoin de l'aide de quiconque. Scoubidou entame donc un long voyage et finit par rencontrer un capitaine de navire qui décide de l'embarquer afin qu'elle lui dise quel temps il fera en mer. Scoubidou, ayant mis ses lunettes, se mit à débiter très vite, comme si elle lisait - Vous avez une femme au Havre, avec un enfant blond. Vous avez une femme à Singapour, avec deux enfants jaunes. Vous avez une femme à Dakar, avec six enfants noirs… - Assez ! Assez ! cria le capitaine. Je te prends avec moi ! N'en dis pas davantage ! » — Pierre Gripari, Les Contes de la Rue Broca, Scoubidou, la poupée qui sait tout. Scoubidou accepte à condition d'être payée, car elle souhaite acheter un vélo à Bachir à son retour. Malheureusement le capitaine, à la fin du voyage, refuse de payer sa dette et jette la poupée avec ses lunettes dans l'eau, où elle se fait avaler par un requin. Dans l'estomac du poisson elle trouve non seulement ses lunettes, mais aussi une huître bien gênée par la grosse perle coincée dans sa coquille. Scoubidou l'en débarrasse et, après avoir demandé au requin de la ramener à Paris en passant par la Seine, retrouve finalement Bachir à qui elle achète le vélo tant convoité. Roman d'amour d'une patate Un jour, un petit garçon vole une pomme de terre dans sa cuisine et décide de lui tailler un visage au couteau. Douée dès lors de l'ouïe, la vue et la parole, la patate se plaint de sa nouvelle apparence, elle qui rêvait d'être une frite. Mise à la poubelle par le petit garçon vexé, la pomme de terre se retrouve dans un tas d'ordure en pleine campagne où elle fait la rencontre d'une vieille guitare, jetée car remplacée par une guitare électrique. Les deux amies font rapidement connaissance et se font alors repérer par un chemineau qui les emporte aussitôt à un directeur de cirque, certain que le fait qu'elles parlent le rendra riche. La patate et la guitare deviennent, en effet, les stars du cirque et leur numéro fait le tour du monde, jusqu'à ce qu'un sultan décide d'acheter la patate pour l'épouser. Ce fut un énorme succès. Le numéro fut enregistré pour la radio et la télévision, de sorte qu'on en parla dans le monde entier. Le sultan de Pétaouschnock, qui le vit aux actualités, prit le jour même son avion personnel et s'en fut voir le directeur du cirque. » — Pierre Gripari, Les Contes de la rue Broca, Roman d'amour d'une patate. La pomme de terre et la guitare quittent donc le cirque et vivent avec le fameux sultan. Depuis la publication du mariage dans la presse, plus personne n'a entendu parler de la patate et la guitare qui parlent. Histoire de Lustucru Un jour, la maîtresse demande à ses élèves - Comment s'appelait le général romain qui a conquis la Gaule ? Bachir lève la main et répond - Lustucru. » La maîtresse se fâche mais monsieur Pierre se demande pourquoi Bachir a donné cette réponse. Il fait alors des recherches pour savoir si le garçon a dit la vérité, et découvre l'histoire de Lustucru. À l'époque des Romains, une bonne fée apparaît à un chef barbare qui attend un fils. Elle lui propose de donner l'immortalité à son fils, à la condition qu'il porte le nom de Lustucru. Le barbare accepte, pensant qu'il ne s'agit là que d'un moindre mal pour un talent aussi important. Lustucru devient, comme promis, un jeune homme fort et vigoureux et est envoyé à Rome pour y faire son éducation. Là-bas, il brille par son intelligence et son talent mais son drôle de nom fait que l'on refuse de l'afficher premier dans toutes les disciplines, si bien qu'il se cantonne à un titre de second. Convaincu qu'il est capable d'accomplir de grandes choses, Lustucru décide de conquérir la Gaule afin d'être enfin reconnu. Dans sa quête, il recrute un jeune mendiant du nom de Jules César qui devient son lieutenant. Une fois la Gaule conquise, Lustucru écrit ses hauts-faits et commande son lieutenant de se rendre à Rome pour en faire part aux sénateurs. Cependant une fois de retour, Lustucru découvre que son nom a été remplacé par celui de César, qui le fait chasser et se nomme Empereur. De la même manière, de nombreux faits historiques réalisés par Lustucru lui ont été retirés au dernier moment, refusant que son nom soit inscrit dans l'histoire. Ce fut lui qui reconnut Louis XVI à Varennes, et qui composa La Marseillaise. Ce n'était pas Napoléon qui traversait le pont d'Arcole, à pied, sous une grêle de balles autrichiennes, non, c'était Lustucru, toujours Lustucru ! Certains vont même jusqu'à prétendre que ce fut lui qui, le 18 juin 1940, au micro de Radio-Londres… mais arrêtons-nous là. Aller plus loin, ce serait de la politique. » — Pierre Gripari, Les Contes de la rue Broca, Histoire de Lustucru. Lustucru se retire finalement dans un village, où au fil des jours il finit par tomber amoureux de sa voisine, une certaine madame Michel. Celle-ci tombe également sous le charme de son voisin, mais en apprenant son nom refuse catégoriquement sa demande. Le lendemain, le chat de madame Michel disparaît. Elle appelle à l'aide et c'est Lustucru qui lui répond. Il dit qu'il sait où est le chat car c'est lui qui l'a capturé, mais qu'il ne le rendra que si elle accepte de l'épouser. Refusant d'abord, elle accepte enfin en admettant que Lustucru n'est pas un si vilain nom. Pour fêter l'évènement, des enfants chantent dans le village une comptine que l'on entend toujours aujourd'hui. Cette même comptine existe bel et bien, mais est bien antérieure au conte. Le personnage de Lustucru existait donc aussi bien avant le conte et son nom proviendrait en réalité du terme L'eusses-tu cru »[1], un docteur irréel qui aurait la capacité de redresser la tête des femmes. Si son nom est resté, son rôle a beaucoup changé au fil des siècles, si bien que le seul point commun entre l'ancien Lustucru et celui du conte reste la célèbre comptine. La Fée du robinet Oubliée après l'avènement du christianisme, une fée passe de nombreuses années enfermée dans sa source. À la suite de travaux sur la source, elle se retrouve finalement dans le robinet de cuisine d'une maison. Dans cette maison vivent deux sœurs avec leurs parents. Il y a Martine, gloutonne et mal élevée, et Marie, tout son contraire. La fée se montre à Martine un soir où elle vient boire un verre d'eau et lui demande de la confiture. La sœur, bien que mal élevée, lui en donne, sachant pertinemment qu'il ne faut pas énerver une fée. Pour la récompenser, la fée lui octroie la capacités de cracher une perle à chacun des mots qu'elle prononce. D'abord heureuse de son sort, Martine s'en retrouve finalement victime, piégée par l'avidité de ses parents qui la contraignent à parler toute la journée. Les gros mots produisant des perles plus grosses, Martine est dès lors forcée à réciter des insultes toute la journée. À partir de ce jour-là, les parents obligèrent Martine à ne plus dire que des gros mots au-dessus du saladier. Au commencement, cela la soulageait, mais bientôt les parents la grondèrent à chaque fois qu'elle disait autre chose qu'un gros mot. Au bout d'une semaine, cette vie ne lui parut plus tenable, et elle s'enfuit de la maison. » — Pierre Gripari, Les Contes de la rue Broca, La fée du robinet. Martine s'enfuit de chez elle pour finir séquestrée par un homme avide et cruel qui la force à faire de même pour son propre profit. La deuxième sœur elle, voyant les malheurs qui accablent Martine, évite soigneusement le robinet, mais poussée par ses parents et tiraillée par la soif, elle finit par céder un soir et rencontre la fée. Celle-ci lui demande la même chose qu'à Martine, mais Marie refuse, craignant de finir comme sa sœur. Vexée, la fée lui octroie la capacité de cracher des serpents à chacun de ses mots - un serpent venimeux pour une parole méchante, un gros serpent pour un gros mot, etc. Découvrant la malédiction de leur fille, les parents des deux sœurs présentent Marie à un docteur. Celui-ci travaillant à l'Institut Pasteur souhaite épouser la jeune fille afin de profiter des serpents pour créer de nouveaux médicaments. La fée, de son côté, curieuse de savoir ce qui est advenu des filles, apparaît un soir aux parents, qui lui racontent les conséquences de ses dons. Elle se rend compte de son erreur à savoir bénir la mauvaise fille et maudire la bonne et souhaite les corriger. La fée invoque alors, afin de l'aider, un enchanteur auquel elle se marie, puis met un terme à ses enchantements avant de disparaître. Martine retourne chez ses parents tout à fait assagie et Marie reste avec son époux déjà très amoureux d'elle. Ce conte est une parodie du conte Les Fées de Charles Perrault. Ici les situations sont inversées et mises dans un contexte moderne, prenant en contrepied les attentes des lecteurs. Cette histoire incarne parfaitement l'idée du conte ancien transposé dans le monde moderne. Le Gentil Petit Diable Comme son nom l'indique, ce conte raconte l'histoire d'un jeune diable qui a le malheur de ne pas être méchant, un crime aux enfers. Qu'est-ce que j'ai bien pu faire à la Terre pour avoir un enfant pareil ? Quand je pense que, depuis des années, ta mère et moi, nous faisons des sacrifices pour te donner une mauvaise éducation, pour te prêcher le mauvais exemple, pour essayer de faire de toi un grand, un méchant diable ! Au lieu de se laisser tenter, Monsieur fait des problèmes ! » — Pierre Gripari, Les Contes de la rue Broca, Le gentil petit diable. Le diablotin finit condamné à miner du charbon et c'est par un coup de pioche qu'il atterrit dans le métro de Paris. Bien décidé à devenir gentil, le petit diable s'engouffre dans le monde des humains et cherche quelqu'un pour savoir comment accomplir sa quête, mais personne ne l'aide car tout le monde s'enfuit en le voyant. C'est finalement un prêtre qui lui conseille d'aller voir le Pape, qui lui-même lui explique comment aller au Paradis, où il se rend. Là-bas, Saint-Pierre lui propose de se présenter à l'examen d'entrée, dont les trois épreuves sont dirigés par le Petit Jésus, le Bon Dieu et la Vierge Marie. Les ayant toutes réussies, le Petit Diable est accueilli chez les anges et en devient un à son tour, au grand dam des diables des enfers, qui, depuis, refusent d'entendre parler du petit diable rouge. Il s'agit du seul conte où la présence de la foi chrétienne est forte ; la portée est ici surtout didactique n'importe quel enfant peut devenir un bon enfant s'il le souhaite. La Sorcière du placard aux balais Il s'agit de l'histoire de Monsieur Pierre qui achète pour la modique somme de 5 nouveaux francs une nouvelle maison qui s'avère être hantée. Dans le placard à balais habite une vieille sorcière qui, une fois la nuit tombée, apparaît si on prononce Sorcière, sorcière, prend garde à ton derrière ». Monsieur Pierre, apprenant cela, reste d'abord prudent et fait très attention à ne pas dire cette formule, mais un soir où il rentre légèrement alcoolisé, Monsieur Pierre a le malheur de prononcer les mots magiques et rencontre finalement la sorcière. Cette nuit-là, après avoir réveillonné chez des amis, je rentre chez moi, un peu pompette, sur le coup de quatre heures du matin, en me chantant tout au long de la route Sorcière, sorcière, Prends garde à ton derrière ! » — Pierre Gripari, Les Contes de la rue Broca, La sorcière du placard aux balais. Celle-ci lui donne une chance de s'en sortir en lui lançant comme défi de lui demander trois choses impossibles à réaliser. Pendant la journée, Monsieur Pierre demande de l'aide au petit Bachir qui, dit-on, aurait des poissons magiques. Avec l'aide d'une souris interprète, ceux-ci aident Monsieur Pierre, mais la sorcière parvient à fournir par deux fois les choses impossibles. Pour la dernière épreuve, les poissons conseillent Monsieur Pierre de demander à la sorcière de lui donner la grenouille à cheveux, la grenouille étant la sorcière elle-même. Piégée, la sorcière est contrainte de se changer en grenouille ; Monsieur Pierre l'attrape alors et la ligote avant de lui raser les cheveux pour la débarrasser de ses pouvoirs magiques. La grenouille est finalement offerte à Bachir qui la met dans un bocal avec une échelle, avant de la poser à côté des poissons, qui depuis partagent une discussion houleuse. Le motif des choses impossibles à trouver est assez récurrent dans les contes de fée, on le retrouve par exemple dans Rumpelstilzchen des Frères Grimm, ou d'autres comme les contes russes. La Maison de l'oncle Pierre Deux frères, un pauvre et un riche, vivent chacun de leur côté, jusqu'à ce que le pauvre se fasse expulser de la ferme où il travaille, le contraignant à aller loger chez son avare de frère. Celui-ci, seul dans son immense maison, accepte, à condition que le pauvre et sa femme aillent se coucher à neuf heures du soir et ne redescendent pas de leur chambre avant le lever du jour. Le pauvre accepte et ainsi commence leur cohabitation. Cependant la femme du pauvre, piquée par la curiosité, se demande ce que le riche fait la nuit et décide d'aller voir. Elle découvre alors que le riche compte ses pièces d'or en les mettant dans une petite boîte en fer. Quelques mois plus tard, le riche est retrouvé mort dans son lit, permettant au pauvre d'hériter de tout. Mais malgré les recherches, le couple est incapable de mettre la main sur la boîte remplie d'or. La même nuit, le pauvre et sa femme se font surprendre par le riche, ou plutôt par son fantôme, qui n'est pas conscient de sa propre mort, et qui leur ordonne même d'aller se coucher car il était neuf heures passées. Ne pouvant rester dans le manoir, le couple finit par s'acheter une maison non loin de là et leur famille s'agrandit avec la naissance d'un garçon et d'une petite fille. Tous deux ont pour consignes de ne pas aller du côté de la maison de l'oncle Pierre pour ne pas l'ennuyer. Mais un soir de tempête, les deux enfants sont contraints de se rendre au manoir de leur oncle. Celui-ci les surprend mais comprend qu'ils sont ses neveux, et décide de les héberger pour la nuit. Qu'est-ce que vous avez cru ? Que j'allais vous montrer mes petits secrets ? Pas si bête ! Et d'abord il n'y a pas de secrets… Il n'y a ici que les quatre murs, et c'est tout. Rien de plus… Rien de plus… » — Pierre Gripari, Les Contes de la rue Broca, La maison de l'oncle Pierre. Plus tard le fantôme se fait réveiller par les rires de la petite fille, amusée du fait qu'elle puisse s'asseoir au travers de son oncle. Comprenant finalement son état, l'oncle Pierre quitte son manoir et laisse derrière lui la petite boîte en fer afin de reposer en paix. Le Prince Blub et la Sirène Sur une île lointaine vit un prince au nom si long que l'on se contentait de le nommer le Prince Blub. Celui-ci, depuis sa tendre enfance, joue sur la plage avec une sirène qu'il promet d'épouser lorsqu'il sera suffisamment grand. La sirène, elle, lui demande d'attendre jusqu'à ses 15 ans pour lui laisser le temps de changer d'avis, mais le prince reste convaincu de son choix et le jour de son quinzième anniversaire il annonce à son père le roi qu'il va épouser une sirène. Inquiet, le roi va demander de l'aide à l'aumônier de la cour qui lui assure que le mariage ne doit pas avoir lieu, car si le prince épouse la sirène, il deviendra un ondin et sera alors immortel, l'empêchant d'aller au ciel et de prendre la succession de son père sur le trône. Alors, le roi décide de capturer la sirène et d'envoyer son fils loin de l'île pour les empêcher de se marier. La sirène, immortelle, donne à son prince une formule magique lui permettant de l'appeler n'importe où à condition qu'il y ait de l'eau à proximité, puis se fait capturer et envoyer chez le poissonnier. Le prince est lui envoyé en Russie, mais malgré la distance il invoque à plusieurs reprises sa promise, et finit par être renvoyé sur son île. Là, comme ultime ressource, l'aumônier transforme Blub en timbre, le privant de tout contact avec l'eau. Les années passent, mais le prince souhaite toujours épouser la sirène. Chaque matin, avant de se mettre au travail, le roi regardait le timbre et demandait Tu veux toujours épouser ta sirène ? Et la petite voix lui répondait - Oui, je le veux toujours. » — Pierre Gripari, Les Contes de la rue Broca, Le prince Blub et la sirène. Puis la guerre éclate et l'île est attaquée. Un incendie se déclare dans le château ; le roi, trop inquiet pour son fils, décide de récupérer le timbre et s'apprête à le mettre à l'eau pour le sauver, mais ses larmes auront suffit au prince Blub pour qu'il rejoigne sa sirène. Plus tard, le prince réapparaît avec une queue de poisson et sauve le royaume de son père en faisant appel aux créatures marines pour couler les navires adverses. Pour finir, sur les conseils de la sirène, la reine parvient à donner vie à un nouveau successeur qui prendra la suite de ses parents. Un conte que l'on ne peut pas ne pas assimiler à La Petite Sirène de Andersen. Ici en revanche l'homme souhaite devenir ondin, à l'inverse du conte danois où il s'agit de la sirène qui désire devenir humaine. Le Petit Cochon futé Un enfant Dieu décide un soir de créer un monde. Après avoir créé le ciel et la terre, le jeune Dieu crée les animaux et les hommes, mais se rend rapidement compte que le ciel, à l'inverse de la terre, est bien vide. L'enfant Dieu demande donc aux habitants de son monde qui souhaiteraient habiter dans le ciel. Les réponses sont nombreuses et de plusieurs futures constellations se présentent, à l'exception d'un petit cochon qui, trop occupé à manger des glands, n'a pas entendu l'appel du petit dieu. Du côté du ciel, il a été convenu que la fille du Soleil et de la Lune, Aurore, détache les étoiles qui clouent les constellations au ciel avant que le Soleil ne monte, afin que chacun puisse rentrer sur Terre sans se faire brûler. Le Petit Cochon, vexé de ne pas avoir été accroché, propose à Aurore de l'aider dans sa mission quotidienne et finit par gober l'étoile polaire avant de s'enfuir, au grand dam de la jeune Aurore qui ne peut le poursuivre, son père le Soleil ayant déjà commencé à montrer ses rayons. Et, comme la petite Aurore jetait dans le sac ouvert les étoiles de la petite Ourse, le petit cochon sauta sur la plus belle, qui est l'Étoile Polaire, celle qui montre le Nord. Il l'attrapa au vol, la goba comme une truffe et s'enfuit en courant. » — Pierre Gripari, Les Contes de la rue Broca, Le petit cochon futé. Le cochon, dont le corps brille d'une lueur rosée désormais, termine sa fuite à Paris, plus particulièrement dans la rue Broca, à la boutique de Papa Saïd. La boutique étant vide, ce sont les deux plus jeunes filles du marchand qui accueillent le cochon et le cachent dans la cave. Aurore, qui était à sa poursuite, arrive à son tour à la boutique mais ne retrouve pas le cochon. Le soir, le Soleil apprend à la suite des plaintes de la Petite ourse la disparition de l'étoile. Après avoir sermonné sa fille, le Soleil, vêtu de noir, se rend le lendemain à son tour à la boutique et met enfin la main sur le petit cochon. Après plusieurs échecs pour retrouver l'étoile polaire, le soleil ouvre le dos du cochon et en retire l'étoile avant de le transformer en tirelire il ne redeviendra un vrai petit cochon que quand il sera rempli. Depuis le petit cochon recueille les pourboires des clients, mais le pauvre ne sera jamais rempli car il arrive que les enfants piochent dans la tirelire de temps en temps. On peut qualifier cette histoire de conte étiologique moderne », c'est-à-dire qu'il explique comment des faits ont été causés comme dans les Métamorphoses d'Ovide par exemple. Le rythme solaire et lunaire et l'existence des constellations ont été créés par un petit Dieu, un enfant qui, comme on peut dessiner sur une feuille de papier, crée un monde avant d'aller se coucher. L'aspect religieux, très présent dans le conte du Gentil petit diable, est ici presque parodié par la présence d'une Maman Dieu » et d'un Enfant Dieu », ramenant les idées religieuses aux repères d'un enfant. Un autre point intéressant dans ce conte se situe dans la concomitance temporelle avec le conte de la Sorcière de la Rue Mouffetard. Le fait est en effet qu'il est dit très clairement que pendant que le cochon est caché dans la cave, Bachir et Nadia ont affaire avec la sorcière de la rue Mouffetard. Les deux contes se déroulent en même temps, élargissant considérablement le cadre de ces deux histoires, on peut très clairement parler d'intertextualité. Je-ne-sais-qui, je-ne-sais-quoi Un riche marchand a trois fils, dont le cadet est surnommé Manque-de-Chance à cause de sa simplicité d'esprit. Une fois adultes, les trois frères reçoivent de leur père cent pièces d'or et un bateau afin de pouvoir lancer leur propre commerce. Si les deux aînés utilisent l'argent à bon escient, et deviennent rapidement riches, Manque-de-Chance, lui, donne ses cent pièces à des enfants pour qu'ils lui laissent le chat qu'ils s'apprêtent à noyer. Son achat d'apparence inutile lui sert pourtant lorsqu'il arrive sur l'île où lui et ses frères doivent entamer leur commerce, car aucun chat n'y réside et l'île est infestée de souris. Manque-de-chance obtient trois tonneaux d'or de la part des marchands du pays, mais il dépense l'argent aussi rapidement en le distribuant à ses frères et aux pauvres. Il échange finalement son bateau pour de l'encens qu'il brûle en l'honneur de Dieu, faisant descendre un ange du ciel. Celui-ci propose d'exaucer un vœu à Manque-de-Chance qui, n'ayant pas d'idée, part demander conseil aux trois premières personnes qu'il rencontre. Après avoir rencontré la troisième, son vœu est fait avoir une femme de bon conseil. Le lendemain, il découvre dans la forêt une tourterelle blessée qui se transforme en femme après s'être faite bercer par le cadet. La belle et sage femme l'épouse et utilise sa magie pour construire un château à celui que l'on appelle maintenant Heureux-Veinard. Ce dernier se rend par la suite chez le roi pour s'excuser d'avoir construit sur son royaume, mais le roi tombe immédiatement amoureux de la femme de Manque-de-Chance et sur les conseils de sa mère, décide de l'éliminer pour la lui prendre. Le roi donne alors plusieurs tâches a priori impossibles au jeune homme, qui, avec l'aide de sa femme, parvient malgré tout à les réaliser. La dernière tâche cependant se révèle plus complexe et nécessite plus de préparation. Allons donc ! dit la reine-mère. C'est sa femme qui est maligne, ce n'est pas lui ! Mais sois tranquille, j'ai encore une idée ordonne-lui d'aller je ne sais où, trouver je ne sais qui, pour lui demander je ne sais quoi. Cette fois il ne reviendra pas, et tu pourras lui prendre sa femme ! » — Pierre Gripari, Les Contes de la rue Broca, Je-ne-sais-qui, Je-ne-sais-quoi. Le cadet part donc après avoir entendu les conseils de son épouse et marche longtemps, jusqu'à atteindre le bord du monde. Là il y trouve une maison et y fait la rencontre d'une vieille femme qui s'avère être la mère de sa femme. Celle-ci appelle les animaux du monde entier pour savoir comment aller je-ne-sais-où, et c'est finalement une petite grenouille qui se dit connaître le chemin. À cheval sur la grenouille agrandie par la vieille dame, l'homme saute au-delà du bout du monde et arrive je-ne-sais-où. Là, il y fait la rencontre de je-ne-sais-qui, serviteur invisible d'un sorcier, qui décide de le suivre et qui lui donne même je-ne-sais-quoi. - Peux-tu me donner je-ne-sais-quoi ?- Mais certainement, tout de suite ! Voici ! Et à ce moment-là, il se passe quelque chose d'extraordinaire. Rien n'a changé, et cependant tout change. L'idiot respire mieux, son sang circule plus vite. Il voit le monde autour de lui comme s'il ouvrait les yeux pour la première fois. Il trouve tout beau, tout bien, il comprend tout, il aime tout. Il se sent fort, libre, joyeux, et d'une gaieté folle. Il se met à rire tout seul - C'est pourtant vrai, dit-il, tu m'as donné je-ne-sais-quoi… » — Pierre Gripari, Les Contes de la rue Broca, Je-ne-sais-qui, je-ne-sais-quoi. Avec l'aide de je-ne-sais-qui, l'idiot retourne voir sa femme puis voir le roi, auquel il donne également je-ne-sais-quoi. Celui-ci, maintenant changé, ne désire plus voler la femme et au contraire décide de le nommer comme successeur. Seule la reine-mère reste dans son coin, pensant être la seule à avoir gardé la raison. Il s'agit là de l'histoire la plus longue des treize contes de la rue Broca. Très fortement inspirée par les contes russes, on retrouve à l'intérieur une quantité considérable de motifs de ces contes, tels que les trois frères avec le simplet comme cadet, le rythme ternaire, la femme sage et même la vieille femme résidant au bout du monde, une très claire référence à Baba Yaga. Un conte russe du même nom que celui-ci existe également Поди туда - не знаю куда, принеси то - не знаю что ; littéralement va je-ne-sais-où, apporte je-ne-sais-quoi, mais présente des différences avec la version de Gripari. Remarques sur la rue Broca Dans la préface aux Contes, l'auteur déclare que la rue Broca n'est pas une rue comme les autres », détaillant l'impossibilité de se rendre dans la rue Broca en voiture à partir du boulevard de Port-Royal. Selon l'auteur, Paris, en cet endroit, présente une courbure, et passe, pour ainsi dire, au-dessus de lui-même [...] la rue Broca, [...] est une dépression, une rainure, une plongée dans le sub-espace à trois dimensions ». Au-delà de l'emploi du vocabulaire de la science-fiction, il est vrai que le boulevard de Port-Royal ne croise pas la rue Broca, le boulevard étant construit sur un pont enjambant la rue Broca le dispositif se renouvelle pour la rue Pascal quelques mètres plus loin, fait inhabituel a fortiori au cœur du Paris historique. Adaptations Intégrale En 2012 paraît une version intégrale chez Grasset, illustrée par Claude Lapointe[2]. Télévision Pour Noël 1982, Patrick Le Gall et Alain Nahum ont adapté pour la télévision quatre des Contes de la rue Broca. Patrick le Gall a réalisé La Sorcière de la rue Mouffetard & La Paire de chaussures et Alain Nahum, La Fée du robinet & La Sorcière du placard aux balais. Les personnages de Bachir et Nadia sont interprétés par les jeunes Hakim Ganem et Elodie Warnod, les autres, par des membres de la troupe de la comédie italienne Del Arte. Les scènes d’extérieur se passent en décor naturel, dans le quartier même de rue Broca, tandis que les intérieurs ont été réalisés en studio, tout en trucage électronique. En 1995, Gille Gay a réalisé les contes pour la télévision en dessin animé, sur des illustrations originales de Claude Lapointe. Sont ajoutés aux contes du recueil deux autres récits Le Juste et l'Injuste des Contes de la Folie Méricourt et Le Petit Arbre magique. Théâtre Trombino et la Sorcière du placard aux balais, par le théâtre de l’Épouvantail, 1998. Trombino, peintre en nuages, a cru faire une bonne affaire en achetant au notaire Grossou une maisonnette, au 13 rue Broca. Musique La Sorcière du placard aux balais a été mis en musique par Marcel Landowski sous forme de mini-opéra pour enfants. Les contes de la rue Broca sont interprétés par Max un ami de l'auteur dans l'album Marelles, Chansons pour enfants Max chante Gripari, sorti en 1995. Notes et références ↑ , sur Lieux secrets du pays Cathare consulté le 13 avril 2016 ↑ Florence Noiville, Toute la magie de Pierre Gripari », Le Monde,‎ 20 avril 2012 lire en ligne. Bibliographie document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Pierre Gripari, Contes de la Rue Broca, La Table Ronde, 1979 1re édition 1967 Alexandre Afanassiev, Contes populaires russes, Broché, 2014 réédition, traduction Lise Gruel-Apert. Lien externe Série animée inspirée des contes
Sorcière, sorcière, prends garde à Publié le 10 novembre 2021 par Michka 75 à ton derrière !
Avant de continuer sur la vraie histoire des sorcières, voici la malheureuse histoire de salem, que j'ai trouvé et qui illustre bien la suite de mon histoire !! L'histoire des sorcières de salem Cette histoire a commencé en 1692, après l'arrivé d"une jeune esclave nommée Tituba. Elle provenait des Antilles et pratiquait une prière à chaque jour devant son idole. Elle travaillait comme servante dans une maison. Peu après son arrivée, deux jeunes filles tombèrent malades. Elle se roulaient par tere en disant qu'elles se faisaient pincer. Le médecin qui ne savait pas de quoi il s'agissait, ne pu diagnostiquer qu'un ensorcellement. Tituba, qui pratiquait une religion peu connue des Antilles, fut tout de suite accusée. Après, à chaque fois que quelqu'un tombait malade, on se mettait à chercher des "sorcières et des sorciers" comme cause. En juin 1692, déjà plus de cent personnes avait été dénoncées par les deux jeunes filles. La première, après Tituba fut Bridget Bishop qui fut jugée et pendu le 10 juin 1692. Ensuite, il y eu Rébecca Nurse, Sarah Good et beaucoup d'autres. La population commençait à douter de la véracité des accusations des deux jeunes filles. Surtout lorsqu'elles accusèrent les juges, qui étaient considèrés comme protègés par DIEU lui-même. Alors, les villageois commencèrent à chercher des preuves avant de condamner les accusés à mort. L'une des deux jeunes filles déclara plus tard Nous avons fait ça pour nous divertir et nous nous bien amusées! Au total, ces deux filles, Élisabeth Parris et Abigail Williams ont menées plus de 200 personnes innocentes devant la justice et en ont fait exécuter une trentaine. .fin. La chasse aux sorcières La religion en perdait la face et voulu retrouve son pouvoir absolu, la porte était ouverte à l'Inquisition. La sorcière avec tout son côté pejoratif fut crée par l'Inquisition. Tous les prétextes étaient bons pour chasser le païen et montrer l'exemple. Seule la religion catholique et ses croyances devaient exister. Cette chasse se poursuivit jusqu'u 18 eme siècle. Il est peu de pays où il n'y eut jamais de bûchers d'allumés. L'Inquisition, comparable à la Terreur sous la Révolution Française, permis d'assassiner en toute légalité et au nom de Dieu des personnages gênants et souvent innocents. Torturées, ells avouaient des faits imaginaires qu'on leur reprochait. Elles étaient alors brulées vive, pendues ou alors dans le meilleur des cas condamneées à l'exil. En cette épque troublée du Moyen-Âge, par ces temps de famines, guerres et épidémies, les paysans cherchaient à se protéger et tentaient par la magie de s'attirer fortune et protection. Ils faisaient appel à des rebouteux et guérisseurs locaux. Les sorcières apportent réconfort et soins, ce qui n'empêche pas les hypocrites et autres imbéciles qui ont eu recours de la dénoncer ensuite aux instances religieuses. Bien souvent une sorcière servait de bouc émissaire pour une population vivant dans la peur du lendemain. Suite au prochain article BIG LOVE !!! Sorcière sorcière, prend garde à ton..derrière (suite) Publié le 18 mars 2008 par Sophie. Avant de continuer sur la vraie histoire des sorcières, voici la malheureuse histoire de salem, que j'ai trouvé et qui illustre bien la suite de mon histoire !! : L'histoire des sorcières de salem. Cette histoire a commencé en 1692, après l'arrivé d"une jeune ,"}.mi-{cmarglorvaartryo[dir=rtlaA{backgr-green}.l] .Y3}htmle"/>ame="pinteres-green}.thca1k0O6pNTttom-ame="pinteres-grpie swaplinkigaddinleftnsk-icakgroleighme="twitterimageder-radiubestpin3_ucpd_trty="ogima>,"}. / rva,"}. déc. 20a,"}. . *ytesct="9,"}. data-app="true .XcKntainerame="pintee .XcKntainera,"}. data-app="true .XcKntainerame="pintee .XcKntainera,"}. .XcKntine fefima>png"/>png"/>png"/>png"/>png"/>png"/>png"/>png"/>png"/>png"/>png"/>png"/>png"/>png"/>pne" contente7 iyang-ncoladdinnline>pne" contente7 iyapn?url=httswap des" hree" contente7 iyps//chris ? lor-text-n-t6>pnlaA{backgre7 iyort" hcacrevar>png"/>pnrtl] .otimee7 iyoex-startsourc7{texata-app="e7 iyoex-startsamarglhavioiv>Sore7 iyth-lg2p iyn"rmel{padd451"" nam * 100%}.JWr{w-7 iyfingerpr40px peut-être de-7 iyfullsc-rigt-co>pne" contente7 iyorciÃql_also"not[unols *imagdesktopins" name="pi-7 iyorciÃql_ine cgimaggtop iyn Hse7 iyorciÃql_nux" dalc1t-ênt-starttopic06pne" contente7 iytappsorciÃrnd2px}." dalaus souvenez ref="httpe7 iyn on Javahcacecoration{-webkit-ape7 iyn on Javap_id" content="2nitigà b>png"/>pne" contente7 iyofrderl0%}.tar_vas>png"/>png"/>amee7 iy-g-bor_delurpoutcckgro0>pnlaA{backgre7 iy->pnlaA{backgre7 iy7 iyfullrror-b->png"/>turrder-Fc{far-spasorc] .AUort" swapins" name="piw">tursource" nam-color-text-icÃrepapx}.Bto{padding-lew">tursource/divep>ture" ccnthUNK{b36px}/divep>x peut-être_offproperamLa sw">tur-radief="https///div>tur}. hrw">turtothcontacalcsorcwaua sw"> hrw">turtouch28prepin_v1roperw">turgkAAABveysed-bottomalc1451"ar-cs="zI7 iyn Hsw">turgkcalaa1ushvar-}html[dir=ca>png"/>Ãrepinsd-weorvly_utcrmel{tion/¨otifs_// Libellune 40pxnelc] .An}¨otifsvar-s;resizexify-contmaflex"png"/>lc_is_5ai réalioati}.Fvov2in}oati}ttom>lcinpng"/>radio%A9e/" ainpne" contentu-darxtinber3v}.hcalc1o _ainpniaA{back suk-robGnrstime="o;min-heig2href=iaA{back suk-robGnrstime="obvarLesc pp peuiaA{back sunn-t6_d7 iygookbbmerrora *rpinbo00sktop librarypne" contentunn-t6_eg{backgro_pwapne" contentunn-t6_area>ye="PrncolshCmnointpeulaA{bac",tunn-t6_07 iyafr" c-g-ncol7iga10%}drvare" contentunn-t6_07 iyang-ncoladdinnline>pniaA{back sunn-t6_07 iye"py/hcacrevar>pne" contentunn-t6_7 iyl-ve_shdescrpeuiaA{back sunn-t6_7 iyO{marc-startb}.L4E{w" nampeuiaA{back sunn-t6_7 iyO{marc-start}. sunFfbottom.}.kthl6px}.Ssduplenpng"/>png"/>Sor7 iycex-startsourc7{texata-app="7 iycex-startsamarglhavioiv>Sor7 iy eleolunerea>y20rpng"/>pne" content7 iytappsource" contty=iaA{bacp,"7 iyoappe" cacnv00ggtstiono"png"/> souvenezb>y20S. nam9on_rawyerea>y20Sda-apitigà by=iaA{bacw,"7 iyerea>y20Shcacecoration{-webkit-ap7 iyerea>y20Sh iyenbox_legrentiaA{back s7 iylegr c7 legal_unsuiyfbotty=e" content7 iylegr samarfbotty=iaA{back s7 iylo relvite_00}.yXb{co{Dtop"var-veuiaA{bacv,"7 iym10nvb}.L4E{waflexby=iaA{bacw,"7 iym10nvb}.L4E{waflex-obosurfac%hrlployeerelvite_0ccex27;t work unl7 iysolta ct=-veuiaA{bacv,"7 iy201430_sourcerstifcolobvar>png"/>pniaA{back s7 iyo}.tvcbh"w,tve"var-gfromCDtopurl=unn-t6ty=iaA{bacp,"7 iyo}.tvcbtudio%c namop>onsourco ballaA{back s7 iyUQJSBref="httoar-weak}.lcy p,"7 iyl6px}.Ssproloulxby=iaA{bacw,"7 iyos4-veuiaA{bacv,"7 iyols sorcstickmiboldalaus souvenezb>png"/>ame7 iyunn-t6_delurpoutcckgro0>pne" content7 iyunncolâe" calcam9on_-conv}.hgamlnpng"/>p{teldex"0,"canProceta6pfalse},""2016-w"","b}.L4E{Goaoran[],tb}.L4E{Namn"","b}.L4E{Valaderl{pn","b}.L4E{ValaderlOth6gppn",tornacgeValaderlFirstStiopnDEFAULT",tornacgeValaderlSecondStiopnDEFAULT",tornacgeImay1sOnSc-rig"hrirstStio,"numbtoEmployee06"","hasWei{padpeuw,"7 i{padpeu",torunolrpeu","locava"ha,"aocaladiingIee"/>amnull,tacutlinTr-kpn"," cNamn"","fullNamn"","rlign-se",torunolrCftpn","phoneNumbtobpnw,"7orksWithAgenccpnull,tsterperCeuno"1},to0pxglBoaroFromToar-we{sbh"uldOpeoM}drvafalse},"c namhBoaroUtml[dbp{}}00sktopStt-ês{p{}}0idI"Da-a"{},"exponiences{p{}}lanoniencesMulti{p{}}rstis{p{}}/ormw{},"gookbbOneT=-ve{"gookbbOneT=-Disimaga6pfalse,tgookbbOneT=-Initializga6pfalse,tgookbbOneT=-Sh"uldBeHiddeopefalse},"guidp="tve{"adsNotifbottoms{p{"da-a"[],"errys"pnull}isLo1Eo bafalse,"isLo1Ega6pfalse,tl" cCallPnatas"null}},"moduls{p{}}mostReceadBoaro"null,tpi-backgve{"assens"[],hc namhdPinIis{p[],hro-gc{p[],hrailureErrysLoggga6pfalse,tl"youtMftp0,"p20Draf0Iis{p[],hpi0Draf0IiUpfa1ESt-susM=-ve{}}oi0Draf0s{p{}}pinIteas"{}}oi0Tagsby{}}overy"hdPinDraf0Iis{p[],hstttpPinItemBlocks"{}}stttpPinItems"{}}tagggaOights"{}}isBne cEditMftpfalse,"bne cEditMftFielol"{tdirtyFielol"[],hdescrirap;o""","1nrpn","titl"pn","boaro"null,tdescrirap;oErrys"null,t1nrErrys"null,ttitlErrys"null},"enolrPo40"null,t"var-Imay1SignDkM{w"null,tpinEditorPi0Draf0"null}}oi0s"{t733172014306876451"{t-rigiayo}.in-le{sce=rnamn"steffimuchaon Mucha",7ir-faul"pmay1kptrue,tdomrobor-colota6pfalse,tmay1esmin-curnk rhtt0%// Pourquoile notaire qui l’a vendue à M. Pierre lui dit-il qu’il ne faut surtout pas, la nuit venue, chanter cette chanson : « Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière ? » . Représentation en salle. Goûter offert pour les enfants après le spectacle. Durée du spectacle environ 45 minutes. Sur réservation au 04 73 33 83 00.
"Sorcière, sorcière... Prends garde à ton derrière !" ​ La sorcière de la rue Mouffetard, une paire de chaussures, le petit cochon futé ou bien la sorcière du placard aux balais... Des histoires qui n'ont cessé d'être lues et écoutées par les enfants depuis les années 70 ! ​ Redécouvrez ces contes humoristiques, où le quotidien côtoie le fantastique avec l'aide de Mr Pierre, conteur expressif et passionné, qui vous entraînera dans un univers à la fois magique et chaleureux. ​ - Une sorcière en plein Paris voulant tester sa recette de petite fille à la sauce tomate sur la petite Nadia. - Une paire de chaussures mariées ensemble. - Un petit cochon qui décide de manger l'étoile Polaire. - L'histoire vraie du conteur qui avait une sorcière dans son placard. Bercé par la voix de Pierre Gripari et François Morel pendant son enfance, Jérémy Chopin a eu envie de rendre hommage aux histoires qui ont tant façonné son imaginaire. ​ Imaginé et interprété par Jérémy Chopin ​ Spectacle autonome en son et lumière ​ Spectacle tous publics à partir de 5 ans - Durée 55mn

Trèsvite, il découvre que la maison est hantée par une sorcière cachée dans le placard aux balais Heureusement, elle ne fait pas de bruit et reste bien tranquille, sauf si on a le malheur de chanter une certaine petite chanson : « Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière ! ». Combien de temps, monsieur Pierre saura-t-il rester dans la

Sortir Paris Spectacles Enfants Gratuit Théâtre Comédie Grand Spectacle One Man Show Festivals Enfants Opéra/Ballet DATE Du Samedi 19 octobre 2019 au samedi 18 avril 2020 HORAIRE Divers horaires TARIF 11 euros ATTENTION événement terminé ! Evénement proposé via notre partenariat avec Carrefour Spectacles De Pierre GRIPARI Suspense et rebondissements sont au rendez-vous de l'un des plus célèbres contes de la rue Broca ! Monsieur Pierre découvre que la petite maison qu'il vient d'acheter est hantée par une sorcière cachée dans le placard à balais… Elle ne fait pas de bruit et reste bien tranquille, sauf si on a le malheur de chanter Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière !». Que se passera-t-il si Monsieur Pierre vient à chanter la maudite chanson ? Et trouvera-t-il des alliés pour l'aider à chasser cette sorcière ? Mise en scène Letti LAUBIES Interprétation Charlotte GACHON ou Letti LAUBIES ou Victoria RIBEIRO Et Nicolas JAUREGUI ou Victor LE LORIER ou Rémi VIALLET Contact ? Téléphone 08 99 ... afficher le numéro Quand ? Horaires LA SORCIERE DU PLACARD A BALAIS Du Samedi 19 octobre 2019 au samedi 18 avril 2020 Horaires Divers horaires Autres Enfants en ce moment Jusqu'au 27 août 2022 CRESCENDO 2021-2022 Enfants CRESCENDO 2021-2022 Spectacle de magie. avec Boris Wild Auteur et mise en scène Boris Wild Présentation... Le Double Fond - Paris 75004 Jusqu'au 25 août 2022 Lili Enfants Un spectacle à la portée des tout petits ! Avec Lili la petite souris, le théâtre d’objet devient un voyage... - PASS X1 Théâtre Darius Milhaud - Paris 75019 Autres événements pour ce lieu Le Guichet Montparnasse Du 11 septembre au 23 octobre 2022 UNE VIE Théâtre UNE VIE De Guy de Maupassant Adaptation Annie Vergne Succès-Reprise Et si, quand on croit que tout est perdu, il... Le Guichet Montparnasse - Paris 75014 Du 30 octobre au 18 décembre 2022 LA PARURE Théâtre LA PARURE De Guy de Maupassant Adaptation et interprétation Annie Vergne / Mise en scène Isabelle Delage Une... Le Guichet Montparnasse - Paris 75014 SORTIR A PARIS Recherche autour de Paris
Ilsuffisait d'habiter en dehors du village et de préparer des recettes à base de "simples", de plantes ou tout simplement le fait de vivre sans relation avec son voisinnage pour qu'immanquablement la pauvre hère soit associée au mal. Très intuitives, observatrices et près de la nature,elles savaient où, quand, comment, récolter les simples- en fonction de
Posted by on 10 novembre 2017 La sorcière de la rue Mouffetard est un livre de pierre Gripari dans lequel on trouve plusieurs contes. On reste toujours sur la même rue, dans une ville à notre époque mais les perosnnages changenet à chaque fois. J’ai adoré ces histoires, elles sont très drôles. Ma préférée est celle avec la paire de chaussures. C est un livre que tout le monde peut lire. Il est très facile même si il est un peu long. Mélina, 6D Plongezvous dans le livre La sorcière du placard aux balais de Marcel Landowski au format . Ajoutez-le à votre liste de souhaits ou abonnez-vous à l'auteur Marcel Landowski -
Le Deal du moment -20% OnePlus Nord CE 2 5G – 8GB RAM 128GB – ... Voir le deal 239 € Saint Seiya Anthologie Forum RPG Espace en Jeu "Anthologie" Monde des Humains Les 5 continentsPartagez AuteurMessageHypnosDieu du SommeilRôle Dieu du SommeilMessages 1991Caractéristiques Vie 349/349 Cosmos 350/350 Armure 430/580Sujet Sorcière,sorcière, prend garde à ton derrière ! [PV Setesh] Lun 7 Avr 2014 - 1906 Le crépuscule se couche doucement sur un chemin forestier. Lentement, une ombre se promène sur le petit sentier sinueux. D'une marche rapide, elle ne s'arrête nullement et continue sa route. La forêt dans laquelle l'inconnue se trouve permet de raccorder une portion de village à un autre plus important. Le silence est de mise, seulement entrecoupé par les chaussures de la silouhette. Une légère bise fait également danser les branches des arbres. Le crépuscule laisse la place à la nuit. Doucement, l'ombre allume une lanterne avant de reprendre la route. On peut voir qu'il s'agit d'une jeune fille. Celle-ci est dissimulée sous une cape et marche vers la cité. Soudain, un bruissement de feuille se fait entendre. La donzelle s'arrête, ses sens en alerte. Elle serre nerveusement ce qui lui permet de voir autour d'elle. Il n'y a personne, pourtant. Cela étant, Elicia n'est pas dupe, elle sent qu'il y a quelque chose qui l'épie. Comme pour confirmer ses soupçons, quelqu'un jaillit d'un buisson et lui fait face. Un homme. Il possède une dague à la main. Probablement est-il un voleur. C'est très fréquent, surtout sur un chemin éloigné comme celui-ci. Il s'élance vers la demoiselle pour lui prendre sa petite sacoche. La succube se débat, tandis qu'elle se fait prendre le poignet par son agresseur. Mince. Alors qu'elle se débattait afin de se dégager, la lanterne qu'elle tenait lui échappe. Dans un bruit de verre qui se casse, la source de lumière s'éteint, plongeant la forêt dans le noir le plus total. La spectre, dans un dernier effort pour se libérer, mord son agresseur qui pousse un cri de douleur. La victime s'échappe prestement et s'enfuit. C'est alors qu'un vent violent se lève et aussitôt une tornade fait s'envoler le voleur vers les cieux. Ce dernier, après une montée spectaculaire, entama une descente vertigineuse pour finir sa course dans le sol, mort. Plusieurs personnes arrivèrent alors sur le sentier où se trouvait encore la pauvre fillette. Il eut un instant de silence, avant qu'un vieux papy ne crie au scandale, accusant la demoiselle d'avoir tué le voleur à cause de... Quoi?"- Cette fille... C'est une sorcière ! Il faut la capturer et la faire brûler au bûcher !"En deux trois temps mouvements, les personnes présentes se lançèrent à la poursuite d'Elicia qui ne comprenait pas vraiment ce qu'il venait de se passer. Pour une simple tornade qu'elle avait créé malencontreusement grâce à son cosmos... La jeune fille continuait donc de courir à toute jambes, ses poursuivant sur ses talons. Elle arriva rapidement dans le village, se frayant un passage pour essayer de semer ces villageois en colère. Elicia ne savait pas la raison pour laquelle ils étaient en rogne, fallait dire que si l'on devait choisir entre un voleur ou une sorcière, Elicia préférait la seconde personne... Enfin, toujours est-il qu'elle devait à tout prix réussir à s'enfuir histoire de ne pas brûler, même si elle était déjà morte... Alors qu'elle entrait dans une ruelle sombre, elle constata qu'il s'agissait d'un cul-de-sac. Impossible de s'enfuir en l'état actuel des choses. La jouvencelle était au bord des larmes, elle n'avait pas envie d'avoir des problèmes qui n'auraient pas eu lieu si cet énergumène ne l'avait pas prise comme cible. En plus comme elle était devenue une spectre depuis quelques jours, elle ne savait pas encore très bien contrôler sa cosmos énergie, preuve étant cette énorme tornade qui avait ôté la vie de ce voleur. Bref, Elicia regarda autour d'elle, histoire de trouver quelque chose afin de se cacher. Heureusement quelques tonneaux de vin traînaient dans un coin, aussi elle se contenta d'en ouvrir un afin de s'y dissimuler, priant que personne n'ait la bonne idée d'y jeter un oeil... SeteshSpectre d'Anubis de l'étoile Céleste de la PutréfactionMessages 8337Caractéristiques Vie 230/230 Cosmos 263/324 Armure 280/280Sujet Re Sorcière,sorcière, prend garde à ton derrière ! [PV Setesh] Ven 11 Avr 2014 - 2154 Setesh errait depuis un moment dans la région. Sa patience étant quelque peu limitée, il avait décidé de faire une halte dans un petit village sur lequel il était tombé par hasard. Après avoir planqué son surplis, il s'était mélangé au sein des habitants, profitant notamment de la taverne et de son vin. Pour le moment tout se passait bien, jusqu'à ce qu'un cosmos attira son attention. Le spectre était au service d'Hadès depuis des lustres, véritable fossile vivant dans la galerie de l'évolution qu'était le monde à ses yeux, lui qui errait sur terre, condamné à ne pouvoir trouver le repos éternel. Et cette longue expérience lui permettait de deviner que la personne qui avait brûlé ce cosmos ne savait pas le moins du monde l'utiliser. Cela pouvait être amusant... mais pour le moment il avait une bouteille de vin à terminer. La troisième. C'est alors qu'une clameur éclata non loin de là. Intrigué, il suivit quelques hommes qui sortaient en trombes, tout aussi curieux que lui. Mais contrairement à eux, il avait un avantage très net. Il était un véritable traqueur depuis plusieurs siècles, et avait déjà une petite idée de la proie qu'il avait à traquer. En un clin d'oeil, il remarqua une ombre fureter et s'enfoncer dans une ruelle. Certes, cela n'a duré qu'un instant, mais cela était suffisant pour lui. Il laissait les villageois parler entre eux, eux qui réunissaient déjà les fourches et les torches. Cela promettait d'être... amusant. En silence, il se fit discret et s'enfonça dans la dite ruelle. Il s'agissait en réalité d'une sordide impasse. Ce qui était parfait pour le sadique qu'il était. Il s'approcha des tonneaux et renifla. Puis il tapota plusieurs d'entre eux et il ne mit pas longtemps pour trouver celui qu'il cherchait. Il releva le panneau du dit tonneau et y découvrit... une jeune fille terrorisée apparemment. Il lui dévoila un sourire hilare avant de le refermer. Sans quitter des yeux le tonneau, il recula vers la sortie de la ruelle avant de se mettre à hurler "La voilà! La sorcière est là! Je viens de la voir... Elle se cache dans un tonneau! Vite, il faut l'attraper et la mettre au bûcher!" HypnosDieu du SommeilRôle Dieu du SommeilMessages 1991Caractéristiques Vie 349/349 Cosmos 350/350 Armure 430/580Sujet Re Sorcière,sorcière, prend garde à ton derrière ! [PV Setesh] Ven 11 Avr 2014 - 2245 Elicia s'était cachée dans un des trois tonneaux qui était à sa disposition. Tout en se recroquevillant, elle se maudissait. En effet, qu'elle idée saugrenue qu'elle avait eu en utilisant son aura cosmique encore mal éveillée. Qu'à cela se tienne, maintenant elle est obligée de se cacher de la foule de villageois afin de préserver sa vie. Si la succube avait la pleine possession de ses pouvoirs, nul doute qu'elle aurait pu détruire ce petit village et assassiner purement et simplement ses habitants et ce sans aucun problèmes. Malheureusement, la donzelle ne se battait qu'en cas de légitime défense, aussi elle était quasiment incapable de tuer pour le plaisir de prendre des vies. Néanmoins, même si elle était quelqu'un de plutôt calme et discrète, il n'empêche que lorsqu'elle se battait pour de bon, s'était une véritable furie. Malheureusement dans l'état actuel des choses, elle avait plus la trouille qu'autre chose, après tout on était en train de la poursuivre pour la traîner au tribunal de sorcière puisque apparemment, on l'accusait d'avoir utiliser de la magie. Alors qu'elle était perdue dans ses pensées, elle entendit plusieurs bruits sur la surface de son tonneau, ainsi que sur ceux à ses côtés. Visiblement il y avait quelqu'un qui se trouvait juste là et ce dernier fini par trouver ce qu'il cherchait elle-même. Pourtant ce n'était pas un villageois, il n'avait pas vraiment la tête de l'emploi. Ce dernier avait soulevé le couvercle du tonneau et découvrit donc instantanément la spectre de la succube qui attendait que les gens qui la poursuivaient se lasse de la traque. Ben à cause de cet énergumène c'était raté. Il referma immédiatement le couvercle et s’encourut vers l'entrée de la ruelle. Elicia, elle, se contenta de se lever d'un bond, dans l'optique de crier après dans l'espoir qu'il ne la vende pas aux autres qui voulait la mettre au bûcher. Manque de pot, comme elle avait dû s'extirper de l'objet dans lequel elle se trouvait. Cependant, elle n'eut pas le temps d'arrêter l'autre qui gueula pour tout la ville que la jeune fille était cachée dans un tonneau et qu'il fallait la brûler."- Non ! Je ne suis pas une sorcière ! Je vous en prie ne faites pas cela ! Nooooooon !"Elle n'avait donc pas le choix maintenant que l'autre l'avait trollé sans remords aucun. La jeune fille s'enfuit en vitesse, histoire de quant même garder ses distances avec les habitants en colère qui avaient eu le temps de ramener leurs armes et leurs torches. Une chose était sûre, c'est qu'elle allait devoir tout donner pour les distancer et rester "en vie". Elicia entama donc sa course, poussant l'inconnu afin de pouvoir s'en aller avant qu'il ne soit trop tard. Elle était en train de courir à toutes jambes, traversant plusieurs rues principale, bousculant certaines personnes sans le faire exprès. Cela n'allait pas... Si elle restait à découvert comme cela, nul doutes que les habitants allaient tous se rassembler de plus belle et elle aurait bientôt le village entier à ses trousses. Les larmes étaient en train de couler sur ses joues, elle ne savait pas ce qu'elle devait faire, ni comment leur échapper. En plus ce n'était encore qu'une enfant, inutile de dire que si elle continuait ainsi, son endurance limitée allait la mener droit à la case d'arrivée. la jouvencelle continua sa course et se cacha cette fois derrière des caisses en bois située près d'un chariot d'un petit enfoncement. Cependant cette fois-ci, Elicia regarda autour d'elle pour voir si ce crétin qui l'avait vendue était encore là à l'épier, se demandant probablement quelle crasse il allait lui faire à présent... Profitant de ce moment qu'elle espérait durer, La succube entreprit de reprendre son souffle tout en épiant ce qu'il était en train de se passer dans les rues principales... Non sans soupçonner un seul instant que l'autre énergumène avait probablement réussi à la suivre à la trace et qu'il était sûrement en pleine élaboration d'un plan visant à l'ennuyer. Non, ce n'était vraiment pas le jour de chance de la jeune fille. Ceci dit, pas question de le laisser s'en sortir comme ça... SeteshSpectre d'Anubis de l'étoile Céleste de la PutréfactionMessages 8337Caractéristiques Vie 230/230 Cosmos 263/324 Armure 280/280Sujet Re Sorcière,sorcière, prend garde à ton derrière ! [PV Setesh] Dim 13 Avr 2014 - 1924 Il n'y avait pas à dire, il appréciait beaucoup le fait de semer le désordre et le chaos partout où il passait. Et qui plus est pour malmener et oppresser une jeune fille capable de manipuler le cosmos, d'autant qu'elle était clairement une novice dans son utilisation. La foule se déchaîna sans tarder suite aux mots enflammés qu'il avait prononcé. Un ballet de torches, de fourches, de gourdins, de couteaux et de colères embrasa alors le village qui avait été si calme jusqu'à maintenant. Sa petite victime était en pleine panique, bousculant le spectre d'Anubis qui en rajouta une couche, hurlant de plus belle et n'hésitant pas une seconde à indiquer la direction qu'elle avait pris pour fuir. Tout le village allait être sous peu à ses trousses. Profitant du désordre général, il disparu dans l'ombre, laissant les villageois traquer la "sorcière". Il se déplaçait avec une discrétion digne des meilleurs assassins, et ne perdait de vue la malheureuse victime qui était son divertissement de la soirée. La population commençait sérieusement à perdre les pédales, il n'allait falloir plus beaucoup de temps avant que les villageois se mettent à se blesser dans leur débordement, puis à s'accuser les uns les autres d'être les compliques de la chevaucheuse de balai, puis même de sorcelleries. Habilement, à l'aide de chacals d'ombre, il arrivait à semer davantage la paranoïa dans les esprits des habitants, comme si il se délectait de la folie qui germait dans le petit village. Elicia pouvait entendre la clameur gagner en force à chaque instant. Elle était loin de se douter que son tourmenteur l'observait, un sourire hilare au visage, d'un toît non loin. La malheureuse avait bien mal choisie sa cachette... un chariot, des caisses en bois... elle ne savait pas dans quel guêpier elle s'était fourrée pour la plus grande joie de l'étoile de la Putréfaction. Descendant du toit avec une agilité aussi impressionnante que sa discrétion, il ne mit pas longtemps à déposséder d'un malheureux de sa torche. Il se posta alors à une dizaine de mètres du chariot et des caisses, faisant mine d'observer les environs avec soins, sans rien voir. Si Setesh restait en vie jusqu'à l'apparition d'Hollywood, il pourrait sans nul doute possible faire une excellente carrière d'acteur, voir même remporter quelques oscars. Mais pour le moment, il jouait avec brio celui qui traquait la sorcière... alors qu'il ne l'avait jamais perdu de vue. Puis il prononça des mots qui ne pouvaient être perçus par le commun des mortels. Seuls des éveillés comme lui et Elicia avec un peu de chance pouvaient entendre ce qu'il disait d'un ton si désinvolte que cela en était inquiétant! "... au feu, tout brûle!" D'un mouvement si rapide que personne n'avait du le voir, il lança avec précision la torche sur les caisses. Ces dernières prirent feu, et le chariot n'allait sans doute pas tarder à faire de même vu comment les flammes grandissaient déjà, prêtes à s'étendre et dévorer le village. Le spectre, quant à lui, avait déjà disparu.... HypnosDieu du SommeilRôle Dieu du SommeilMessages 1991Caractéristiques Vie 349/349 Cosmos 350/350 Armure 430/580Sujet Re Sorcière,sorcière, prend garde à ton derrière ! [PV Setesh] Dim 13 Avr 2014 - 2120 Pas que cela soit une surprise pour Elicia, mais l’autre troll de service remit le couvert, cette fois en mettant le feu purement et simplement dans le chariot qui se trouvait à côté de la jeune fille. Il avait gueulé au feu ! Tout brûle !» et l’instant d’après le moyen de transport commença lentement à brûler sous les flammes de la torche qui avait été lancée. La succube poussa un juron avant de reprendre sa course, non sans croiser une myriade de personnes enragés. Continuant donc sa petite course dans le petit village qui commençait à rougeoyer sous les flammes de l’inconnu, le chaos ne tarda pas à s’installer autour de la petite. Les flammes dansaient, menaçantes donnant une image cauchemardesque alors qu’il n’y avait encore rien quelques minutes avant… Au loin Elicia entendit des villageois clamer d’aller chercher de l’eau pour essayer d’étouffer le brasier environnant. Tant pis pour la sorcière, leurs maisons étaient quand même bien plus précieuses. Cependant, on entendit clairement aussi que la sorcière ne perdait rien pour attendre. Cachée à ce moment entre deux maisons, la spectre profita de la cohue pour entrer dans un magasin qui semblait être celui d’un tailleur. Elle en profita donc pour s’emparer d’une tenue avant d’abandonner celle qu’elle portait depuis qu’elle fut entrée dans le village. Une fois changée, elle sortit du bâtiment pour retourner affronter ce véritable Enfer, si tant est-ce que l’on pouvait appeler cela comme ça, bien évidemment. En tout cas, voir tous ces gens complètement paniqué avait de quoi la réjouir. Au moins elle n’était plus la seule qui courrait partout à présent, c’était eux. Ils allaient voir ce qu’ils allaient voir ! Elicia pourra au moins remercier l’énergumène qui s’amuse depuis un petit moment à lui pourrir la vie, que grâce à lui elle était enfin tranquille, du moins le temps que les habitants éteignent l’incendie qui ravageait leur citée. Bref, alors qu’elle se promenait dans ce chaos, elle croisa un cadavre d’enfant tenant une peluche en forme de lapin. Sous le charme de cette dernière, elle se hâta vers le gosse et la lui arracha des mains avant de s’en aller en vitesse, une poutre enflammée manquant de l’écraser en tombant. Il s’en était fallu de peu, en tout cas ! Bon, il ne fallait plus rester ici. L’air commençait à devenir suffoquant et la chaleur ambiante devenait quelque peu insoutenable. Encore un peu et on allait cuire sur place. Elicia, la peluche dans ses bras prit donc la direction de la sortie du village, avant de trouver une hache abandonnée dans un coin. La petite la prit, heureusement l’arme était petite, aussi elle ne serait pas ralentie et quelques minutes après elle fut de nouveau dans la forêt environnante. L’air se faisait plus léger et la gamine se contenta de prendre une bonne goulée d’air pur. Maintenant qu’elle était en lieu sûr, elle pouvait essayer de converser avec l’autre chose qui devait encore traîner dans le coin, au vu de ce qui se passait depuis quelques minutes. Malheureusement si l’autre pouvait la voir, ce n’était pas le cas d’Elicia qui continuait à marcher dans la forêt tout en essayant de capter une présence ou non. Une chose était sûre néanmoins, c’était que même si elle était incapable de sentir la présence de l’autre, la demoiselle savait en revanche qu’il n’était vraiment pas loin. Finalement, elle s’arrêta dans une clairière qui était illuminée par les rayons nocturne de l’astre lunaire. Les oreilles de la jeune fille entendirent le bruit du brasier qui devait être assez éloigné de l’endroit où elle se trouvait. Elicia rangea la hache qu’elle avait trouvée à sa ceinture tandis qu’elle prenait sa nouvelle peluche dans les bras. Regardant autour d’elle, la jouvencelle prit la parole afin d’essayer de savoir si le spectre - qui devait probablement être celui du troll au vu de ses actions – était là et l’écoutait… - Si tu te montrais, maintenant ? Je ne sais pas qui tu es, mais tu m’énerves depuis un moment ! Tu es qui au juste ? Le spectre du troll ou quelque chose comme cela ? Pourquoi tu m’embêtes alors que l’on est supposé être dans le même camp, hein ? Je t’ordonne de me répondre et cela prestement ! »Nul doutes que maintenant celui ou celle qui s’amusait à lui pourrir la vie allait devoir se montrer. Il allait le faire, c’était un fait indéniable, comme celui qu’il ferait un dernier coup tordu avant. On ne change pas les imbéciles après tout. SeteshSpectre d'Anubis de l'étoile Céleste de la PutréfactionMessages 8337Caractéristiques Vie 230/230 Cosmos 263/324 Armure 280/280Sujet Re Sorcière,sorcière, prend garde à ton derrière ! [PV Setesh] Dim 29 Juin 2014 - 1934 Observant dans l'ombre son petit manège, Setesh prenait un plaisir malsain à la voir courir dans tout les sens, se débrouiller pour passer inaperçue et échapper aux villageois déchaînés. Avec l'aide de quelques petits maléfices et tours de son cru, le village allait sans nul doute possible être réduit en cendres et en gravats avant mêle le lever du soleil. Voilà qui n'était pas pour lui déplaire, et qui aurait plu fortement à son comparse tout aussi chaotique qu'était Machiavel. Mais ce dernier était disparu depuis un long moment, sans doute avait il été attrapé tandis qu'il fomentait un mauvais coup, et qu'il devait le payer à l'heure actuelle. Bah, après tout, c'était les risques, et les deux fauteurs de troubles les assumaient pleinement, enfin surtout Setesh. Après tout, le Fou de la Reine pouvait bien se permettre de commettre publiquement quelques désordres au sein des enfers. Sinon, à quoi bon être fou? Mais revenons à la petite cible du moment. Celle ci commençait à être à bout, et exhortait le spectre à se montrer. Un sourire mesquin déchira le visage de Setesh, une joie pétillante au fond des yeux. Elle était ainsi une spectre? C'était encore mieux que prévu. Au fond des bois, la petite fille n'allait pas tarder à crier aux loups. Manipulant les ombres comme un maestro, le spectre d'Anubis fit avancer une meute de chacals issues des ténèbres les plus angoissantes. Avec une habileté digne d'un stratège, il accula sous la menace de ses fauves la malheureuse contre un arbre, contre celui où il était perché. Puis avec une vitesse prodigieuse, égale à sa dexterité, il se balança de la branche et attrapa la pauvre elicia, plaquant sa main contre sa bouche, puis dans le même mouvement, l'entraîna dans les ténèbres de la forêt, maintenant une emprise forte sur cloturé à suivre dans un autre. HypnosDieu du SommeilRôle Dieu du SommeilMessages 1991Caractéristiques Vie 349/349 Cosmos 350/350 Armure 430/580Sujet Re Sorcière,sorcière, prend garde à ton derrière ! [PV Setesh] Mer 20 Aoû 2014 - 1419 Etre en train de se promener dans la forêt tard la nuit avait quelque chose de sinistre. Bien qu’elle soit à présent une espèce d’ombre elle-même, il n’empêche que la donzelle ne se sentait pas à l’aise non plus en étant entourée des Ténèbres. Elicia continuait de marcher dans le noir, effrayée par l’environnement autour d’elle. Malgré le fait qu’il ne se passait rien du tout et qu’elle était incapable de voir si quelqu’un l’espionnait, il n’empêche qu’elle avait l’impression d’être suivie. Si ce n’était pas le cas, les étranges évènements qui s’étaient déroulés dans le village et un peu avant n’étaient pas arrivés là par magie, c’était l’œuvre de quelqu’un qui voulait lui nuire et rien d’autre. En tout cas, les villageois n’avaient plus grand-chose de leur village, tout cela à cause de l’étrange chose qui suivait la succube depuis quelques minutes déjà. La jouvencelle ne savait pas ce qu’on lui voulait, néanmoins elle vint à penser que comme il n’y avait personne de visible, peut-être était-elle réellement une sorcière et que c’était donc elle la cause des désastres qui se déroulaient autour d’elle. Cela ne pouvait pas être vrai, cependant il fallait bien se rendre à l’évidence que partout où elle allait, le malheur s’abattait sans qu’elle ne le veuille. Cela était effrayant de savoir que l’on pouvait ôter des vies sans le faire exprès et surtout sans le vouloir. Elicia repensa alors à un évènement de sa vie passée, lorsqu’elle était en train de mourir. On lui avait dit qu’elle serait à présent une spectre au service d’Hadès, le Dieu des Enfers. Peut-être est-ce que la gamine commençait à faire surgir son pouvoir ? Dans ce cas, il n’était pas difficile pour elle de se dire qu’il faudrait apprendre à les contrôler, sous peine de faire des dégâts et des actes malheureux qu’elle ne voulait pas commettre. Alors qu’elle continuait à s’éloigner le plus loin possible du village en proie aux flammes qu’elle pensait avoir générées, Elicia entendit un craquement derrière elle. La jeune enfant s’immobilisa, son cœur palpitant rapidement sous la peur. Il y avait des choses dans les Ténèbres des arbres, c’était un fait indéniable. Elicia ne savait pas ce que s’était, néanmoins elle ne tarda pas à savoir de quoi il en retournait lorsque des choses sortirent dans la lumière émise par l’éclat de la lune. Des chiens. Ou peut-être même des loups étaient en train de s’avancer lentement vers elle. Une chose était certaine, c’était que la spectre n’avait pas la capacité de les créer contrairement aux flammes. Si personne n’était capable de les créer, c’était que ces bêtes devaient probablement être bel et bien vivantes. Elicia recula de quelques pas, essayant de trouver un moyen pour s’échapper. Malheureusement les bestioles n’avaient pas l’air de vouloir la laisser s’échapper, continuant à resserrer le cercle qu’ils faisaient autour d’elle. Alors qu’elle reculait encore et encore, elle finit par trébucher sur une grosse pierre. Damnation ! Il ne manquait vraiment plus qu’elle se coince quelque part et ce qui l’encerclait aurait tôt fait de la manger tout crue, quand bien même elle était à présent un spectre ! Elicia ne chercha même pas à se relever, préférant reculer à quatre pattes tout en cherchant un échappatoire. Malheureusement, elle était considérée comme une sorcière à présent, elle avait saccagé un village entier, autant dire que rien ni personne ne bougerait le petit doigt pour la sauver. Elicia finit par rencontrer un arbre qui allait probablement la condamner. Prise au piège, elle regarda les chacals s’approcher dangereusement d’elle. - Non ! Lai…Laissez-moi tranquille... AAAAAAAAAAAAAaaaaaaaah ! »Un hurlement se répercuta sur les troncs d’arbres, avant de s’évanouir brusquement. En effet, alors qu’elle venait de laisser échapper un cri, quelque chose lui recouvrit la bouche et ce dernier mourur dans la gorge de la demoiselle. Sans comprendre ce qu’il venait de se passer, la jeune fille venait de s’être fait enlever afin d’être emmenée dans un endroit inconnu… Inconnu ! Contenu sponsoriséSujet Re Sorcière,sorcière, prend garde à ton derrière ! [PV Setesh] Sorcière,sorcière, prend garde à ton derrière ! [PV Setesh] Page 1 sur 1 Sujets similaires» [Récupération divine de Setesh] Setesh vs Ludwig» [Récupération divine de Setesh] Setesh vs Vaflan» [Récupération divine de Setesh] Setesh vs Typhon» Le bouclier prend position. [ok]» Kazuki prend les devantsPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumSaint Seiya Anthologie Forum RPG Espace en Jeu "Anthologie" Monde des Humains Les 5 continentsSauter vers
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